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Le Rive Droite fait dans la dentelle

Restauration - vendredi 1 juillet 2011 11:28
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Alençon (61) Ouvert en décembre dans les locaux de l'ancien misée de la dentelle d'Alençon, l’établissement se démarque par sa décoration et sa cuisine raffinées et colorées.



Le restaurant, ouvert depuis décembre 2010, se partage en plusieurs petits salons à thème, comme ce Salon chinois.
Le restaurant, ouvert depuis décembre 2010, se partage en plusieurs petits salons à thème, comme ce Salon chinois.

Le restaurant le Rive Droite a ouvert en décembre 2010 à Alençon dans un bâtiment du XVIIIe siècle qui accueillait auparavant le musée de la dentelle. Or, cest cette même année que la dentelle au point dAlençon et le repas gastronomique des français ont été tous deux inscris au patrimoine culturel immatériel de lhumanité par lUnesco”, relève le propriétaire Charles-Henry de Valbray. Sûrement un bon présage…

Il a fallu neuf mois de travaux pour transformer le rez-de-chaussée du musée en plusieurs petits salons à thème. On entre par le Salon rose (comme la couleur de ses murs), où l’on peut boire un verre l’après-midi, dans des fauteuils aux couleurs flashy. Dans la Bibliothèque, l’ambiance est plus cosy, entre rayonnages de livres et cadres accrochés au-dessus des tables. Le Salon chinois, avec ses murs bleus percés d’alcôves où sont disposées des porcelaines, est une petite salle à manger privatisable. Enfin, l’Orangerie possède un style plus moderne et épuré avec de grandes baies vitrées donnant sur la terrasse qui surplombe la rivière. Le premier étage est entièrement consacré aux réceptions privées avec une salle de séminaire, une salle à manger et un salon avec vue sur la rivière.

“Nous partons d’une base gastronomique”

En cuisine, Christophe Renou propose une seule formule déjeuner à 23 €, et une carte qu’il change tous les deux mois. “Nous partons dune base gastronomique, mais nous simplifions. Nous faisons les choses correctement, mais sans prétention, explique le jeune homme qui revient de Londres où il était chef à l’Aubergine, ouvert par Gordon Ramsay. Et il lui arrive aussi de s’inspirer des deux livres de recettes écrits par Charles-Henry de Valbray (Les Jules aux fourneaux et Un plat, c’est tout! aux éditions Albin Michel). Se côtoient ainsi sans complexes des ravioles de homard et une salade niçoise. Mais avec du vrai thon frais.” On peut faire simple, mais tout de même… dans la dentelle.
Julie Durand

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