"On est sur une restauration bistronomique. Les gens viennent pour découvrir la transformation d'un endroit chargé d'histoire. On veut qu'ils reviennent pour la cuisine", affirme François Mazzuchin, le chef. Le Télégramme a été édifié dans l'imprimerie de l'ancien journal du même nom à Toulouse (31). Il accueille 200 à 300 clients par jour, n'est fermé que le dimanche midi et fait la part belle à la fête après le service du soir. Le bar est la pièce centrale. Tables et hauts tabourets longent les murs en briques rouges. Monumental, un double escalier hélicoïdal conduit à la salle du restaurant. À l'opposé, un escalier en fer permet d'accéder à une mezzanine qui peut être privatisée.
Formule tapas version salée et sucrée
Le plat du jour, avec verre de vin et café, est à 12 €. Le menu du déjeuner est à 16 €. Le soir, à côté d'un menu unique à 30 €, une formule tapas, version salée et sucrée, se déguste au bar. Quinze cuisiniers et 15 serveurs composent l'équipe de François Mazzuchin, 47 ans, ancien gérant du golf de Toulouse, secondé par Alexandre Saint-Pierre, 37 ans, ancien Bistrot Côté Mer à Paris et O Saveurs à Rouffiac (31). Le Télégramme a été créé par Christophe Baron, 38 ans, propriétaire de plusieurs établissements à Toulouse, et deux associés, Romain Pecqueret et Stéphane Ménoret.
Publié par Bernard DEGIOANNI