du 17 juin 2004 |
REVUE DE PRESSE |
Le choix de Jean-Luc Petitrenaud dans L'Express : Le Petit Nice à
Marseille (13).
"Accroché au rocher, Le Petit Nice mérite que l'on s'y attarde. Sans doute
la grande table de Marseille pour savourer les délices de la mer. (...) La belle culture
méditerranéenne est dans chaque soupir à la table des Passedat."
< Dans Le Monde
"Le cuisinier d'assemblage"
Que l'on partage ou pas ses convictions, Gérard Cagna a le sens de la formule.
A lire absolument.
"Gérard Cagna - 2 macarons au Michelin - se dit persuadé que le
théâtre de la gourmandise va prendre un coup de jeune, car toute époque charnière est
'tombeau d'un passé révolu et berceau d'une époque à découvrir'.
Installé dans une auberge de campagne du parc naturel régional du Vexin
français, Gérard Cagna (le Relais Sainte-Jeanne) est un cuisinier prométhéen. Sa foi
en l'homme et son goût de l'action, en même temps qu'un sens critique, l'ont amené à
jeter un regard ironique sur l'homo culinarius du demi-siècle écoulé. Dans les années
1960, le modèle dominant, selon lui, était 'le cuisinier pratiquant à tendance
stakhanoviste'; dans les années 1970, 'le cuisinier intermittent à vocation
transatlantique', dans les années 1980, 'le cuisinier diva, à forte propension
égaumillautcentrique'. Les années 1990 consacrent 'le cuisinier édulcorant à tendance
virtuelle', et la première décennie du nouveau siècle 'le cuisinier d'assemblage'.
Quel sera le modèle triomphant du cuisinier 2010 ? "Probablement un
équilibriste des saveurs et un opportuniste des gourmandises tarifées !",
répond Gérard Cagna."
< Dans Le Bien Public
Dijon : L'Hôtel du Jura change de mains
L'Hôtel du Jura était dans les mains de la famille Gorges depuis 1907. Gérard
Gorges et son épouse Anik viennent de céder l'affaire dijonnaise pour prendre leur
retraite.
"(...) Premier propriétaire au début du XXe siècle, Louis Gorges transmet
le flambeau, en 1936, à son fils Henri Gorges. L'Hôtel du Jura fait alors partie de la
société hôtelière dijonnaise qui possède également La Cloche et La Bourgogne.
Transformé en mess des sous-officiers de l'armée allemande pendant la Seconde Guerre
mondiale, l'hôtel retrouve sa vocation au sortir de la guerre. En 1963, Louis Gorges - un
des fils de l'acheteur initial - rachète à son frère l'Hôtel du Jura avant d'en
confier la destinée à son fils Gérard Gorges. (...) Nous sommes en 1972 et l'hôtel se
transforme : télévision dans les chambres, insonorisation, création de trois suites. Le
3 étoiles adapte son standing aux nouvelles exigences de la clientèle. (...). Les
années qui suivent sont celles de nombreux investissements.
"Le vendredi 13 février - heureux présage -, nous nous sommes rencontrés
avec M. Branelec. L'affaire s'est conclue rapidement. Depuis le 1er juin, ce sont les
nouveaux propriétaires. Ma famille a vendu ses parts. Après 97 ans de gestion Gorges,
les derniers représentants de la dynastie sont heureux d'accueillir et de céder le fruit
de leur travail et de leur réputation à la dynastie Branelec de Bretagne",
explique Gérard Gorges, 68 ans. Basée à Brest, la famille Branelec possède déjà
plusieurs établissements hôteliers à travers toute la France. L'histoire
continue."
Le
choix de Gilles Pudlowski dans Le Point : Miramar à Marseille (13).
"L'événement gourmand sur le Vieux-Port ? La reprise du
bon vieux Miramar par Christian Buffa."
< Dans Le Parisien
Paris : priorité à l'embauche de proximité
Accor, mais aussi Pierre & Vacances et Compass Group font partie des
signataires de la charte élaborée par la mairie qui vise à privilégier le recrutement
de proximité. Cathy Kopp, directrice des ressources humaines du groupe Accor (116
établissements hôteliers à Paris), explique les motivations de son employeur.
"Malgré le taux de chômage, vous rencontrez des difficultés d'embauche
à Paris ?
Cathy Kopp, directrice des ressources humaines du groupe Accor : "Tous les
jeunes qui sortent des écoles ou qui recherchent un emploi préfèrent travailler dans
des bureaux ou dans l'industrie. Résultat, aujourd'hui, nous avons de réelles
difficultés à trouver des jeunes pour des emplois en cuisine, réception et service de
salle".
La proximité peut-elle faciliter ces nouvelles embauches ?
C. K. : "Nous choisirons toujours des gens sur leurs compétences
personnelles. Mais, à Paris, le logement et les transports sont les principales
difficultés pour les embauches. Si nous pouvons recruter des gens près de chez eux, le
salarié est gagnant pour sa qualité de vie. Et il restera plus longtemps dans nos
établissements. L'embauche de proximité intéresse alors à la fois le salarié et
l'entreprise. Il y a un tel potentiel d'emploi que nous sommes certains de pouvoir trouver
80 Parisiens, comme le prévoit notre accord avec la Ville, sans pour autant avoir à
faire de la discrimination en refusant d'autres candidatures intéressantes."
< Dans Les Echos
La boîte à mieux snacker
En test au lycée Sainte-Geneviève à Meaux, les nouveaux distributeurs
automatiques en fonction des créneaux horaires signés Sodexho.
'La boîte à mieux démarrer' propose de 8 heures à 10 heures fruits, céréales,
produits laitiers et boissons chaudes. 'La boîte à mieux snacker' est "une
alternative au déjeuner pour les 60 % d'adolescents qui sortent pendant cette pause",
explique Mathilde Loing, directrice marketing et chef de ce projet. 'La boîte à mieux
goûter' contient fruits, biscuits et sodas light disponibles de 16 à 18 heures, chaque
distributeur ayant des créneaux horaires pour leur accès. Deux autres distributeurs sont
en libre-service mais correspondent à des activités : le sport avec 'la boîte à mieux
courir' et les examens avec 'la boîte à mieux penser'.
< Dans Caterer and Hotelkeeeper
Les Britanniques adorent les bulles
"La Grande-Bretagne est désormais au second rang des pays européens
consommateurs de champagne derrière la France, avec 24 % du marché, selon une étude de
Mintel. Mais tandis que la consommation des Français baisse, celle des Britanniques pour
la boisson à bulles est en nette progression. La Grande-Bretagne est le plus gros marché
à l'export pour le champagne et en 2003, cela représentait 26 millions de litres. Soit
une progression de 51 % depuis 1998. "On dit souvent que l'on peut juger l'état
de l'économie en étudiant le marché du champagne, dit Michelle Strutton, analyste
chez Mintel. Si cela est vrai, la Grande-Bretagne se porte très bien." zzz46a
Le
choix de Philippe Couderc dans Le Nouvel Observateur : Les Ormes à Paris.
"Le Bellecour change d'enseigne. Demeure tout de même la
formidable quenelle au coulis de langoustines (...) dont le tour de main a été transmis
à Stéphane Mollé."
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L'Hôtellerie Restauration n° 2877 Hebdo 17 juin 2004 Copyright © - REPRODUCTION INTERDITE