Pour ou contre : l'utilisation des produits agroalimentaires en restauration ?

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le fournisseur

mardi 2 décembre 2008

Messieurs les restaurateurs, je vous entends ici vous plaindre, les clients sont moins nombreux, ils vont dans les fast food ou dans les point chaud !!!! mais de la faute à qui ??? tant qu'a mal bouffer, il vaut mieux dépenser 10 € plutot que 20 €. Quand vous arreterez de prendre les clients pour des imbéciles, peut être reviendront ils chez vous. un membre de ma famille travail dans une entreprise qui fournis les restaurateurs sur le 13 (bdr)40 resto clients spécialistes des fruits de mer. ils achetent quoi ?
Langoustines, touteaux, crevettes, bulots,homard, langouste CONGELES. les moules sous vides, la mayo en pot de 5 kg, etc... et vous pauvre clients vous allez vous faire plaisir au resto en vous offrant un plateau de fruits de mer !!! résultat, c'est déguelasse et cher (50 € par personne mini)et je ne parle pas de la soupe de poissons et que dire de la bouillabaise !!! alors quand vous arreterez de prendre les clients pour des imbéciles, peut être qu'ils reviendrons.

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angela

samedi 27 décembre 2008

Aller au Restaurant
C'est passé de mode, avant c'était un évênement d'aller au restaurant, de se faire servir avec le sourire, de déguster des assiettes bien présentées et préparées par le chef( la plupart du temps c'était le patron) qui faisait son petit tour en salle au moment du café, quand le coup de feu était passé. C'était une joie, je me souviens du temps de mon apprentissage. Aujourd'hui, c'est tellement banal, je vais parfais au restaurant, eh! bien pour ne pas être déçu c'est vraiment rare. Les cuisiniers ne cuisinent plus (trop d'heures de travail et de contraintes d'hygiène), les serveurs ne sourient plus, les patrons ont ne les voient plus dans leurs établissements...tout fout le camp!..
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Math

samedi 27 décembre 2008

heureusement que
il reste encore des établissements, ou la cuisine est faite sur place, le pain aussi, par du personnel qualifié, avec des serveurs souriants, et un chef-patron (Maître Restaurateur) qui cuisine, et passe parmi les clients au moment du café(si il a le temps bien sur...), et j'ai la chance de travailler dans un établissment comme ca... et pour rejoindre angela, il est regrettable que cela se raréfie.
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angela

samedi 27 décembre 2008

Eh! oui heureusement que ça existe encore...
Mais pour combien de temps. On a tellement tout laisser faire.Combien de non professionnels ont embrassés cette profession pour faire 'du fric' car à écouter les médias à la télé, dans les journeaux, les restaurateurs s'en mettent plein les poches. Remarquez il n'y a pas que les médias qui pensent ça. Le fisc aussi pense qu'on gagne des sommes astronomiques en régalant les clients, mais c'est faux. Jusqu'à il y a encore quelques années on gagnait sa vie correctement mais au détriment de la vie privée qui en prenait un coup, mais depuis 5 ans environ ce n'est plus ça du tout. On est les tous premiers à avoir senti la crise pointer son nez, on est guère surpris aujourd'hui. ça va peut-être assainir la profession, n'y resteront que ceux qui aiment vraiment ce métier, les autres iront "faire du fric" ailleurs. Ce n'est pas plus mal, ainsi les clients reprendront le chemin de nos maisons et auront plaisir à y revenir...
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Bernard Boutboul

dimanche 28 décembre 2008

Compliqué....
Pensez-vous vraiment que le consommateur peut comprendre quelquechose à cela? Pourquoi ne pas imiter nos amis boulangers? Il y a les boulangeries (ceux qui revendent et en tout cas ne fabriquent pas) et les boulangers (ceux qui fabriquent sur place).Nous pourrions avoir sur les façades "restaurateur" (celui qui fabrique à partir de produits farais et bruts) et "restaurant"...les autres!
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Bernard Boutboul

dimanche 28 décembre 2008

Restaurateurs et restaurant
Désolé JM je n'avais pas vu votre suggestion...vous avez raison la piste est probablement là. La question est: qui va controler que le restaurateur fabrique bien toujours chaque année?
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angela

dimanche 28 décembre 2008

Restaurateurs cuisiniers
L'idée est à appronfondir effectivement,mais pourquoi se casser la tête à fabriquer, passer des heures et encore des heures en cuisine pour être taxé de la même façon qu'un revendeur de plats réchauffés achetés tout prêts. Il faudrait que l'état allège de TVA les restaurateurs qui se donnent la peine de cuisiner.
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JM

dimanche 28 décembre 2008

BERNARD
depuis des années certains syndicats patronaux, et certains 'vrai' restaurateurs se battent pour que cette différence soit affichée comme pour les boulangers...mais comme ils ne sont qu'une minorité, lors des votes, n'ayant pas la majorité, cela ne passe pas...c'est pour cela qu'avait été créé les tables gourmandes il y a plus de 20 ans par Mr Ryngel je crois, mais n'ayant pas 'protégé-déposé' le nom 'table gourmandes' tout le monde pouvait s'attribué cette 'appellation', suite a cela, les cuisineries gourmandes ont été crées.
Vous demandez qui peut vérifier qu'un restaurant fait tout sur place, et bien, qualité france (organisme de certification) s'en occupe déja pour les cuisineries gourmandes...visite surprise, controle des frigos, de la carte, facon "dgccrf", ce qui est bien déja.
quand à une baisse de tva...je pense qu'une baisse des charges salariales seraient une bien meilleur solution, l'important est que lorsque l'on achete des produits a 5.5%, nous reversions une tva de 5.5% et non une tva de 19.6%...
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BOOKINGTABLES.COM

dimanche 28 décembre 2008

BOULANGER et RESTAURATEUR... Attention à la confusion svp...
Bonjour,

Désolé de jouer un peu les troubles faits ici, malgré le fait que je suis un fils d'artisan, mon père est retraité "Maître Pâtissier"...

Je pense qu'il faut dans ce débat situer chaque branche professionnelle et en expliquer sa nature propre...

Simplement, le "Restaurateur" est assimilé fiscalement et juridiquement à une activité en qualité de "commerçant". Il est en droit de produire hors de son lieu de vente, ou bien de faire produire (externalisation de son activité) par un sous-traitant une partie de sa production suivant différents procédés de fabrication normalisés etc.
En quelque sorte, le métier de "Restaurateur/traiteur" a toujours été défini de cette façon-là, et dans cet "esprit"-là. C'est une sorte de compromis entre le métier propre du "Restaurateur/Traiteur" et les Services administratifs, fiscaux et juridiques d'état... (c'est mon interprétation)

Le "Boulanger/Pâtissier" lui, par contre, dépend de la Chambre des Métiers. Lorsqu'il place son enseigne, et son titre reconnu (diplôme) en vue sur son établissement, il se doit de respecter certaines coutumes de fabrication. Il se doit aussi de produire sur son lieu de travail, à l'endroit (atelier et magasin) où il a affiché son "titre"... Le lieu de production doit être le même que celui de la vente... Le travail de la farine et de ses éléments de base suivent des procédés très anciens, et leurs normes d'hygiène sont beaucoup plus "facile" à contrôler et à respecter (pour faire simple) Voici mon interprétation, cela n'engage que moi.

Je pense que ce qu'il faut retenir de mon analyse, c'est que le métier de "Boulanger/Pâtissier" est issu de coutumes anciennes, qui n'ont presque jamais fait défaut au niveau de notre Société. Le contrôle de cette profession es assez simple...

Le métier de "Restaurateur/Traiteur" a été ouvert à la branche "Commerçante". Ce métier a la possibilité d'utiliser différentes techniques de fabrication des produits qu'il achète, à des endroits différents de production et de vente, et avec des sous-traitants multiples... Donc il est tout à fait normal et légitime que ces deux métiers soient distincts, et bien séparés par leur reconnaissance statuaire...

Comme tout système dans notre société, il y a les avantages et les inconvénients. Je pense que vouloir utiliser les avantages du métier de "Boulanger/Pâtissier" pour faire profiter celui de "Restaurateur/Traiteur", nous amènerait tout droit vers une dérive démesurée! (contrôle drastique des restaurateurs/traiteurs, PV, fermetures administratives etc...)

Nous nous retrouverions avec 60% (voir +!!) des établissements en fermeture ou cessation d'activité, et une montée du chômage époustouflante! La branche de la restauration s'effondrerait sur elle-même... Puisque le consommateur n'aurait plus le choix et l'offre nécessaire.

Je suis désolé de m'inscrire dans cette démarche-là sur ce blog, mais c'est mon opinion. Je respecte et je comprends parfaitement les vôtres.

Cordialement.
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Bernard Boutboul

lundi 29 décembre 2008

Bien sur Angéla...
En fait le débat devrait plutôt se situer exactement là chère Angela...Au lieu de discerner seulement la TVA de la vente à emporter de celle du service à table, il faudrait y mêler celle de la fabrication et celle de la revente en l'état. De plus là ou le débat devient passionnant, c'est qu'il y a aujourd'hui de la restauration rapide vente à emporter qui fabrique tout sur place, mais aussi des restaurant avec service à table qui revendent en l'état. En fait la TVA est liée à la main d'œuvre nécessaire à la vente, elle devrait aussi être liée à celle qui est nécessaire à la fabrication. Si vous croisez Nicolas et Christine chère Angéla, je pense qu'il faut leur en toucher un mot...
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Comité Modernisation Hôtellerie

lundi 29 décembre 2008

Tiens, ils reparlent de la TVA en restauration...
...comme la solution pour sortir de leurs problèmes... On ne va pas remettre le couvert. Apparemment, certains esprits ont été conditionnés.

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