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Le commentaire de Fabrice Brunoy, directeur du cabinet Michel Simond de Rennes
"Sur les douze derniers mois, le chiffre d'affaires (CA) des bars accuse une baisse relative. Les valorisations à hauteur de 100 % du CA TTC sont de moins en moins fréquentes, sauf pour le créneau de prix de vente allant de 150 000 à 250 000 €. La moyenne s'établit aux alentours de 85 à 90 % du CA TTC. Les valorisations basées sur le coefficient multiplicateur par rapport à l'EBE sont en légère baisse avec un coefficient moyen autour de 2,7 fois l'EBE. Ces dernières années, le profil des acquéreurs a changé. En effet, l'activité de bar est de plus en plus réservée aux professionnels. Les financements pouvant parfois être plus difficiles à obtenir pour les autres profils. Une note positive pour l'activité : l'émergence de nouveaux concepts de bars dans des quartiers branchés des grandes villes, avec un cadre atypique alliant ambiance rétro et des produits sophistiqués à plus forte valeur ajoutée."
"Sur les douze derniers mois, le chiffre d'affaires (CA) des bars accuse une baisse relative. Les valorisations à hauteur de 100 % du CA TTC sont de moins en moins fréquentes, sauf pour le créneau de prix de vente allant de 150 000 à 250 000 €. La moyenne s'établit aux alentours de 85 à 90 % du CA TTC. Les valorisations basées sur le coefficient multiplicateur par rapport à l'EBE sont en légère baisse avec un coefficient moyen autour de 2,7 fois l'EBE. Ces dernières années, le profil des acquéreurs a changé. En effet, l'activité de bar est de plus en plus réservée aux professionnels. Les financements pouvant parfois être plus difficiles à obtenir pour les autres profils. Une note positive pour l'activité : l'émergence de nouveaux concepts de bars dans des quartiers branchés des grandes villes, avec un cadre atypique alliant ambiance rétro et des produits sophistiqués à plus forte valeur ajoutée."
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