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Julien Deyrat a débuté sa carrière comme cuisinier. "Pendant quinze ans, j'ai beaucoup observé et je me suis aperçu combien recruter prend du temps pour un restaurateur ou un hôtelier. Un mauvais recrutement peut coûter encore plus cher, puisqu'il pénalise l'équipe et l'employeur", témoigne-t-il. C'est à partir de ce constat qu'il a ouvert, il y a huit ans, le cabinet de recrutement Ambassade Cabinet Conseil. La base de données comporte aujourd'hui 45 000 candidats, pas tous en recherche active d'emploi, mais plutôt en veille.
"Nous mettons en adéquation les profils des candidats et les besoins des employeurs. Nous attachons beaucoup d'importance au savoir-être des candidats", explique Matthieu Besozzi, l'un des associés du cabinet.
20 000 visites par mois
"Nous sommes très exigeants sur la recherche des bons profils, il faut que ça marche entre le salarié et l'employeur. Nous préférons les candidats diplômés, car cela rassure souvent le recruteur", ajoute Julien Deyrat.
Du camping aux palaces, de la femme de chambre aux managers, la demande est exponentielle. Avec 20 000 visites mensuelles sur son site internet, le cabinet a vu son chiffre d'affaires augmenter de 10 % cette année (230 000 € en 2013).
"Nous travaillons autant avec les petites structures qu'avec de grandes maisons, assure Julien Deyrat. Les Français sont également très recherchés à l'international. Je conseille d'ailleurs aux jeunes sortant d'un lycée hôtelier d'aller à l'étranger un an ou deux."
Si ce service est gratuit pour les candidats, il a un coût pour les recruteurs : de 600 à 6 000 € en fonction du profil recherché. L'entreprise propose aussi des formations sur mesure et travaille en ce moment sur un développement en Suisse, en Asie et aux États-Unis.
"Nous mettons en adéquation les profils des candidats et les besoins des employeurs. Nous attachons beaucoup d'importance au savoir-être des candidats", explique Matthieu Besozzi, l'un des associés du cabinet.
20 000 visites par mois
"Nous sommes très exigeants sur la recherche des bons profils, il faut que ça marche entre le salarié et l'employeur. Nous préférons les candidats diplômés, car cela rassure souvent le recruteur", ajoute Julien Deyrat.
Du camping aux palaces, de la femme de chambre aux managers, la demande est exponentielle. Avec 20 000 visites mensuelles sur son site internet, le cabinet a vu son chiffre d'affaires augmenter de 10 % cette année (230 000 € en 2013).
"Nous travaillons autant avec les petites structures qu'avec de grandes maisons, assure Julien Deyrat. Les Français sont également très recherchés à l'international. Je conseille d'ailleurs aux jeunes sortant d'un lycée hôtelier d'aller à l'étranger un an ou deux."
Si ce service est gratuit pour les candidats, il a un coût pour les recruteurs : de 600 à 6 000 € en fonction du profil recherché. L'entreprise propose aussi des formations sur mesure et travaille en ce moment sur un développement en Suisse, en Asie et aux États-Unis.
Publié par Dorisse PRADAL
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