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Marie-Christine et Antoine Souillat ont du mal à entendre certains commentaires et certaines réactions sur la TVA dans la restauration. "Nous avons joué le jeu. Et à fond." Il y a eu 50 000 € d'investissement pour refaire la salle au printemps dernier et une embauche. "Sans parler des prix que nous avons baissés, ceux de la carte, pas seulement le café. Sans parler de la prime TVA donnée aux salariés et de la mutuelle." Ils sont installés à Vichy depuis vingt ans, en zone piéton. "Nous avons envisagé de déménager, mais nous avons ici un tel emplacement que cela rend le challenge difficile. Et aujourd'hui, il faut s'adapter et lutter, se remettre en cause régulièrement. Donc nous avons renouvelé notre site internet après le relookage du restaurant. La démarche doit être cohérente jusqu'au bout", avance Marie-Christine Souillat.
Référencé sur internet
La Table d'Antoine est référencée sur les sites restaurant.michelin.fr, lafourchette.com, tripadvisor.fr. "Nous n'avons pas de détails sur l'efficacité des uns par rapport aux autres, mais l'ensemble est positif. Nous sommes aussi présents sur les coffrets cadeaux avec Wonderbox et nos propres produits commercialisés via notre site internet." L'entreprise emploie neuf salariés, "et certains sont là depuis seize ans", sans compter le chef, pour une capacité d'une trentaine de couverts et un ticket moyen de 50 €. Sans regret sur leurs choix, Marie-Christine et Antoine Souillat voudraient seulement ne plus être systématiquement dénigrés et pouvoir continuer à travailler sereinement.
Référencé sur internet
La Table d'Antoine est référencée sur les sites restaurant.michelin.fr, lafourchette.com, tripadvisor.fr. "Nous n'avons pas de détails sur l'efficacité des uns par rapport aux autres, mais l'ensemble est positif. Nous sommes aussi présents sur les coffrets cadeaux avec Wonderbox et nos propres produits commercialisés via notre site internet." L'entreprise emploie neuf salariés, "et certains sont là depuis seize ans", sans compter le chef, pour une capacité d'une trentaine de couverts et un ticket moyen de 50 €. Sans regret sur leurs choix, Marie-Christine et Antoine Souillat voudraient seulement ne plus être systématiquement dénigrés et pouvoir continuer à travailler sereinement.
Publié par Pierre BOYER
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