Mélissa Morandi (GNI) fait son entrée au Comité Exécutif et Jean-Marc Banquet d’Orx (UMIH) a été réélu à la présidence de la Commission du dialogue social (SSD). « Cette double représentation des organisations patronales françaises permet de faire entendre la voix des professionnels de notre pays et promouvoir les solutions nationales au niveau européen » ont indiqué les organisations professionnelles françaises qui estiment que « le contexte de crise inédit pour le tourisme mondial, touché au cœur par l’épidémie de Covid-19, doit trouver des réponses collectives pour lesquelles l’Hotrec se présente comme un acteur essentiel ». Le président, Jens Zimmer Christensen (Danemark), le vice-président Marc Van Muylders (Belgique) et le trésorier, Adrian Cummins (Irlande), trésorier, ont été réélus à l’unanimité.
L’Hotrec veut une harmonisation des restrictions de voyage
Lors de son intervention, Jens Zimmer Christensen, a rappelé sa grande inquiétude pour le secteur : « Le COVID-19 a frappé l'industrie en premier et le plus durement. Les entreprises du secteur de l'hôtellerie et du tourisme - 90% d'entre elles sont des petites entreprises - ont du mal à survivre et des millions d'emplois sont menacés. Le déploiement d'un soutien financier important de l'UE et des différents États membres est essentiel pour remettre le secteur sur les rails ». Selon Marie Audren, directrice générale de l’Hotrec, un premier "moyen de surmonter cette crise" serait déjà "que tous les États membres agissent de manière coordonnée en harmonisant les restrictions de voyage, afin de redonner confiance aux voyageurs. L'accord conclu le 13 octobre sur ce sujet par le Conseil européen doit être considéré comme un bon début, mais pas comme une solution ». Pour l’Hotrec « la liberté de mouvement devrait être rétablie et les quarantaines devraient être remplacées par un protocole de test commun de l'UE ».
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