Activité restauration rapide, sandwicherie, vente à emporter |
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Chiffre d'affaires 2018 |
Rapport Moyen |
Tendance générale du marché |
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CA moyen |
Prix / CA HT |
Prix / EBE avant cotisations sociales (Coef.) |
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Jusqu'à 120 000 € |
92 800 € |
77 % |
1,9 |
En baisse | |
De 120 000 à 250 000 € |
180 900 € |
74 % |
2,2 |
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Supérieur À 250 000 € |
473 200 € |
71 % |
2,4 |
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Moyenne calculée sur les cessions réalisées par le réseau Michel Simond du 01/12/2017 au 30/11/2018. Les opérations portant sur des cessions de titres ou de murs ont été écartées. |
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Commentaire d’Arnaud Villeroy, directeur du cabinet Michel Simond Nice
“Bien que restant attractive pour les repreneurs et créateurs - notamment en raison de la faible technicité requise et des marges élevées - la restauration rapide est en mutation.
D’un côté, l’offre classique (sandwich, panini, frites, salé), de l’autre une nouvelle offre, différenciante et premium, portée par des concepts modernes et tendances (vegan, burger, healthy food, street food, etc.). Reflet d’un goût grandissant pour la nourriture plus saine (et donc un rejet de la malbouffe), la tendance concernant les cessions de fonds de commerce de snacking dits classiques est légèrement baissière, laissant progressivement la place à l’offre premium, faisant davantage l’objet de premières implantations que de cessions de fonds, et bénéficiant souvent de l’accompagnement d’une enseigne établie avec concept et méthodes efficaces.
Néanmoins, les barèmes de ventes dépassent encore largement ceux de la restauration traditionnelle, s’établissant à une moyenne de 74 % du chiffre d’affaires HT et 2,17 fois l’EBE normatif.”