“Les gens veulent de plus en plus se retrouver en pleine nature, coupés de tout mais sans renoncer à une douche, aux WC, au wifi, à la climatisation voire au sauna et au spa, même accrochés à un arbre”, constate Anaïs Pimouguet, l'assistante de Rémi Becherel, fondateur du domaine de Puybeton, à Nojals-et-Clotte (Dordogne).
L’histoire commence avec le compagnonnage. Au retour d’un tour de France en 2006, le charpentier fonde l’entreprise Nid perché, qui conçoit des cabanes à 95 % pour des loueurs professionnels. “Les cabanes rustiques du début, sans eau ni électricité, ont laissé place à une demande beaucoup plus luxueuse avec le confort moderne. C’est la condition pour louer à l’année. De grands hôtels comme l’hôtel 5 étoiles Marinca à Olmeto, en Corse, ou le 48° Nord Landscape Høtel à Breitenbach, en Alsace, s’équipent de ce type d’hébergements, que Nid Perché conçoit sur mesure, pour offrir une expérience hôtelière différente”, explique Anaïs Pimouguet qui note une multiplication par deux des demandes de nuitées au Domaine de Puybeton depuis la fin du confinement.
Nature, isolement, respiration, tranquillité, le domaine hôtelier créé par Rémi Bécherel il y a dix ans répond parfaitement aux demandes des touristes à la sortie de deux mois de confinement. “Nous sommes complets tout l’été avec une clientèle un peu différente, plus de Français par exemple. Outre les reconstitutions fidèles des châteaux de la région, nos six hébergements disposent de spa en terrasse. Les cabanes sont accessibles soit par un escalier soit par des passerelles. Nous offrons trois formules de restauration dont une réalisée par le chef étoilé Vincent Lucas du restaurant Étincelles, à Sainte-Sabine-Born [Dordogne, NDLR]. Une nuit au domaine varie entre 240 et 360 €”, détaille Anaïs Pimouguet.
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Publié par Francois PONT