Situé
à deux pas de la basilique Saint-Sernin à Toulouse (Haute-Garonne), le boutique-hôtel Villa du Taur a trouvé sa place dans le paysage hôtelier
toulousain. L'élégance est l'élément central de
cette nouvelle adresse de 17 chambres, affiliée au label Château Hôtel Collection. "Nous
souhaitons mettre du contenu dans chacun de nos établissements", explique Nicolas
Andrieu, un des fondateurs du groupe indépendant NT Hotel Gallery.
Pour la Villa du Taur, c'est le Street Art qui est à l'honneur. Des artistes
comme Rezo, Mondé, Maye,
Momies. Le concept semble séduire, puisque de nombreux clients ont souhaité
acheter des oeuvres.
"Nous voulons proposer une hôtellerie qui corresponde aux attentes de chacun, explique Nicolas Andrieu. Il faut personnaliser l'accueil car les clients apprécient que l'on se souvienne de leurs habitudes. C'est une façon de les fidéliser. Nous notons sur une fiche s'ils souhaitent un oreiller plus ou moins ferme, s'ils veulent un lisseur à cheveux dans la chambre..."
Avec son associé, Thierry Gard, et son directeur général, Thierry Grégoire, Nicolas Andrieu mise également sur une restauration de qualité. Le chef Olivier Goudechoul est aux fourneaux du Sixty-Two. Il a travaillé précédemment chez Gilles Goujon et Yannick Alleno et défend une cuisine de marché, savoureuse et juste. Entre salle et terrasse, le chef sert une cinquantaine de couverts. Les menus sont affichés à 17 € le midi et 45 € le soir.
Des idées pour dynamiser la fréquentation le week-end
"On arrive à un taux de remplissage de 80 % la semaine, un peu moins le week-end, confie Nicolas Andrieu. Notre l'idée est de lancer des offres couplées avec des nuitées, menus gastronomiques et visites de la ville." Des vélos seront également mis prochainement à disposition des clients.
"Nous voulons proposer une hôtellerie qui corresponde aux attentes de chacun, explique Nicolas Andrieu. Il faut personnaliser l'accueil car les clients apprécient que l'on se souvienne de leurs habitudes. C'est une façon de les fidéliser. Nous notons sur une fiche s'ils souhaitent un oreiller plus ou moins ferme, s'ils veulent un lisseur à cheveux dans la chambre..."
Avec son associé, Thierry Gard, et son directeur général, Thierry Grégoire, Nicolas Andrieu mise également sur une restauration de qualité. Le chef Olivier Goudechoul est aux fourneaux du Sixty-Two. Il a travaillé précédemment chez Gilles Goujon et Yannick Alleno et défend une cuisine de marché, savoureuse et juste. Entre salle et terrasse, le chef sert une cinquantaine de couverts. Les menus sont affichés à 17 € le midi et 45 € le soir.
Des idées pour dynamiser la fréquentation le week-end
"On arrive à un taux de remplissage de 80 % la semaine, un peu moins le week-end, confie Nicolas Andrieu. Notre l'idée est de lancer des offres couplées avec des nuitées, menus gastronomiques et visites de la ville." Des vélos seront également mis prochainement à disposition des clients.
Le groupe table sur un CA de 6 M€ en 2018. À
cette date, deux nouvelles adresses auront alors enrichi la collection : l'Hôtel
Caravelle à Toulouse en septembre prochain, un 3 étoiles sur le thème de
la photographique d'art, et un deuxième en novembre à Paris, en catégorie 4
étoiles, avec le Street Art comme thème central.
Publié par Dorisse PRADAL
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