En 2050, la planète devra nourrir 10 milliards d’êtres humains. Un vrai défi, "à moins que nous changions notre alimentation et notre façon de la produire", juge April Redmond, vice-présidente de Knorr.
Dans un rapport, la marque et WWF-UK prônent une alimentation plus diversifiée. 50 espèces végétales ont ainsi été sélectionnées en fonction de leur impact environnemental (rendement, besoin en eau et fertilisant, résistance…), leurs caractéristiques nutritionnelles et leur saveur. Au menu : fleur de courgette, brocolis-rave, chou (kale, chinois ou rouge), moringa, épinard, cresson, radis blanc, salsifis noir, amarante, sarrasin, éleusine, fonio, kamut, quinoa, seigle, haricot noir, azuki, fève, pois bambara, lentilles, graines de soja, lin, sésame, noix, graines germées, wakamé, racine de lotus…
Actuellement, douze plantes et cinq espèces animales représentent à elles seules 75 % de l'approvisionnement alimentaire mondial. Une exploitation intensive qui fragilise les écosystèmes naturels, en nécessitant toujours plus d'engrais et de pesticides.