Micho, ce sont tout d’abord des sandwichs composés d’un pain Hallah de la boulangerie Mamiche proche de la brioche et à l’intérieur, des recettes cuisinées signées Julien Sebbag. La meilleure vente ? Le Stew : ragoût de bœuf, patate douce mijoté très longtemps, thina au paprika, chou rouge, persil & noisette glissés dans un pain Hallah (15,50 euros). En accompagnements (de 5,50 à 6,50 euros) ? Des potatoes, aïoli à l’ail noir, paprika & oignon cebette, des carottes de couleurs rôties au miso, pesto de fanes, féta marinée aux graines de coriandre ou radiccio, oignon rouge pickles, crème de chèvre, ciboulette, poires confites & huile de sésame. Les sandwiches Micho sont en vente sur place le midi et en livraison le soir. Car c’est dans cette deuxième partie de la journée, que le restaurant passe en version bistrot.
« Le midi, on prend la commande en caisse et le client va s’installer pour manger sur le pouce. Il y a 4 sandwichs et un 5ème du jour qui varie, 3 sides et c’est de la streetfood pure. En revanche, le soir, on réserve, prise de commande à table et il y a des plats à l’ardoise qui bougent tout le temps et un service à table, avec du vin…Le ticket moyen double. Il passe de 20 euros le midi à 40 euros le soir », explique Julien Sebbag. Il propose 4 plats entre 16 et 23 euros : Shawarma de lieu jaune grillé, salade de chou rave, & chimicuri, sauce noix de cajou, Shnitzle de poulet, sauce funky…
Ouvert début novembre, Micho fonctionne 7 jours/7, de 12 h à 15 h et de 19 h à minuit (12 h à 16 h le week-end) avec une équipe de 10 personnes. Pour accueillir les 60 couverts, Moma Group et Julien Sebbag ont fait appel au studio de design Gundry + Ducker en collaboration avec le Studio E-C. Cela donne un décor contemporain, teinté de références vintage : miroirs en bois arrondi et banquettes en cuir vert emblématique des 70’s, cuisine ouverte derrière un grand bar en mosaïque blanche. Sur les étagères en bois, de vieilles radios d’époque sont installées aux côtés d’une partie de la collection de vinyles, des Beatles au Velvet Underground.
« Nous avons de vraies recettes cuisinées, des cuissons longues, un pain spécial frais du jour, il faudra mettre en place un process bien maîtrisé pour le dupliquer, estime Julien Sebbag. Pour Benjamin Patou, le concept Micho devrait éclore dans plusieurs villes de l’Hexagone.
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Publié par Nadine LEMOINE