L'Arc, restaurant et boîte de nuit, c'est fini. Les
deux entités ont été scindées en deux. Le restaurant a été agrandi, entièrement
redécoré par Sarah Lavoine et
baptisé Victoria 1836. La boîte de nuit conserve le nom originel, L'Arc. Au
premier étage, le Pavillon Etoile, offrira prochainement des salons pour l'événementiel.
Le Victoria 1836 dispose de grandes fenêtres avec vue sur l'Arc de Triomphe. La décoration mixe boiseries, pierres de taille, tables basses et fauteuil bicolores bleu et blanc réalisés sur mesure comme les luminaires. Le coin bibliothèque et sa cheminée, le bar, le piano et l'épaisse moquette apporte une note cosy. Ce découpage de l'espace ne permet pas d'imaginer qu'il y a une capacité de 132 couverts dont 10 au bar. Une équipe composée de 42 personnes a été recrutée pour faire vivre les lieux, tous les jours de 7 h 30 à minuit, sauf dimanche et samedi midi. Car l'ambition de Benjamin Patou est assumée : « Donner envie à la clientèle parisienne et internationale de venir tout le temps ».
« Je n'ai aucune velléité gastronomique, concède Benjamin Patou. Je veux une cuisine simple mais top et un peu originale. Dans l'assiette, on retrouve un travail qu'il est impossible de faire dans un bistrot de quartier ». Il a fait appel à Yannick Alléno. "J'ai eu la chance d'avoir un parrain en cuisine, Paul Bocuse. Je suis heureux de parrainer à mon tour Alexandre Auger, qui est passé de commis à 1er sous-chef au Meurice à mes côtés. Il est prêt à assumer un restaurant de ce niveau", dit Yannick Alléno, aujourd'hui à la tête du restaurant Ledoyen à Paris.
Alexandre Auger, 32 ans, a accepté de relever le défi. Au Meurice, il a travaillé 7 ans au restaurant gastronomique et 3 ans sur la brasserie. Participer à la recherche de l'identité culinaire du Victoria 1836 a été une expérience très enrichissante qui ne va pas cesser de sitôt. « C'est une carte variée de brasserie parisienne, mais aussi une "carte de boucherie". Je suis fils de boucher et ça se retrouve dans la carte, revendique Alexandre Auger. Surtout il y a de l'inattendu, même le croque-monsieur n'est pas traditionnel (à la truffe) ». Menu à 36 euros le midi (entrée + plat ou plat + dessert), à 45 euros (entrée + plat + dessert). Ticket moyen : 55 euros hors boisson. Et pour l'ambiance musicale, Benjamin Patou a fait appel à Helena Noguerra, chanteuse et DJ, qui programmera aussi des événements musicaux. Pendant ce temps, au bar, les clients pourront découvrir une dizaine de cocktails inédits en partenariat avec Chivas.
Le Victoria 1836 dispose de grandes fenêtres avec vue sur l'Arc de Triomphe. La décoration mixe boiseries, pierres de taille, tables basses et fauteuil bicolores bleu et blanc réalisés sur mesure comme les luminaires. Le coin bibliothèque et sa cheminée, le bar, le piano et l'épaisse moquette apporte une note cosy. Ce découpage de l'espace ne permet pas d'imaginer qu'il y a une capacité de 132 couverts dont 10 au bar. Une équipe composée de 42 personnes a été recrutée pour faire vivre les lieux, tous les jours de 7 h 30 à minuit, sauf dimanche et samedi midi. Car l'ambition de Benjamin Patou est assumée : « Donner envie à la clientèle parisienne et internationale de venir tout le temps ».
« Je n'ai aucune velléité gastronomique, concède Benjamin Patou. Je veux une cuisine simple mais top et un peu originale. Dans l'assiette, on retrouve un travail qu'il est impossible de faire dans un bistrot de quartier ». Il a fait appel à Yannick Alléno. "J'ai eu la chance d'avoir un parrain en cuisine, Paul Bocuse. Je suis heureux de parrainer à mon tour Alexandre Auger, qui est passé de commis à 1er sous-chef au Meurice à mes côtés. Il est prêt à assumer un restaurant de ce niveau", dit Yannick Alléno, aujourd'hui à la tête du restaurant Ledoyen à Paris.
Alexandre Auger, 32 ans, a accepté de relever le défi. Au Meurice, il a travaillé 7 ans au restaurant gastronomique et 3 ans sur la brasserie. Participer à la recherche de l'identité culinaire du Victoria 1836 a été une expérience très enrichissante qui ne va pas cesser de sitôt. « C'est une carte variée de brasserie parisienne, mais aussi une "carte de boucherie". Je suis fils de boucher et ça se retrouve dans la carte, revendique Alexandre Auger. Surtout il y a de l'inattendu, même le croque-monsieur n'est pas traditionnel (à la truffe) ». Menu à 36 euros le midi (entrée + plat ou plat + dessert), à 45 euros (entrée + plat + dessert). Ticket moyen : 55 euros hors boisson. Et pour l'ambiance musicale, Benjamin Patou a fait appel à Helena Noguerra, chanteuse et DJ, qui programmera aussi des événements musicaux. Pendant ce temps, au bar, les clients pourront découvrir une dizaine de cocktails inédits en partenariat avec Chivas.
Publié par Nadine LEMOINE
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