Exit les sushis. Chez Nobi Nobi, place à la street-food japonaise. Les yakisoba (nouilles sautées), le poulet katsu (panure panko) et le curry japonais s’imposent ici comme les best-sellers, tandis que les clients les plus curieux peuvent aussi goûter à des ramens (soupes de nouilles), des gyozas (raviolis), des bao burgers ou encore des takoyaki (beignets ronds au poulpe). “Nous proposons des plats très généreux, entre 350 et 450 grammes en moyenne, pour des prix allant de 9,90 € à 11,90 €. Nos nouilles artisanales sont à base de farine bio, les matières premières sont en quasi-totalité françaises, notamment le poulet”, précise Benjamin Schmit, en charge du développement de la marque.
Esprit manga
Le concept, imaginé par Sing Lee Ly (également fondateur de Pittaya, chaîne de street-food thaïe), a été lancé en 2014. “C’est la première chaîne de street-food japonaise sans sushi en France”, assure l’entrepreneur. Avec ses tarifs accessibles, son esprit manga, ses couleurs pop et ses néons, la marque est parvenue à séduire une clientèle large, au-delà de son cœur de cible axé sur les 15- 35 ans.
Depuis trois ans, la marque née à Bordeaux se déploie en franchise, en privilégiant des superficies allant de 100 à 150 m², en centre-ville, dans les centres commerciaux ou en périphérie. Forte de quatre restaurants en propre et sept en franchise, elle compte ouvrir quatre nouveaux établissements dans les deux prochains mois, à Saint-Brieuc, Nancy, Mérignac et Bègles. Prochaine étape : atteindre une cinquantaine de points de vente d’ici à fin 2025.
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Publié par Violaine BRISSART