Depuis le lancement, en 2019, des deux premiers restaurants Lüks Kebab à Paris (Place d’Italie et Place du colonel Fabien), les deux fondateurs, Kamal Zaoui et Nordine Bara, volent de succès en succès grâce au lancement de leur franchise. Après Paris, Lille et Annecy, c’est au tour de Nice de découvrir le kebab de luxe (Lüks en turc, un clin d’œil à la communauté turque qui a inventé le kebab en Allemagne dans les années 70). Le 15 mai, l’enseigne ouvrira Descente Crotti dans le Vieux-Nice, son dixième établissement, d’une surface de 120 m2. "C’est un pari pour nous, explique Kamal Zaoui. C’est une ville importante dans le sud de la France où nous ne sommes pas encore présents".
Le concept est simple : proposer un kebab gourmet avec des produits frais et de qualité et innover avec des recettes originales. Le tout dans un décor agréable très « girly » avec des effets miroir, des laitons et des néons. À côté du kebab basique (viande avec chou rouge mariné, salade, fromage Beyaz Peynir - feta turque - et sauce blanche), on trouve ainsi le Tartuffo, un kebab à la truffe, le chèvre miel (qui représente 70 % des ventes) ou encore le kebab à la pistache élaboré par le chef Mathieu Scherrer. Il faut compter entre 6,90 et 16,90 euros selon la recette choisie.
Produits locaux
Dans chaque restaurant, des produits locaux sont utilisés. À Lille, le gratin de fromage se fait à base de maroilles, à Annecy, c’est le reblochon. Qu’en sera-t-il pour Nice ? Le responsable du restaurant niçois promet deux nouveautés avec des mélanges salé/sucré. Comme pour tous les restaurants Lüks Kebab, il bénéficie de l’expertise des deux fondateurs pour le choix des pains (galette et pain triangle) et la recette des boules (viande de veau et dinde avec une marinade spéciale).
Avec un chiffre d’affaires annuel d'environ 1,2 million d’euros par restaurant, et 250 000 abonnés sur les réseaux sociaux (dont 110 000 sur Instagram, 60 000 sur Tik Tok et 20 000 sur SnapChat), Lüks Kebab a de vrais atouts pour se faire une place à Nice.
Publié par Pour Aletheia Press, Isabelle Verdier