du 19 janvier 2005 |
REVUE DE PRESSE |
Le coin du client
Chaque semaine, notre 'client mystère' - impossible de l'identifier - aborde un de ces petits détails qui conditionnent bien souvent la réussite ou l'échec d'une prestation, et par là même, la réputation de votre maison.
Avec indulgence et humour, comment remédier facilement à des désagréments que vous ne percevez pas forcément. Scène de la vie quotidienne au restaurant, au café ou à l'hôtel.
Le vin bouchonné
Inutile d'en faire une question d'honneur
: vous pouvez avoir ouvert une bouteille bouchonnée, et votre responsabilité
n'est pas engagée pour autant ni la réputation de votre établissement
d'ailleurs. Dans ce cas, inutile de 'vérifier' ostensiblement si le client
a raison, c'est mettre en doute à la fois sa compétence oenologique
- sujet sensible, surtout pour le monsieur accompagné d'une jolie dame
- et sa bonne foi. Après tout, ça peut arriver, autant remplacer sans
commentaire le flacon litigieux.
Seul
cas où vous avez le droit d'être intraitable : la bouteille une fois
vidée - de préférence très chère - qu'un client affirme
imbuvable. Cas rare mais pas complètement irréel.
zzz22v
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L'Hôtellerie Restauration n° 2960 Hebdo 19 janvier 2006 Copyright © - REPRODUCTION INTERDITE