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Un chèque de 60 000 euros pour les apprentis du département

Formation - Écoles - vendredi 15 octobre 2010 15:28
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De gche à droite lors de la remise de la dotation : Jean-Luc Ferchaud, Gérard Maudelonde, président des caftiers de l'Umih Orne, Daniel Mariette, serétaire général, Roger Bellier, Claude Giard, président des restaurateurs de la Manche et Patricia Valette, présidente de l'hôtellerie familiale de l'Umih 61.
De gche à droite lors de la remise de la dotation : Jean-Luc Ferchaud, Gérard Maudelonde, président des caftiers de l'Umih Orne, Daniel Mariette, serétaire général, Roger Bellier, Claude Giard, président des restaurateurs de la Manche et Patricia Valette, présidente de l'hôtellerie familiale de l'Umih 61.

“Former et former mieux, c’est notre volonté” a réaffirmé Roger Bellier, président de l’Umih Orne, lors de la remise de la dotation financière apportée au fonctionnement des centres de formation d’apprentis d’Alençon par le Fafih, l’OPCA de l’hôtellerie, de la restauration et des activités connexes, aux centres de formation d’apprentis d’Alençon : le 3IFA et le CMFAO. Un montant auquel s’ajoute, à hauteur d’un tiers, la dotation Pama (Promouvoir l'Apprentissage dans les Métiers de l'Alimentation) du CGAD. Soit une somme totale de 60 000 euros, reçue par le directeur du 3IFA, Jean-Luc  Ferchaud, dont l’implication dans la réussite professionnelle des jeunes est largement reconnue dans le département. En terme d’apprentissage, “chaque entreprise a des attentes différentes” a souligné ce dernier. Mais “les jeunes qui nous arrivent ont de vraies difficultés. Ils ont des vies d’enfer, avec de gros problèmes familiaux. Je voudrais qu’on arrête ce discours à l’égard de nos jeunes. Ils sont bien. Nous n’avons que très peu de délinquants, en revanche ils ont besoin qu’on leur apprenne à avoir confiance en eux. Et nous y arrivons.” Revenant sur les besoins des entreprises ornaises, Roger Bellier confirme la tendance nationale. “85 % des emplois sont de niveau V, 12%% de niveau IV… Mais nous ne voulons pas de niveaux très bas. Nous voulons les aider à avancer, quels qu’ils soient.” Un vœu qui s’accompagne dans le département d’une dynamique soutenue par les confréries. “Il y a de nombreux concours (boudin blanc, rillettes, terrines de lapin, andouillettes, etc.) "et ils contribuent à l’épanouissement des jeunes sur le terrain” confie un professionnel du cru. Des apprentis alençonnais qui ont eu, un des leurs, l'an dernier, en finale des Olympiades des métiers au Japon.
Sylvie Soubes

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