Lycée hôtelier de Talence, 11 h 30. Dans le bar d'application, dressés sur le comptoir, se trouvent des sandwiches chauds et froids à 2,50 €, du taboulé, une salade de riz à 1,50 € et une flopée de desserts à 1 €. Du fait maison évidemment ! Des étudiants du greta du lycée arrivent. Ils ont peu de temps, un examen démarre dans une demi-heure. "D'habitude, on sort à l'extérieur pour déjeuner mais là c'est vraiment idéal. C'est pas cher et c'est bon !", lance un jeune homme ravi.
"Dans l'air du temps"
Venant compléter l'offre classique de la cantine et du restaurant d'application, le snacking a démarré le 12 avril. La responsable de la classe, Muriel Lafourcade, explique : "Je cherchais une idée pour valoriser les élèves en CAP restauration. Le snacking est dans l'air du temps. C'est un gros investissement pour la classe qui compte neuf jeunes. Ils élaborent la carte, se chargent de la fabrication pendant deux heures de travail, puis s'occupent de la vente et du service."
Pour l'heure confidentielle, l'offre proposée tous les vendredis pourrait prendre de l'ampleur. "C'est un test. Tout le lycée n'est pas au courant car on ne pourrait faire face. Mais si la formule plaît et qu'elle ne coûte pas d'argent à l'établissement, nous pourrions à la prochaine rentrée créer un véritable coin snacking. Il faut que cela soit voté en conseil d'administration", précise le professeur avant tout fière de ses élèves.
"Dans l'air du temps"
Venant compléter l'offre classique de la cantine et du restaurant d'application, le snacking a démarré le 12 avril. La responsable de la classe, Muriel Lafourcade, explique : "Je cherchais une idée pour valoriser les élèves en CAP restauration. Le snacking est dans l'air du temps. C'est un gros investissement pour la classe qui compte neuf jeunes. Ils élaborent la carte, se chargent de la fabrication pendant deux heures de travail, puis s'occupent de la vente et du service."
Pour l'heure confidentielle, l'offre proposée tous les vendredis pourrait prendre de l'ampleur. "C'est un test. Tout le lycée n'est pas au courant car on ne pourrait faire face. Mais si la formule plaît et qu'elle ne coûte pas d'argent à l'établissement, nous pourrions à la prochaine rentrée créer un véritable coin snacking. Il faut que cela soit voté en conseil d'administration", précise le professeur avant tout fière de ses élèves.
Publié par Brigitte DUCASSE
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