Célébré avec faste le 6 avril dernier, le centenaire du Manoir de Beaulieu-sur-Dordogne rappelle la tradition séculaire d'accueil cultivée dans cette région fortement touristique. Ouvert en 1912, tenu par la famille Fournié, le site a bénéficié en 2004 d'une relance et d'une nouvelle jeunesse grâce à son nouveau propriétaire Patrice Landrein. Ancien du Savoy de Londres puis du Plaza Athénée de New York, ce gestionnaire de palaces aura effectué trois ans de travaux pour en faire un établissement de charme et de volupté.
Reconnu 'Meilleure entreprise de l'année en Corrèze' pour 2006, le Manoir propose 25 chambres et suites ultra équipées (3 étoiles), des salles de séminaire ultra modernes, et une partie restauration - La Ferme d'Amélie - tenue par le jeune chef Aurélien Leroy. Ce dernier propose une cuisine originale, se positionnant volontairement dans une vocation d'excellence. Les prix se veulent attractifs, en regard d'un décor raffiné et confortable, avec des menus évoluant de 30 à 60 €.
"Le 'plus' qui permet de varier les prestations"
"Notre Manoir se veut une référence, affirme Patrice Landrein, dans un département qui ne manque pas de bonnes adresses et de maisons de grande qualité. Nous espérons marquer notre différence par notre sens de l'accueil, la cuisine inventive de notre chef, et le confort de notre hébergement. Nous sommes certes des centenaires ayant traversé tout le XXe siècle. Mais nous avons un passé et une réputation qui nous aident aujourd'hui à préparer notre avenir."
Pour l'équipe en place, le challenge est tout tracé : conforter une place de choix dans les différents guides, s'imposer comme une étape remarquable pour une clientèle composée de voyageurs, mais aussi d'hommes d'affaires et d'entreprises. D'où la volonté du directeur de faire la part belle aux formules 'séminaire' (50 € la journée d'étude par personne tout compris) avec des écrans de projection, connexion wifi, vidéos-projecteurs… Un bar, une terrasse, deux salles dédiées complètent cette formule dont les capacités avoisinent les 120 invités-participants.
"Nous avons le 'plus' qui permet de varier les prestations, souligne le dirigeant, avec en prime une table à la notoriété déjà très forte. Au Manoir, nous pouvons désormais recevoir tous les genres de clients, en satisfaisant tous leurs besoins."
Reconnu 'Meilleure entreprise de l'année en Corrèze' pour 2006, le Manoir propose 25 chambres et suites ultra équipées (3 étoiles), des salles de séminaire ultra modernes, et une partie restauration - La Ferme d'Amélie - tenue par le jeune chef Aurélien Leroy. Ce dernier propose une cuisine originale, se positionnant volontairement dans une vocation d'excellence. Les prix se veulent attractifs, en regard d'un décor raffiné et confortable, avec des menus évoluant de 30 à 60 €.
"Le 'plus' qui permet de varier les prestations"
"Notre Manoir se veut une référence, affirme Patrice Landrein, dans un département qui ne manque pas de bonnes adresses et de maisons de grande qualité. Nous espérons marquer notre différence par notre sens de l'accueil, la cuisine inventive de notre chef, et le confort de notre hébergement. Nous sommes certes des centenaires ayant traversé tout le XXe siècle. Mais nous avons un passé et une réputation qui nous aident aujourd'hui à préparer notre avenir."
Pour l'équipe en place, le challenge est tout tracé : conforter une place de choix dans les différents guides, s'imposer comme une étape remarquable pour une clientèle composée de voyageurs, mais aussi d'hommes d'affaires et d'entreprises. D'où la volonté du directeur de faire la part belle aux formules 'séminaire' (50 € la journée d'étude par personne tout compris) avec des écrans de projection, connexion wifi, vidéos-projecteurs… Un bar, une terrasse, deux salles dédiées complètent cette formule dont les capacités avoisinent les 120 invités-participants.
"Nous avons le 'plus' qui permet de varier les prestations, souligne le dirigeant, avec en prime une table à la notoriété déjà très forte. Au Manoir, nous pouvons désormais recevoir tous les genres de clients, en satisfaisant tous leurs besoins."
Publié par Jean-Pierre GOURVEST
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