Etats généraux : regroupement d'indépendants sous une marque

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ETourisme

vendredi 10 avril 2009

On voit des chaines reussir (Courtepaille, Buffalo et autre Ibis..) parceque justement les clients sont rassurés de trouver une prestation uniformisée... rassurante et garantie...
Aller vers un restaurant ou un hôtel inconnu c'est prendre le risque de la déception...peu de clients cherchent celà !
C'est pour çà que je répète que les hôteliers indépendants doivent se regrouper sous une marque ..tout en mettant en avant leur différence...(avec un vrai budget commercial !)
Garantir que leur différence est mieux qu'une chaine... au même prix.... c'est celà l'avenir

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Jean-Luc FESSARD

samedi 11 avril 2009

Et si la TVA était l'arbre qui cache la forêt?
Merci Sylvie pour votre commentaire.
Merci Bernard pour ta réponse.
Mais je persiste, lorsque j'évoquais 3 ans c'est parce qu'il faut du temps pour réussir un changement (par exemple c'est le temps qu'il faut à un agriculteur pour passer de l'intensif au bio). Il y a urgence c'est la crise, ne faisons pas n'importe quoi. Nous sommes dans une crise profonde, plus profonde que ce que disent nos dirigeants. Elle est économique,sociale et écologique. Bravo aux restaurateurs qui font bien leur métier, haro sur les autres, mais ce qui se joue dépasse largement le marketing de nos assiettes. Puisque nous nous préparons à des états généraux, n'oublions pas qu'en 1789 dans leurs cahiers de doléances les riverains de la Loire se plaignaient de manger du saumon tous les jours. La questions est: quels doivent être les fondamentaux d'une restauration durable? Comment aujourd'hui être des dirigeants prospères parce qu'ils ont des clients heureux d'avoir en face d'eux des employés heureux de leur servir de bons produits parfaitement sains. L'état est prèt à faire un effort financier profitons-en pour dès aujourd'hui poser les bases de la restauration de demain. Y a t'il des candidats pour conduire une réflexion dans ce sens?
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sylvie

samedi 11 avril 2009

plan d'attaque
1/ observation 2/ relevés des disfonctionnement 3/ action à mettre en place correspondante à "un" disfonctionnement et non une action correspondantes "aux" disfonctionnements.
Banalité ? Il semblerait que ce basique n'est pas une évidence pour tout le monde...
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ETourisme

samedi 11 avril 2009

Alors expliquez moi M. B.BOUTBOUL....
Pourquoi vos données et études de marché ne correspondent-ils pas à nos clients ?
On pourrait s'y perdre...
Pourquoi nos clients mangent ils Bourguignon et Plats à la Crème ..(sans compter les iles flottantes et riz au lait grand-mère)... et délaissent poisson vapeur et brocolis ?
Pour être honnète ..nous n'avons une clientèle de bureau et de secretaires soucieuses de leur ligne...
Mais les mêmes en vacances venues décompenser...!
Quand à la rue des moules frites ("attrape-touristes" selon certains experts).... c'est Brodway tous les soirs.
Les clients seraient ils plus insaisisables que nos sociologues préférés le disent ?
**** les mêmes études qui disaient il y a 2 ans qu'il fallait investir dans le luxe .... seul avenir pour nos métiers ?
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sylvie

samedi 11 avril 2009

Albert, je ne crois pas malheureusement ...
...que ce soit une question d'âge.
Ce qu'il faudrait c'est détecter le problème (pour chaque restaurateur) et y apporter une solution. Mais soyons honnête, le prix d'un consultant est souvent prohibitif. Pourquoi ne pas créer un groupe de consultant venu de tout horizon, pour une vision plus large, qui par une cotisation mensuelle, assorti d'une obligation de résultat, répondrait à cette problématique.
Sans prétention de porter un jugement, il me semble qu'entre les arguments de ET, Mr Leger par exemple et ceux de Mr Boutboul, il y a tout simplement une différence de typologie clientèle. En effet, la clientèle urbaine d'une grande ville (voir vacancières)n'est pas la même que celle des zones rurales.
La restauration est un secteur trop vaste pour qu'un consultant à lui seul réponde à toutes une série de problème qui surgissent et s'accentuent à l'occasion d'une crise financière, de confiance et de pouvoir d'achat.
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ETourisme

samedi 11 avril 2009

Le problème chère Sylvie... c'est les clients
Ou plutot d'avoir des clients... pas une question de typologie ou de consulting..*
Ouvrons nos oeilleres...çà decrasse les yeux parfois.
Dans les grandes villes...vous pouvez avoir dans la même rue un bistro, un chinois, une croissanterie, un couscous, une brasserie..etc... et tout le monde travaille à partir de la même clientèle environnante...
Nous, nous n'avons pas une typologie particulière..mais répondons à un besoin particulier...détente, et curiosité... le propre d'un séjour touristique..
Plutot que de comprendre un restau..comprenons les clients.
A chaque occasion son restaurant... ce n'est pas le même choix si je fais un repas d'affaire, un anniversaire de mariage, une sortie achats, une soirée entre amis, un week end, une sortie cinéma, une pause autoroute, une soirée gourmande..etc...
Ce qui coince aujourd'hui c'est que les restaurants n'attirent plus leurs clients... mésentente passagère ?
les gens continuent de manger et de sortir..mais se restaurent de manière différente...
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Albert

samedi 11 avril 2009

E.T. je vous comprends..
...et ce phénomène n'est pas cantonné à la restauration. Je le résumérais par "Emerveilez moi ! nom de D.... !" . Où est l'émerveillement? dans l'assiette? dans le décor? dans le service? dans les bigoudis de la patronne? nulle part.. Et croyez moi, je peux m'émerveiller de peu de chose. Hélas, j'ai l'émerveillement en berne. Vous parliez de Buffalo... l'emerveillement n'est surement pas dans l'assiette mais il est vrai que le décor et les relents exotiques peuvent en émerveiller certains. Mac Do émerveille les petiots et les grands encore petits. Plus le bisrot du coin qui m edonne l'impression que ma femme nulle en cuisine fera aussi bien à la maison ..plus proprement.
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Thénardier Père & fils

samedi 11 avril 2009

Quand un consultant cherche à imposer ses points de vue...
...il y a alors forcément un problème. Et pire que ça, face à la complexité de la restauration, je ne suis pas convaincu par ce que je lis par cet intervenant nous donne un bon aperçu de ses compétences. Mais bon...

Le résumé de tout cela est, à mon avis, comment donner l'envie aux clients de refréquenter nos restaurants ? L'avenir de la restauration passe par là, uniquement et seulement. + de clients, c'est + de moyens et tout le reste ne peut que suivre : investissements, salaires rehaussés, modernisation, etc.

Mais la question suivante est plus dérangeante : pour faire revenir les clients, ne faut-il pas au préalable réinvestir, rehausser les salaires, rendre les restaurants + attractifs pour les jeunes,… ? Bref, tout ce qu'on aurait dû faire depuis longtemps.

C'est donc l'œuf et la poule, non ? (ma question s'adresse bien sûr aux intervenants, pas au mini gourou).
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sylvie

samedi 11 avril 2009

Augmenter la fréquentation : faire des partenariats avec des prestataires de loisirs
Plus sérieusement, étant donné que le premier budget qu'un client peu couper c'est son budget restaurant dont le 'plaisir' ne sera pas à la hauteur de la dépense de toute façon. Je m'explique avant de me retrouver enfermé à l'auberge rouge...
Que vais-je choisir entre dépenser 94 euro au futuroscope (par exemple)avec chambre d'hôtel et petit dej et une sortie resto à 80 euros dans le choix du loisir ?
Avez vous essayé de lier vos prestations à des loisirs ? Faire des partenariats en quelque sorte ?
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Bernard Boutboul

samedi 11 avril 2009

Comportements clients
Vos clients qui mangent ainsi sont dans quelles régions de la France et dans quel contexte?
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ETourisme

samedi 11 avril 2009

Comportements clients....dans toutes les régions...
Nous réalisons et commercialisons des séjours à but touristiques, balneo ou sportifs...La totalité avec restauration...
En séjour remise en forme..on fait une gamme allégée, pour l'image bien sur... Mais dans les choix c'est le rustique, lourd et costaud qui part !
Je ne vous parles même pas des séjours ski..essayez d'éviter la trinité fromage-P de terre-charcuteries... c'est un scandale assuré ...
Je suis toujours étonné quand les hôtelier et restaurateurs ne voient pas ce qu'ils ont devant le nez..les comportements de leurs clients !
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michel coquart

samedi 11 avril 2009

A MR BOUTBOUL
Beaucoup de restaurateurs ont une pression énorme qui les empêche souvent de prendre des décisions ou d'opérer des changements dans leurs habitudes de travail qui ont évoluées depuis 30 ans comme on me le fait remarquer gentiment.Le problème est qu'il faut arriver à trouver des solutions quant à l'utilisation de cette manne financière qui est attendue depuis plus de trente ans puisque notre génération a commencé à la revendiquer en 1980 et qui va représenter environ 10% du chiffre d'affaire.
Pour beaucoup ce sera uniquement un sauvetage de leur entreprise
Pour d'autres ce seront des investissements obligatoires et nécessaires.
Pour d'autres ce sera tout simplement un moyen d'avoir un véritable salaire.
Pour d'autres ce sera des augmentations de salaires et pour certains ce sera tout à la fois donc le problème c'est de déterminer les priorités acceptables et acceptées lors des consultations. Michel Coquart http://www.chr3c.fr

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