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Au cours du premier trimestre 2015, le groupe Accor a enregistré de bonnes performances. Sa branche HotelServices, avec un volume d'activité à 2,9 milliards d'euros, est en progression de 8,4 % hors effet de change, alors qu'HotelInvest, à 1,055 milliard d'euros, est en hausse de 4,8 %.
Ces bons résultats se ressentent sur l'ensemble des destinations, avec des variations selon les pays. Pour les deux métiers, les zone Europe du Nord, centrale et de l'Est a connu la croissance la plus soutenue (+ 6,4 % pour HotelInvest et + 8,8 % pour HotelServices).
En France, la province sauve Paris
En France, Accor le groupe tire les bénéfices de sa restructuration, et son activité s'est accrue en province, ce qui lui a permis de rééquilibrer les comptes. Des salons comme le Sirha à Lyon ainsi que les congrès à Lille et Bordeaux ont largement contrebalancé les mauvais résultats de Paris.
Accor poursuit par ailleurs son développement avec l'ouverture de 47 hôtels (soit 7 238 chambres) au premier trimestre 2015. Les perspectives du deuxième trimestre sont bonnes sur l'ensemble des destinations à l'exception de la France du Brésil, ou l'activité économique pour la première, hôtelière pour le second, n'incitent pas à l'optimisme.
Ces bons résultats se ressentent sur l'ensemble des destinations, avec des variations selon les pays. Pour les deux métiers, les zone Europe du Nord, centrale et de l'Est a connu la croissance la plus soutenue (+ 6,4 % pour HotelInvest et + 8,8 % pour HotelServices).
En France, la province sauve Paris
En France, Accor le groupe tire les bénéfices de sa restructuration, et son activité s'est accrue en province, ce qui lui a permis de rééquilibrer les comptes. Des salons comme le Sirha à Lyon ainsi que les congrès à Lille et Bordeaux ont largement contrebalancé les mauvais résultats de Paris.
Accor poursuit par ailleurs son développement avec l'ouverture de 47 hôtels (soit 7 238 chambres) au premier trimestre 2015. Les perspectives du deuxième trimestre sont bonnes sur l'ensemble des destinations à l'exception de la France du Brésil, ou l'activité économique pour la première, hôtelière pour le second, n'incitent pas à l'optimisme.
Publié par Catherine AVIGNON
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