Second point, le contrôle. Le CCF estime que ce sont « les hommes de métiers au savoir-faire reconnu qui sont les mieux placés pour juger et soutenir la qualité d'un restaurant. Ils sont les garants légitimes et indépendants des valeurs et de la conception du métier d'artisan restaurateur ».
Quant au fait maison, le CCF propose d'aller plus loin dans la transparence. Elle doit inclure l'origine des produits bruts, concerner également la qualité de l'hospitalité mais aussi la qualification du professionnel en cuisine. Des positions que les chefs du Collège Culinaire de France entendent bien défendre, d'autant que rien n'est joué à l'Assemblée Nationale.
Publié par Nadine LEMOINE
lundi 1 juillet 2013