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Le menu fait la part belle aux burgers, dont L'Ecossais (saumon écossais label rouge snacké à la plancha, oignons confits, mâche, chips de manioc, coleslow et sauce barbecue), Monsieur Aïoli (cabillaud vapeur, oignons confits, roquette, pickles de carotte, galette de pommes de terre et mayonnaise ail/ciboulette), ou encore Le Burger Classic, composé de poisson à chair blanche pané aux corn flakes, d'oignons frits, de trévisse, pickles d'oignons et crème à la ciboulette.
L'enseigne propose aussi des salades de la mer, des accompagnements
(frites, coleslaw), ou encore des tapas
(wraps de poulpe, bouchées de merlan farcies à l'Ossau-iraty). "Tout est fait maison. Les poissons
proviennent autant que possible de la pêche durable : ils sont frais et
livrés en direct par les mareyeurs tous les matins. Quant aux accompagnements,
ils sont issus de l'agriculture
raisonnée", précise le cofondateur.
Une clientèle hétérogène
Avant même son lancement, Père & Fish a multiplié les récompenses : la bourse Badoit 2018, le challenge Pépite France des étudiants entrepreneurs, le prix Banque populaire 2017 et le concours 100 jours pour entreprendre. Et la première semaine d'activité semble "valider la pertinence du concept". "Le premier jour, on a fait presque 200 couverts. Ça cartonne. Il semble que les gens attendaient ce produit", estime Antony Giordano.
L'établissement de 96 m², pourvu de 32 places assises et 12 autres en terrasse, affiche un ticket moyen de 15 € environ. À l'heure du déjeuner, 70 % des ventes se font à emporter. Le soir venu, place aux apéritifs iodés. La bonne surprise ? "Dans notre business plan, on visait plutôt les CSP + et la clientèle de midi. Mais cela plaît finalement à une clientèle beaucoup plus large, et même aux familles avec enfants le week-end. On ne s'y attendait pas du tout", avoue-t-il.
Ambitieuse, la marque espère ouvrir un deuxième point de vente dès 2019, et se lancer en franchise d'ici deux ans.
Une clientèle hétérogène
Avant même son lancement, Père & Fish a multiplié les récompenses : la bourse Badoit 2018, le challenge Pépite France des étudiants entrepreneurs, le prix Banque populaire 2017 et le concours 100 jours pour entreprendre. Et la première semaine d'activité semble "valider la pertinence du concept". "Le premier jour, on a fait presque 200 couverts. Ça cartonne. Il semble que les gens attendaient ce produit", estime Antony Giordano.
L'établissement de 96 m², pourvu de 32 places assises et 12 autres en terrasse, affiche un ticket moyen de 15 € environ. À l'heure du déjeuner, 70 % des ventes se font à emporter. Le soir venu, place aux apéritifs iodés. La bonne surprise ? "Dans notre business plan, on visait plutôt les CSP + et la clientèle de midi. Mais cela plaît finalement à une clientèle beaucoup plus large, et même aux familles avec enfants le week-end. On ne s'y attendait pas du tout", avoue-t-il.
Ambitieuse, la marque espère ouvrir un deuxième point de vente dès 2019, et se lancer en franchise d'ici deux ans.
Publié par Violaine BRISSART
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