Des cuisines du restaurant La Corde à Toulouse (31), au Majestic à Lourdes (65) en passant par Le Manoir du Petit Prince ou encore par les cuisines de l'Élysée sous Jacques Chirac, Mo Bachir a su se faire remarquer par son talent, son professionnalisme et par son sens de la communication. Un ancien lieu industriel à deux pas de la place Wilson (dernier cinéma X de la ville) a été réhabilité en trois espaces abrités par une verrière pour devenir le Colmado. Dans un espace cosy, 275 personnes peuvent manger, autour du bar, ou encore prendre un verre autour de tapas revisités par Mo Bachir (Tartare à la libanaise, Ceviche de cabillaud au lait de coco, Patatas bravas…).
"Barcelone à Toulouse"
À l'origine, trois frères, Christophe, Olivier et Thierry Lasserre, issus de l'industrie pharmaceutique qui ont eu envie de monter leur entreprise. "C'est un rêve qui prend forme, certes, mais un choix raisonné, nous nous sommes entourés de vrais professionnels de la restauration", explique Thierry. C'est une rencontre entre des développeurs d'entreprise et un homme de talent. Le choix du chef s'est donc imposé naturellement. Mo Bachir a carte blanche avec une cuisine méditerranéenne revisitée, les mélanges de volumes, de textures et d'épices."
"Barcelone à Toulouse, oui, mais on ne voulait pas un décor chorizo, s'amuse Christophe, alors on a fait appel à une architecte barcelonaise, Sandra Tarruella et au toulousain Bruno Casalta. On a voulu associer chaleur latine et design". Mélange particulièrement réussi de bois, de pierre et de faïences, destiné à séduire toutes les tranches d'âge. Avec un ticket moyen entre 25 et 30 €, une cuisine de saison, vous croiserez d'ailleurs Mo Bachir tous les matins dans les allées du marché Victor Hugo. Développer le concept, c'est le souhait le plus cher des frères Lasserre.
"Barcelone à Toulouse"
À l'origine, trois frères, Christophe, Olivier et Thierry Lasserre, issus de l'industrie pharmaceutique qui ont eu envie de monter leur entreprise. "C'est un rêve qui prend forme, certes, mais un choix raisonné, nous nous sommes entourés de vrais professionnels de la restauration", explique Thierry. C'est une rencontre entre des développeurs d'entreprise et un homme de talent. Le choix du chef s'est donc imposé naturellement. Mo Bachir a carte blanche avec une cuisine méditerranéenne revisitée, les mélanges de volumes, de textures et d'épices."
"Barcelone à Toulouse, oui, mais on ne voulait pas un décor chorizo, s'amuse Christophe, alors on a fait appel à une architecte barcelonaise, Sandra Tarruella et au toulousain Bruno Casalta. On a voulu associer chaleur latine et design". Mélange particulièrement réussi de bois, de pierre et de faïences, destiné à séduire toutes les tranches d'âge. Avec un ticket moyen entre 25 et 30 €, une cuisine de saison, vous croiserez d'ailleurs Mo Bachir tous les matins dans les allées du marché Victor Hugo. Développer le concept, c'est le souhait le plus cher des frères Lasserre.
Publié par Dorisse PRADAL
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