Covid : la pression est toujours forte”, “La ministre du Travail testée positive”, “La France comptabilise plus de 90 000 décès dus à la Covid”… Distanciation sociale, masque, couvre-feu… Voilà les gros titres, les mots qui hantent notre quotidien depuis un an. Un an de galère, de pression psychologique, de peur, d’angoisse, ponctuées de touches d’espoir... Un an que les chefs d’entreprise se battent pour conserver leurs établissements. Un an que les salariés sont coincés chez eux dans une situation souvent paradoxale, avec du temps libre mais sans savoir qu’en faire. Et la peur pour certains de perdre leur emploi, que demain ne soit jamais plus comme avant. Un an que les étudiants sont privés d’école, privés de lieux où effectuer leurs stages (lire ici) et leur apprentissage, privés des revenus des jobs étudiants.
Il aura fallu un an, mais l’heure est peut-être venue d’envisager l’avenir avec plus d’optimisme. Le PGE, le chômage partiel, le fonds de solidarité, les différentes aides auront permis à une majorité de tenir bon, même si l’on n’oublie pas que les emprunts devront être remboursés. Et le vaccin, malgré les différents variants, représente très certainement la lumière au bout du tunnel. Encore quelques semaines et, nous l’espérons, le mot d’ordre travail deviendra réalité.
Publié par Romy CARRERE