C’est ce qu’ont ressenti les professionnels, lorsque le président de la République les a rencontrés, le 27 septembre au Sirha à Lyon. Reconnaissance pour le métier qu’ils font, au service des autres, pour le rayonnement de l’art de vivre à la française, du bistrot jusqu’à la table prestigieuse, pour le travail avec les producteurs sur le territoire.
La reconnaissance est à double sens. Et le journal a transmis au président de la République et aux responsables syndicaux la reconnaissance de la profession pour avoir fait plus qu’assumer leurs responsabilités pendant cette période aussi trouble.
Un vent d’optimisme a soufflé sur le Sirha. Espérons qu’il se ressente aussi dans les établissements où les salariés se plaignent du manque de reconnaissance. Certes, les éléments financiers sont majeurs. Saluons à ce propos la réponse positive du président de la République à la question du Maître restaurateur Romain Vidal sur la défiscalisation des pourboires. Mais un peu de reconnaissance ne fait jamais de mal non plus et quand les entreprises ont déjà des difficultés à attirer, elles risquent d'en avoir encore plus à prospérer.
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Publié par Olivier MILINAIRE