Vingt bougies et un bistrot pour La Bastide des senteurs

Saint-Victor-de-Malcap (30) Roselyne et Franck Subileau ont décidé d'élargir l'offre de leur établissement avec une cuisine et des tarifs qui attirent une clientèle nouvelle.

Publié le 25 juillet 2016 à 18:57
En novembre prochain, Roselyne (sommelière) et Franck Subileau (chef de cuisine) fêteront les 20 ans de l'ouverture de La Bastide des senteurs. Un hôtel-restaurant aménagé dans une ancienne ferme familiale à la lisière du Gard et de l'Ardèche, et qu'ils ont fait évoluer après dix ans d'exploitation, ajoutant cinq chambres aux neuf initialement aménagées et créant une boutique de vente de vins. 

"Cette année, nous concrétisons un projet qui nous trottait dans la tête depuis quelques temps déjà. Il s'agit de la création d'un bistrot à part entière qui nous permet d'élargir l'offre de restauration", explique le couple.
Ils tirent ainsi les enseignements d'un phénomène qui s'accentue saison après saison : "En été au déjeuner, les clients se faisaient rares au restaurant gastronomique, explique le cuisinier qui fut le second de Patrick Henriroux, à La Pyramide à Vienne. Nous avons donc commencé par proposer un menu avec des plats de bistrot à midi. Mais dans une même salle se côtoyaient alors deux clientèles aux attentes différentes. Nous avons donc aménagé et décoré une salle spécifique pour le Bistrot Mamie Georgette, du nom de ma grand-mère à laquelle je rends ainsi hommage."


Diversité de cuisines et de tarifs

Cette formule, lancée en mai, génère l'arrivée d'une nouvelle clientèle de proximité souvent plus sensible à l'aspect financier et permet également de capter les touristes qui s'installent à l'hôtel pour plusieurs jours. Ils ont le choix entre deux types de restauration et cette diversité de cuisines et de tarifs fait qu'ils sont moins tentés d'aller voir ailleurs en revenant de balade ou après avoir profité de la piscine."

Un menu du jour en trois services est proposée à 18,50 € et un choix de plats à l'ardoise permet de composer sa propre formule avec un ticket moyen d'une trentaine d'euros. "Cela me permet de proposer des plats comme la souris d'agneau ou les pieds et paquets que je ne mets jamais à la carte du gastronomique", conclut Franck Subileau dont la devise est toujours : "Cuisiner, c'est rêver''.


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Publié par Jean BERNARD



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