du 24 février 2005 |
REVUE DE PRESSE |
Dans Les Échos L'art d'acclimater les touristes chinois [ ] Intervenant dans le cadre du 46e congrès du Syndicat national des agents de voyages, Thierry Baudier (Maison de la France) n'a pas caché que notre pays souffre d'un déficit d'image auprès du grand public chinois. [ ] Il est également impératif pour les
professionnels français de tenir compte des exigences des Chinois en matière de confort
mais aussi de mode de vie. Selon Michel Bidault, le responsable du bureau pékinois de
l'organisme, l'hôtelier ne doit pas oublier, par exemple, la bouilloire et du thé, la
brosse à dents et le dentifrice, et même les pantoufles. La restauration est un autre
casse-tête : il s'agit de limiter la gastronomie française, déroutante, et de prévoir
du riz ou des pâtes à chaque repas.
De même, le Chinois a une prédilection pour la viande bien cuite, n'aime pas dîner tard
et apprécie le service rapide. Ces points peuvent paraître anecdotiques, sauf que le
choix de la France par les touristes de l'empire du
Milieu constitue un enjeu crucial pour la première destination mondiale dont le
gouvernement veut encore doper les recettes. Avec l'ouverture par la Chine des voyages de
groupe, depuis septembre dernier, il compte en accueillir 1 à 1,5 million en 2006, contre
500 000 en 2004 (+ 15 à 20 %). À l'horizon 2020, une centaine de millions de Chinois
pourraient voyager à l'étranger contre une vingtaine de millions actuellement. [
].
zzz70 Dans Marianne [
]
La capitale allemande a assisté à l'ouverture d'un concept unique en son genre : le
restaurant pour anorexiques. À première vue, l'idée semble paradoxale puisqu'il s'agit
de faire manger des personnes qui, justement, refusent de s'alimenter. Pourtant, la
patronne Katja Eichbaum, ancienne anorexique pendant 15 ans, y croit dur comme fer. Dans les
dernières nouvelles d'Alsace Quatre
salles, 180 places : depuis 4 ans que le restaurant Sans Alcool est devenu La Pépinière
Sans Alcool, quittant la maison traditionnelle du centre de Woerth pour des locaux plus
vastes à l'entrée du village, il y a eu du changement. Du moins sur la forme. Car sur le
fond, l'esprit, celui de la famille Bender, est resté le même. La même cuisine
traditionnelle, le même don pour la pâtisserie. Et en particulier pour le vacherin
glacé, spécialité de la maison. Mais surtout, il est l'un des rares restaurants
alsaciens à avoir banni la cigarette de ses salles, bien avant la promulgation de la loi
Evin. [
] L'histoire remonte à la fin des années 1970, à l'époque où Fritz
Bender est propriétaire du restaurant. Au détour d'une conversation avec une femme
médecin, il apprend les méfaits du tabagisme, qu'il soit actif ou passif. "Un
véritable déclic", selon sa fille Catherine, actuelle gérante du restaurant.
Il décide alors d'interdire la cigarette dans son établissement. Aussi bien pour ses
enfants, qui travaillent en salle, que pour ses clients non-fumeurs. Le restaurant Sans
Alcool devient alors également sans tabac. La décision sera d'abord mal comprise, car le
tabac n'est pas encore considéré comme un problème de santé publique. "Un sens de l'accueil qui
n'appartient qu'à la famille Rochedy, la cuisine précise, cursive, inventive de Michel
Rochedy, la grande civilité du service
" Installés depuis 6 ans,
Élisabeth (en salle) et Christophe Hagnerelle (en cuisine) ont de l'ambition. On va à la Valestalière pour le
dépaysement, le calme, la sérénité et le plaisir de la table. |
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L'Hôtellerie Restauration n° 2913 Hebdo 24 février 2005 Copyright © - REPRODUCTION INTERDITE