"En matière de restauration à domicile à Nancy, il n'y a que des burgers, des pizzas et des sushis... et je n'aime pas les sushis !", soupire avec humour Jean-Charles Kurdali depuis la banquette d'un café nancéien. Depuis janvier, le jeune lorrain diplômé en comptabilité travaille au lancement de Fetch, un service qui mettra une flotte de livreurs à la disposition des restaurateurs qui ne font pas de livraison. Petit plus écolo et branché : les escouades de Fetch circuleront... à vélo ! "Nous proposons aux restaurateurs de fidéliser leurs clients en leur apportant un nouveau service et de toucher une nouvelle clientèle, mais aussi une vitrine de communication supplémentaire : nous assurerons la promotion de nos partenaires sur les réseaux sociaux et les moteurs de recherche."
Vélo et web 2.0
D'abord accessible via son site web et plus tard via une application mobile, le service sera lancé en privé au milieu de l'été auprès de 50 à 100 clients chanceux, avec une poignée de restaurants dont le premier sera Mezzo di Pasta. "Le but est d'avoir à terme un équilibre dans notre panel entre les établissements incontournables et les petits nouveaux qui se lancent." Première cible : les 18-30 ans d'abord, et leur entourage dans un second temps. Le modèle économique de la start-up est simple : récupérer un pourcentage - à négocier - sur le prix de vente final. Il sera plus bas pour la restauration rapide, dont les marges sont plus faibles et qui a déjà tout le matériel pour la vente à emporter. À bon entendeur...
Vélo et web 2.0
D'abord accessible via son site web et plus tard via une application mobile, le service sera lancé en privé au milieu de l'été auprès de 50 à 100 clients chanceux, avec une poignée de restaurants dont le premier sera Mezzo di Pasta. "Le but est d'avoir à terme un équilibre dans notre panel entre les établissements incontournables et les petits nouveaux qui se lancent." Première cible : les 18-30 ans d'abord, et leur entourage dans un second temps. Le modèle économique de la start-up est simple : récupérer un pourcentage - à négocier - sur le prix de vente final. Il sera plus bas pour la restauration rapide, dont les marges sont plus faibles et qui a déjà tout le matériel pour la vente à emporter. À bon entendeur...
Publié par Lucie DE GUSSEME
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