Restauration-plaisir : un comportement nouveau

Les hôteliers l'appelle le 'tourisme de court séjour'. Les restaurateurs leur donneront un nom. Il est une tendance, mise en évidence dans ma zone par des restaurateurs, déjà l'été dernier, avec une fréquentation inhabituelle au mois d'août alors que d'habitude, il ne reste pas grand monde : les clients partent moins longtemps en vacances, ils consomment un peu par impulsion de dernière minute, ils se tournent vers des plaisirs de proximité, où le restaurant qui offre un dépaysement par l'environnement externe, le décor, l'assiette, et bien entendu avec un personnel générateur de convivialité et de bonne humeur, trouve sa place. Tout en relativisant l'effet grossissant d'une émission tv, Capital sur M6, ce dimanche 12 avril, aborde ce comportement du consommateur. Gestion - Management - Marketing | André Picca - Auteur | dimanche 12 avril 2009

Prêt à taux variables : pourquoi cela ne baisse-t-il plus ?

Bonjour, J'contracté des prêts à taux variable indexés sur l'Euribor capés à 2%. J'ai démarré à 3.51 %, ils sont montés très rapidement à 5.51% et ont été bloqués comme cela. Jusque là normal. Maintenant, les taux sont en chute libre, l'inflation est quasi nulle, le livret A passe à 1.75, le taux directeur de la BCE ezst à son plus bas historique. Et mon taux reste à 5.51% car la banque n'est redescendu qu'à 5.55% à ce jour. Point numéro 2 : depuis plus de 15 ans que nous sommes passés en SARL, ma femme signe les chèques tout comme moi (elle avait une procuration sur l'entreprise individuelle dont elle était conjoint collaborateur, ensuite ????? à savoir qu'elle est associée avec moi et salariée avec pouvoirs maintenant). J'ai découvert (mon comptable ne l'avait jamais fait remarqué, malheureusement malgré tous ses honnoraires) qu'un associé salarié avec pouvoir n'avait pas droit au chomage le cas où et pouvait donc exonéré de cotisations assedic. Afin de me faire rembourser les trois dernières sannées, les assedic me demande une copie de la procuration. Problème quand je contacte la banque, aucune procuration trouvée. ils me demandent de régulariser la situation pour me faire une attestation mais ne veulent pas attester qu'ils ont accepté des chèques depuis 15 ans sans jamais vérifier la signature autorisée. Depuis, dialogue de sourds, je refuse de régulariser la situation s'ils n'assument pas leur erreur et ils ne veulent rien me donner si rien n'est signé. Ils sont en porte à faux mais aucun ne veut assumer. J'ai décidé, peut être ai-je tort de demander à ma femme de signer les prochains chèques et 15 jours après l'encaissement, aller les voir en leur disant que je n'ai jamais émis de chèque. Qu'en pensez vous ? La pression payera-t-elle ? Je les relance de ma,nière amiable et les contacte en permanence pour avoir une explication que je n'arrive pas à avoir. Il semblerait que ces gens avec qui je travaille depuis 20 ans m'ai subitement oublié le jour où je demande des comptes Gestion - Marketing | bertrand | samedi 11 avril 2009

Dans l'étude de faisabilité

Vous dites, sauf erreur de ma part, que la rémunération du dirigeant n'est pas comptabilisé dans les charges personnels pour une entreprise individuel mais dans le résultat. Et pourtant un peu plus bas dans le dossier de faisabilité vous groupé les salaires des deux salariés (1500 + 1500 et des deux repreneurs 1900 + 1900)+ 39% * 12 mois et vous le mettez dans les charges personnels Je ne suis pas sûr de saisir nicolas Gestion - Marketing | nicolas | samedi 11 avril 2009

Etats généraux : regroupement d'indépendants sous une marque

On voit des chaines reussir (Courtepaille, Buffalo et autre Ibis..) parceque justement les clients sont rassurés de trouver une prestation uniformisée... rassurante et garantie... Aller vers un restaurant ou un hôtel inconnu c'est prendre le risque de la déception...peu de clients cherchent celà ! C'est pour çà que je répète que les hôteliers indépendants doivent se regrouper sous une marque ..tout en mettant en avant leur différence...(avec un vrai budget commercial !) Garantir que leur différence est mieux qu'une chaine... au même prix.... c'est celà l'avenir Gestion - Marketing | ETourisme | vendredi 10 avril 2009

10 à 50 % de perte de CA dans la restauration depuis le début de l'année : quelle est la réalité ?

L'information, à sensation ?, est tombée ce matin (RFM, journal de 6 s 30) : la perte de chiffre d'affaires en restauration serait de 10 à 50 % depuis le debut de l'année. Cette chute serait plus significative en province. Quelle est votre réalité ? votre emplacement ? Que faites vous pour passer le cap, durablement ? Gestion - Management - Marketing | André Picca - aAuteur | jeudi 9 avril 2009

Dotation aux amortissements sur tableau de bord : où cette somme se trouve-t-elle dans la réalité ?

Lorsqu'on inscrit au tableau de bord une dotation aux amortissements, où cette somme se trouve t'elle dans la réalité? Es t'elle sur un compte en attendant d'être utilisée pour le rachat d'une machine de production par exemple ? Nicolas Il est possible que je soit pas trés claire aussi n'hésitez pas à me le dire je reformulerais ma question Gestion - Marketing | nicolas | lundi 6 avril 2009

Accompagnement équilibre alimentaire par temps de crise : classer les aliments en fonction de leur 'densité nutritionnelle'

Lorsque le pouvoir d'achat baisse, les consommateurs surtout les moins aisés ont tendance à se rabattre sur des aliments moins chers et généralement de moindre qualité. C'est pour cela qu'un nutritionniste américain a eu l'idée de classer les aliments en fonction de leur 'densité nutritionnelle'. C'est à dire du rapport entre les nutriments clés et les calories qu'ils contiennent en prenant en compte le prix. Les consommateurs ont donc un conseil sur les produits à la fois sains, nourrissants et abordables. Une approche intéressante et astucieuse que l'on pourra transposer sur une carte de restaurant en créant un menu spécial. C’est ce que l'on pourra appeler de « l'accompagnement équilibre alimentaire par temps de crise' Gestion - Marketing | Bernard Boutboul | dimanche 5 avril 2009

Le syndrome du jambon beurre : 1,8 milliard de sandwiches consommés en France l'année dernière dont 70 % de jambons beurres

1,8 milliards de sandwiches consommés en france l'année dernière... 70 % etaient des jambons beurres.. On pourrait donc penser que cette consommation N°1 du jambon-beurre, symbole du bistrot à la française, était le signe que les bistrots etaient en pleine santé ? Et bien non... ceux ci continuent de fermer (malgré de beaux emplacements)...tandis que les croissanteries (symboles de l'industriel) explosent ! Comme quoi on peut etre sur un marché porteur ..et être en voie de disparition... en accusant le tabac ou autres taxes.. Le problème est simplement que si vous voulez manger un bon jambon beurre..vous n'allez surtout pas au bistrot avec sa feuille mince d'epaule de jambon sur une baguette mollasonne... A méditer pour la restauration et lês hôtels ?? Gestion - Marketing | ETourisme | samedi 4 avril 2009

Préparation et animations des Etats Généraux

Quel vaste sujet à traiter en trois questions/réponses surtout en période de crise économique qui je suis sûr est bien réelle mais aussi psychologique et contribue à faire souffrir notre profession. Cependant les vacances existent toujours et heureusement les touristes qui permettent à notre gouvernement de percevoir des taxes de séjour ainsi que des devises étrangères non soumises à TVA. 1)La baisse de tva à 5.5% devrait permettre à nos entreprises de de dégager en moyenne 10% de marge supplémentaire pour un investissement au combien nécessaire à la mise aux normes de nos établissements tout en améliorant le bien être des employés. 2)La généralisation de la facturation du service elle aussi exonérée de TVA 10%, 12%, 15%, répartie à la masse, à l'ensemble du personnel tout en pratiquant une refonte des grilles de salaires plus motivants,tout en assurant un complément pour assurer le minimum prévu par cette grille. 3) Une revalorisation des aides à la formation en alternance pour les entreprises désireuses de transmettre leur savoir faire et de créer ne serait ce que des emplois saisonniers. N'oublions pas qu'un employé bien dans sa tête est un employé productif et que s'il a des conditions de vie familiale souvent difficiles en raison des horaires il est indispensable qu'il puisse donner un confort de vie à sa famille et que le salaire reste le nerf de la guerre. Michel Coquart http://www.chr3c.fr Gestion - Marketing | michel coquart | samedi 4 avril 2009

Et pendant ce temps là ... la crise continue !

Continuons à nous étriper sur les pourboires, la meilleure recette de foie gras et le voisin si voleur (sacrés français !).. Pendant ce temps là....les mauvaises nouvelles économiques s'accumulent... Profitons-en ?! (vu ce matin) Un ralentissement économique est parfois nécessaire pour qu’on prenne le temps de revoir ses façons de faire et innover. N’attendons pas d’être en pleine crise pour devenir plus performant, il sera peut-être trop tard! Pensons notamment à: •remettre en question l’image de l’entreprise en nous demandant ce que nous faisons de mieux et pourquoi; . prendre le virage vert et ainsi réaliser des économies; •valoriser les employés par des formations, des ateliers de consolidation d’équipe; •améliorer la performance de l’entreprise en réévaluant l'organisation et les gestes inutiles; •s’assurer que nos finances sont en ordre et à protéger nos liquidités; •être proactif, les gagnants seront ceux qui sauront se positionner avantageusement au moment de la reprise. Gestion - Marketing | ETourisme | vendredi 3 avril 2009