Consommer ce qui nous ressemble : l’enseigne ne doit plus être source de progrès mais source d’expérience

La société change les consommateurs que nous sommes aussi. Les mots clés de demain seront « zapping », « arbitrage » « expériences multiples, immédiates et successives » « impulsion, pulsion »… En bref « je consomme ce qui me ressemble et non plus pour être comme les autres ». Partant de là, la marque ou l’enseigne ne doivent plus être source de progrès mais source d’expérience. Mais pour faire vivre une expérience réelle et sincère à ses clients il faut être d’abord et avant tout crédible sur son métier de base. Autrement dit les fondamentaux .C’est bel et bien la fin d’un marketing paillette et le début d’un marketing sincère. C’est la fin des longs discours que plus personne ne croît et le début d’un apport de concret par des actes qui rendront un réel service aux clients. L’obsession de la bonne affaire va avoir des conséquences importantes sur le pricing demain. Il y a fort à parier que les consommateurs perdent progressivement les repères sur ce qu’est un prix bas ou un prix juste. Il n’y aura pas de sortie de crise, mais un changement de modèle. La phase que nous vivons aujourd'hui est une phase de transition entre 2 modèles. Le grand problème c’est que nous ne pensons pas tous la même chose à propos de cette crise. Il y a ceux qui pensent que nous sommes dans une adaptation. C'est-à-dire un incident de parcours et que le retour à la normale va s’opérer avec des adaptions. Il y a aussi ceux qui pensent que nous retournerons à l’état initial. Ceux-là pensent que la crise est un état passager et tout simplement un incident de parcours. Il y a ceux qui pensent que nous mutons. C’est-à-dire qu’il n’y aura pas de retour à la normal ou à un état antérieur mais qu’une mutation profonde est irréversible. Enfin il y a ceux qui pensent que tout est en train de se détériorer pour être reconstruit autrement. Leur pensée est proche du chaos ! Il y a fort à parier que ce qui nous attend dans la consommation de demain ne sera pas un retour en arrière mais bien un grand bond en avant vers un changement lié a la fin d’un cycle. Alors que faire ? Il y a ceux qui sont dans le 1000 : ils sont dans le temps, ils sont un concept en phase avec les attentes du moment, ils ont des clients satisfaits qui reviennent et en parlent à d’autres qui viennent à leur tour avant de revenir etc. … et ceux-là réfléchissent déjà à l’étape suivante. Il y a ceux qui sont dans l’axe : ils ont un concept qui a bien marché mais a qui a tendance à ralentir et à ne plus faire que des satisfaits et des fidèles comme c’était le cas il y a quelques années. Ceux-là doivent très vite effectuer les réglages nécessaires pour reprendre le chemin du succès et de la croissance. Enfin il y a ceux qui sont dans le mur : ils ne savent même pas que dehors tout a changé depuis de nombreuses années et sont restés sur les critères de succès d’un restaurant que l’on apprenait ou que l’on constatait dans les années 80. Pour ceux là malheureusement il n’y a plus grand chose à faire ni a dire car de toute façon ils ont raison, ils sont persuadés que leur assiette est la meilleure et que tout ce qu’ils font, est ce qu’attend un client aujourd’hui. Enfin ce n’est plus les plus gros qui avaleront les plus petits mais bien les plus rapides qui avaleront les plus lents. Dans quelle catégorie êtes-vous ou vous reconnaissez-vous ? Gestion - Marketing | Boutboul | mercredi 5 août 2009

Promotion d'un hôtel : comment la traiter comme étant un coût financier ?

Bonjour, Dans le cadre d'un mémoire, je traite de la promotion d'un établissement en temps de crise et je dois traiter la promotion comme étant un cout financier et humain mais aussi un enjeu stratégique. Cependant, je n'arrive pas à expliquer le fait que cela soit un cout financier et humain et je trouve tres peu d'articles qui pourrait m'aider à expliquer cela. Pouvez vous m'aider? Gestion - Marketing | liliefrancia | lundi 3 août 2009

Section besoin de financement : pourquoi n'a-t-on pas les 30 000 euros de fonds de roulement dans le montage financier de départ ?

Je me pause la question suivante Dans le tableau plan de financement et plus particulièrement dans la section besoin de financement pourquoi ne retrouve t’on pas les 30 000 euros de fonds de roulement inscrit dans le montage financier de départ En effet dans le plan de financement on peut lire en année 1 une ligne a propos de l’augmentation du besoin en fonds de roulement mais rien sur ces fameux 30 000 euros de départ aussi que sont t’ils devenus?? Merci Gestion - Marketing | nicolas | mercredi 29 juillet 2009

Erreur ou explication!!!

Bonjour, Dans le chapitre la réalisation du buisness plan il y a plusieurs tableaux L’un d’entre eux reprend les comptes de résultats prévisionnels et un autre le plan de financement Je ne comprend pas pourquoi les capacités d’autofinancement année 1, année 2 et année 3 qui sont reprises dans le tableau du plan de financement ont-elles changé : Exemple dans les comptes de résultats prévisionnels le CAF en année 2 est de 118 889 et il est repris dans le plan de financement avec un montant de 121 828 Et idem Dans les comptes de résultats prévisionnels le CAF en année 3 est de 136 459 et il est repris dans le plan de financement avec un montant de 133 520 D’ou vient cet écart ?? merci Gestion - Marketing | nicolas | mardi 28 juillet 2009

Quelques leçons prises chez les Écossais : attention permanente auprès du personnel et de bonnes consignes quotidiennes

Chez nous, on défend souvent l'idée que l'absence d'accueil est due à l'embauche de personnels non formés. En Ecosse, j'ai été surpris par : - la chaleur humaine des personnels de service, un sourire, une expression qui vous souhaite la bienvenue, et le plaisir d'être le client ressenti tout au long du repas, - on remarque aussi de nombreux gestes gauches et imprécis, démonstration de l'emploi occasionnel pour la saison. Pour expliquer cela, on ne se contentera pas de prédisposition naturelle des Ecossais ; après discution avec un responsable, on retient son attention permanente sur ces points auprès de son personnel, et de bonnes consignes quotidiennes. Attitude certainement motivée par le légendaire sens du commerce des Ecossais. Gestion - Management - Marketing | André Picca - Auteur | mardi 28 juillet 2009

Solidarité pour Carcassonne

L’Evasion Hôtel victime d'un incendie vendredi 17 juillet 2009 Trèbes (11) Après les dégâts causés par la tempête Klaus en début d’année, c’est le feu qui a touché cet établissement racheté il y a moins d’un an. Propriétaires depuis l’automne dernier de l’Evasion Hôtel, à Trèbes, près de Carcassonne, Fanny et Christophe Cabot voient les catastrophes s’abattre sur eux avec une triste régularitéLes travaux de remise en état enfin réalisés, l’hôtel avait pu rouvrir à temps pour la saison, et accueillait d’ailleurs 52 clients au cours de la nuit de mercredi à jeudi. Et un feu, sans doute dû à un court-circuit, s’est déclaré au niveau de la réception vers 2 heures. Les procédures d’alarme ont parfaitement fonctionné. TOUTE MA SOLIDARITE ET BON COURAGE Gestion - Management - Marketing | jacob | lundi 20 juillet 2009

Spécial TVA : paroles de consommateurs

Extrait de « Paroles de consommateurs » que vous pouvez retrouver sur mon blog « TVA..idées de baisse de prix » Le ton monte chez les consommateurs…attention que cela ne dégénère pas en boycotte avec l'aides des médias et des associations de consommateurs!! Nantes : Moi je quitte le resto dans lequel j'allais tous les jours. Non seulement il ne répercute pas la baisse des prix mais comme c'est ma propre société qui paye mes dejeuners, je me retrouve avec une TVA à 5,5% au lieu de 19,6%. Donc ça me coute 15% de plus cette petite mascarade. Du coup, il a perdu un client fidèle. Paris : L'arme fatale.Savez-vous, Mesdames et Messieurs les consommateurs, que vous tenez entre vos mains l'ARME FATALE..Je veux parler de cette règle que tous les économistes connaissent : L'OFFRE ET LA DEMANDE. Tel restaurant vous semble ne pas jouer le jeu ? Eh bien : N'Y ALLEZ PAS ! En voyant fuir sa clientèle, peut-être ajustera-t-il ses tarifs Clermont Ferrand : A mon avis, ce sont les bons restos qui ont baissé leur prix. Selon moi, les mauvais restaurateurs se contentent, une fois de plus, de piquer le pognon dans cette affaire...! Ils ne servent pas, ils se servent, c'est aussi pour cela qu'ils étaient déjà mauvais avant et qu'ils le sont encore plus aujourd'hui...Ils ne baissent pas les prix, vous pensez! Ils baisseraient bien encore un peu la qualité de ce qu'ils servent ...s'ils le pouvaient. La baisse de la TVA est en soi, comme toute baisse d'impôt, une bonne chose. Qu'elle soit l'occasion de faire baisser les rideaux aux brebis galeuses de la profession. La balle est dans le camp du client, c'est en premier à lui que doit profiter cette baisse de la TVA, c'est lui le contrôleur, c'est lui le roi!Une arnaque de plus, mais ce gouvernement en a profité pour vendre des cartes de l’UMP pour 2012 ... Marseille : Un sur deux ? Vous vous fichez de nous ? C'est un mauvais travail journalistique : vous emboîtez le pas du gouvernement et acceptez sans broncher les chiffres qu'il donne. Il n'y a probablement pas un hôtelier sur deux qui baisse ses tarifs ; je parie qu'il y en a à peine un sur cinq. Quant à augmenter le salaire des employés, vous les voyez faire ça ? Ces commerçants ont d'abord profité du passage à l'euro pour nous enfumer et maintenant ils enfument l'Etat, donc une nouvelle fois le citoyen. Boycottons les restaurants et hôtels qui ne baissent pas leurs prix. C'est simple. Et que les escrocs fassent faillite. Paris : Cela ne pouvait être qu'une arnaque. Chirac qui n'a pas fait grand chose dans son dernier quinquennat aurait du continuer sur sa lancée à seulement faire ce qu'il fait le mieux : courir la gente féminine, passer des vacances à 80 000 ? Et ne pas s'occuper des affaires du pays. Voila maintenant 3 milliards d'€ perdus pour le budget. Moulins : Des prix qui majoritairement ne bougent pas, ou seulement que sur 7 produits (pourquoi 7 ?) alors que la baisse de la TVA concerne tous les plats et boissons. Ils ne recruteront pas, Ils n'augmenteront pas leurs salariés Bref une gigantesque arnaque. Merci Chirac Suite à lire sur le blog…. Gestion - Marketing | Bernard Boutboul | samedi 18 juillet 2009

Et si vous demandiez à vos clients de refaire votre carte de votre restaurant telle qu'ils la souhaiteraient...

On savait qu’interroger ses clients pour savoir s’ils étaient satisfaits est une bonne chose. Faire travailler le client à la place de la cuisine, on avait également vu avec la pierrade, les systèmes de fondues et raclettes ou bien les restaurant wok ou il faut se composer son assiette avant qu’elle soit prise en main par les « woker ». Mais faire travailler le client pour l’entreprise, je n’avais encore jamais vu, LDCL l’a fait ! LDCL est un site de vente en ligne d’informatique, photo, vidéo, téléphonie etc…LDCL a lancé un appel à ses nombreux clients internautes pour relooker son site internet. Il fallait y penser ! Qui mieux que les internautes clients de LDCL pouvaient donner les meilleures idées de navigation et d’ergonomie de leur site ? En échange LDCL propose à l’auteur du meilleur site 20 000€ de bons d’achat valable pendant 2 ans sur le site. Primo ils vont avoir des idées de site très pointues, secundo ces sites seront parfaitement adaptés à l’achat en ligne puisque ce sont les acheteurs eux mêmes qui l’auront créé, tertio le bon d’achat de 20 000€ est très incitatif et spectaculaire mais en fin de compte…très bien calculé de la part de LDCL. En effet le prix de revient doit avoisiner les 4 000€ à l’achat et ils savent que pendant 2 ans ils vont fidéliser un client et probablement son entourage. Et puis plus le temps passera plus la valeur baissera. Sans parler du bouche à oreille que va faire l’heureux élu auprès de sa famille et ses amis qui deviendront à coups sûr de nouveaux clients de LDCL. Et si vous demandiez aux clients de votre restaurant : refaite ma carte, telle que vous la souhaiteriez ! En cadeau ? Des repas gratuits tout simplement ! Ceux-ci vous couteront environ 30% de leur valeur mais surtout le gagnant viendra avec des connaissances qui ne seraient peut être pas venues et qui eux vont payer le prix fort pour… découvrir votre restaurant ! Gestion - Marketing | Bernard Boutboul | samedi 11 juillet 2009

Droit de terrasses port de Nice : pourriez-vous expliquer le calcul par trimestre ?

Pourriez-vous m'expliquer le calcul par trimestre ? A AGDE, nous payons 95,2O m2 x 27,50 € : 2 618 € 44,00 m2 x 50,00 € : 2 200 € _______ 4 818 € pour la saison soit 27,50 € pour les terrasses ouvertes 50,00 € pour les terrasses fermées ce prix s'entend pour une ouverture du 10 AVRIL au 15 septembre . comment est calculé votre droit de place, au trimestre ? MERCI Gestion - Marketing | moustache du team tama | dimanche 5 juillet 2009

En 40 ans, le café s'est fait devancer : et maintenant les traiteurs ?

Tout au début il y a eu les cafés, « les troquets » qui étaient les pionniers de la restauration distribuée rapidement et consommée sur le pouce. Puis Mc Donald's est arrivé fin des années 70, puis Paul et Brioche Doré dans les années 80, puis les Cojean and Co début des années 2000, puis les « circuits alimentaires alternatifs » au milieu des années 2000, puis les étoilés Michelin qui se sont mis a faire de la restauration de haute qualité à prix raisonnables grignotée plus ou moins rapidement, puis les commerces de proximités de Carrefour, Auchan and Co...Sans parler des boulangers quasiment tous ouverts en 12h et 14h pour faire déjeuner les salariés des bureaux. En 40 ans le café s'est fait prendre doucement mais surement sa clientèle sans savoir ou vouloir s’adapter à un nouveau mode vie, un nouveau comportement alimentaire. Je me suis souvent demandé pourquoi le traiteur de quartier ne bougeait pas, n'évoluait pas, ne cherchait pas à prendre sa part de ce marché gigantesque du midi en semaine dans une cadre actif. J’ai bien peur qu'il arrive aux traiteurs ce qui est arrivé au café. Roxane and Co à Paris vient de lancer en juin 2009 une boutique, un nouveau lieu qui joue sur tous les moments de la journée: Le petit déjeuner, le déjeuner, la commande en ligne, Tea Time, le diner et l'épicerie fine. L'idée excellente de ce concept repose sur une adaptation remarquable du concept 'tout au long de la journée'. Comme le concept « Chez Jean » du groupe casino et Relay, Roxane and Co joue la carte de la nouvelle génération de traiteur, de partenaire alimentaire et bien plus…tout au long de la journée dans des situations différentes, dans des fonctions recherchées différentes et sur des temps disponibles de consommation différents. Gestion - Marketing | Bernard Boutboul | vendredi 3 juillet 2009

TVA sur mélanges alcool + soft : que faire ?

Mon Cher Jean-Claude Je viens de recevoir aujourd'hui la note 3 C-4-09 de Christine Lagarde concernant la baisse de la TVA. Et encore une fois je n'y trouve pas LA réponse dont j'ai besoin. Aujourd'hui un restaurateur qui vend un whisky coca, que doit t-il facturer ? Si l'on reprend le mode de calcul des menus il faudrait se baser sur le coup de chaque composant pour déterminer la TVA. Sauf que est-ce considéré comme un cocktail ou comme un alcool + Soft. Si c'est considéré comme un cocktail, ok pour une TVA 19,6. Si c'est considéré comme un Alcool + soft servit dans le meme verre doit-on éclater des prix de vente différents sur la facture? Maintenant si je conseil à mes clients restaurateur de servir le coca à part soit en bouteille soit dans un petit pichet, penses tu que l'on peut se permettre de facturer à coca à part à 5,5??? Merci FX Gestion - Marketing | FXP | jeudi 2 juillet 2009

Bilan 2009 : il faudrait le commencer dès maintenant..

Une bonne suggestion pour les entrepreneurs hotel:'c’est le moment ou jamais de concentrer sur la gestion de son entreprise. Renseignements pris auprès de cabinets d’expert comptable, trop nombreux sont ceux qui attendent la clôture de l’exercice comptable pour « faire le bilan de l’année ». C’est trop tard.' Encore mieux suivre tous les mois, c'est ma petite idée et mon effort Gestion - Marketing | jacob | lundi 29 juin 2009

Menu entrée/plat/dessert à 19 € : que faire lorsque le client veut un prix quand il ne prend que l'le plat et le dessert ?

Bonjour à tous J'ai créé un menu à 19 euros au déjeuner (1 entrée, 3 plats au choix, 1 dessert) pour attirer les clients le midi. pour comparaison, les entrées sont a partir de 11 euros, les plats sont à partir de 20 euros et les desserts sont à partir de 8 euros... Le client fait donc une économie moyenne de 20 euros par rapport à la carte !! En gros, l'entrée et le dessert est offert dans cette proposition... Ce menu change de temps en temps mais l'entrée et le dessert est imposé... Un jour, un client prend ce menu et ne mange pas l'entrée. à la fin du repas, il demande une réduction. Il est évident qu'à ce prix là, je ne peux pas faire de réduction puisque ce prix couvre à peine les charges... S'il avait pris le plat et le dessert à la carte, il aurait payé plus cher que le menu (entrée/plat/dessert)... Depuis que je fais des efforts sur les prix, j'ai que des ennuies de ce genre... Ai-je raison de ne pas accepter de réduction dans ce cas ?? Qu'en pensez-vous ? Gestion - Marketing | restaurant | mercredi 24 juin 2009

Snacking le midi : oui, mais d'excellente qualité

La restauration rapide a connu au cours de la dernière décennie une somme d’évolutions structurelles et sociétales majeures, au point d’en influencer l’ensemble du marché de la Consommation Alimentaire Hors Domicile (CAHD)… Et d’en « renouveler » les angles d’observation. Les Français sont de plus en plus pressés, c’est un fait. Mais à la différence des Anglo-Saxons, ils font bien la distinction entre le temps de distribution qu’ils souhaitent rapide – et ils réclament plus que jamais une qualité de service irréprochable en la matière – et le temps de consommation du produit qui leur a été distribué. Bien qu’ils consacrent peu de temps à leur pause-déjeuner, ils souhaitent tout de même pouvoir la « savourer » dans un univers confortable qui leur donne la sensation de prendre leur temps. Les français veulent tout et tout azimut : manger rapidement, rester gourmet, ne pas exclure l’équilibre nutritionnel, tendre vers plus de naturalité, d’écologie et d’éthique, découvrir de nouvelles saveurs, donner du sens à leur consommation… Le tout, en recherchant constamment la praticité, l’innovation, la sécurité, sans renier les traditions ! Partant des principes que restauration rapide n’a pas ou n’a plus de connotation de « malbouffe », que la restauration rapide n’est pas le « pendant négatif de la tradition » grâce récemment aux 3 macarons au guide Michelin qui ont ouvert les uns après les autres leur « sandwicherie de luxe ». En effet ces maitres de la gastronomie mondiale nous envoient un message important : « ce n’est pas parce que l’on est pressé que l’on doit avaler n’importe quoi ! » Concrètement, le Snacking HorsDomicile (SHD) fait aujourd’hui référence à : -des repas légers et non structurés (2 items consommés max), -non servis à table, -achetés dans un cadre de vente à emporter, mais pouvant être consommés sur place ou ailleurs, -consommés dans un laps de temps inférieur à 30 minutes, -consommés assis, debout ou en mouvement, -financièrement peu onéreux (TM TTC-BC inférieur à 15 €). Longtemps synonyme de grignotage - barres chocolatées, chips, sodas, bonbons, etc. -, le SHD s’est considérablement enrichi en terme de produits : -sandwiches (à base de baguette, pain de mie, pains spéciaux -soupes, -salades, -quiches, -plats chauds, -pâtes, -sushis, -snacks sucrés, -boissons froides et chaudes associées au snack. Pourquoi ne pas imaginer qu’à partir d’un restaurant traditionnel, on pourrait offrir une alternative au service à table : trop long, trop riche et parfois trop cher. Il suffit de débloquer quelques mètres carrés, monter une petite gamme de produits en cohérence avec l'image qualitative locale de votre restaurant et enfin le communiquer.Et puis il ne faut pas perdre de vue que les Français savent de moins en moins cuisiner et que cela ne va pas s'arranger! La vente à emporter à partir d'un restaurant traditionnel peut rendre un service important à vos clients qui ne savent plus cuisiner, qui n'ont plus le temps mais qui apprécient votre cuisine... Gestion - Marketing | Bernard Boutboul | samedi 20 juin 2009

'Bain dans le bain' : qu'est-ce que cela signifie ?

j'ai passé un entretien d'embauche la semaine dernière pour un poste de gouvernante générale dans la ville de Luxembourg. Lors du test écrit, on m'a demandé d'expliquer 'Bain dans le bain'. Aucune de mes collègues gouvernantes, à Paris ou en Suisse n'a pu me donner de réponse. Je n'ai rien trouvé sur le web, pourriez vous m'aider ou me donner une adresse internet où je peux trouver une réponse.MERCI d'avance Gestion - Marketing - Service d'étage | Delphine Leclerc | vendredi 19 juin 2009

Petits-déjeuner : sont-ils soumis à la baisse du taux de TVA ?

A compter du 1er juillet nous avons droit à un taux réduit de TVA sur la restauration. Merci de me confirmer ci ce taux est applicable à mes petits déjeuners ? Merci de m'informer pour la restauration que je soustraite dans le cadre des séminaires actuellement je refacture sans marge les factures du restaurant je paye une TVA à 19.6 % et refacture ma prestation séminaire à 19.6 % avec ventilation des différentes prestations. Les prochaines factures des restaurants seront établies au nom de l'hotel avec une TVA de 5.5 % et moi je refacture : 19.6 % ou 5.5 % à mes clients ? Pour le bar j'ai les infos suivantes : boissons sans alcool 5.5 % Boissons avec alcool 19.6 % Boissons à emporter 5.5 % (je ne souhaite pas en faire) Merci et bon week end Gestion - Marketing | Laurent.M. | vendredi 19 juin 2009

Exemple de l'application du taux de TVA : dans un hôtel-restaurant

Dans cet hôtel restaurant, tous les postes personnel hébergement et restauration voient réintégrer les charges sociales exonérées, soit une une estimation de 70 600 euros, L'activité de la restauration s'élève à 40 % du chiffres d'affaires, la carte ne comprend que 30 produits, la proportion de baisse des 7 produits à 11,80 % est donc importante par rapport au total, Pas besoin de calculette pour comprendre la suite. Gestion - Management - Marketing | André Picca - Auteur | jeudi 18 juin 2009

Exemple de l'application du taux de TVA : dans une brasserie

Dans cette brasserie, la réintégration des charges sociales exonérées s'élèvent à 20 OOO euros, pour 8,5 salariés, A tarifs constants des plats, le ca ht progresse de 40 OOO euros, avec une tva 5,5 %, Soit en réalité une amélioration de la marge de 20 000 euros, Après l'application des taux de tva au 1er juillet, et l'ajustement technique et commercial sur d'autres produits, cette marge est ramenée à 10 000 euros, Alors, prudence, sur l'intéressement, l'investissement. Et pendant ce temps, il faut renouveler l'offre pour mieux charmer le client, et sans se tromper. Gestion - Management - Marketing | André Picca - Auteur | jeudi 18 juin 2009