Contrats de location automobile : quelle est la meilleur formule fiscalement ?

Quelle est la meilleur formule fiscalement si l'on ne veut pas acheter le véhicule de tourisme ( 40 000 euros TTC) qui sera à usage professionnel et pour partie privé ( 10% environ des kilomètres parcourus). Un vendeur me dit, mais j'ai des doutes, que les nouveaux contrats de location permettent de déduire intégralement pour la partie professionnelle sans avoir à réintégrer une partie des loyers qui correspondent au fameux seuil( 40 000 euros - 18 300 euros). Le contrat prévoira une option de rachat de valeur résiduelle après 2 ans. Cette valeur résiduelle pourra t elle être amortie ? Y aura t'il plus value à payer lors de la revente ? Merci pour votre aide Gestion - Marketing | Louis | dimanche 27 décembre 2009

2 façons de faire venir les clients : LaFourchette.com et Restovisio.com

Depuis toujours il y a eu différentes façons de communiquer. Lorsqu’il n’y avait pas internet les moyens se déduisaient au tract distribué dans la rue, posé sur un pare brise ou déposé dans les boites à lettres. La publicité que l’on passait dans un journal. La radio et la télévision pour ceux qui avaient une présence nationale et surtout de gros moyens. Et puis tous s’accordaient a dire que le média le plus puissant était le bouche à oreille. Aujourd’hui avec internet, les possibilités de toucher votre ou vos cibles de clientèle se sont fortement développées à tel point que certaines d’entre elles se font sans que le restaurateur en soit maitre (blog, réseaux sociaux…). Et puis il y a toujours eu les guides de restaurants des plus prestigieux aux plus locaux. Avec internet les guides entrent dans une nouvelle ère.2 guides ont retenu mon attention pour illustrer mon propos. Restovisio.com et La fourchette.com. Ce sont tous les 2 des guides parmi tant d’autres qui se développent à grande vitesse. Cependant ces 2 là ont des particularités qui méritent de s’y attarder. La Fourchette.com propose des restaurants ayant cassés leurs prix pour augmenter leur fréquentation. Ces réductions vont de 20 à 50% sur l’addition. Cette offre est toujours hors boisson et menu et sur un laps de temps déterminé. Le restaurant à une fiche de présentation assez détaillé et quelques photos montrent l’intérieur ou les plats. Restovisio.com est une toute autre démarche. Le concept est simple « allez y avant d’y aller ». Autrement dit Restovisio a choisit l’axe de l’image vidéo pour informer et séduire. Une vidéo de 1mn montre tout ce que l’on a envie de voir avant de se décider. La Fourchette et Restovisio proposent tous les 2 de réserver en ligne. Le premier récolte les avis des internautes pour aider à se décider, le second ne le fait pas. En fait il s’agit de 2 façons de faire venir les clients. La Fourchette fait venir en cassant les prix sur des services ou les fréquentations sont faibles. C’est ce que l’on appelle le yield management que pratique depuis longtemps les compagnies aériennes, les trains ou les hotels.Ca marche puisque des restaurateurs présents sur le site déclarent avoir leur fréquentation bondit de 20 à 50% grâce a cette méthode. Restovisio fait venir en informant, en séduisant, tout simplement en montrant en image ce que sera le moment passé dans ce restaurant. La Fourchette prend 1,50€ par réservation par son intermédiaire et Restovisio coute un peu moins de 1000€ par an tournage de la vidéo compris. Ces 2 nouvelles façons de monter des guides sont très intéressantes et vont bouleverser le bouche à oreille dans les années à venir. Au delà, ces nouvelles techniques vont inciter les restaurateurs à montrer leur établissement sous un angle des plus favorables. IL fut une époque ou l’on disait qu’un client satisfait en parlait à 3 personnes et qu’un client insatisfait en parlait à 11 personnes. Il y a de grands chances qu’internet agisse dans les mêmes proportions mais avec quelques zéros de plus !!!Dans tous les cas tout cela va dans le bon sens : faire venir les clients. Le plus dur restera à faire, et là, le restaurateur sera seul face a son client : le faire revenir. Gestion - Marketing | Bernard Boutboul | mercredi 23 décembre 2009

Ouvrage sorti récemment : une marque a un patrimoine génétique

Un ouvrage sorti récemment explique qu’une marque a un patrimoine génétique. La restauration est rentrée dans une zone de turbulence et ce, bien au-delà de la crise que nous traversons depuis juillet 2008. En fait cette zone de turbulence, n’est qu’une accélération de la mutation commencée depuis le milieu des années 90 avec 5 facteurs qui s’ajoutent au fil du temps : -La féminisation de nos comportement de consommation du a la féminisation de la société -Les doutes persistants des clients sur les produits, dus aux crises alimentaires successives -L’arrivée de nouvelles concurrences émergeantes de plus en plus agressives et partout -Un consommateur qui n’a plus qu’une seule adresse mais plusieurs selon la situation dans laquelle il se trouve au moment de la décision de se nourrir -La réduction du temps de prise alimentaire Au-delà de ces constats, tendances ou évolutions, on peut s’interroger sur le patrimoine génétique des enseignes de chaines de restaurant que tous connaissent. Un patrimoine génétique est constitué de 3 caractéristiques : 1-Son empreinte génétique. Celle du créateur. L’origine de l’idée, les clés initiales du succès 2-Son ADN. Autrement dit ce qui fait sa force, sa différence, ses fondamentaux sans les quels l’enseigne ne serait plus…l’enseigne ! 3- Son image. Celle véhiculée et perçue, que les consommateurs ont en mémoire, qu’il est souvent difficile ou très long de modifier. Prenons des exemples connus de tous pour illustrer ce propos : Hippopotamus est très éloigné aujourd’hui de son empreinte génétique. Tout d’abord parce que le créateur n’est plus aux commandes et que depuis qu’il ne l’est plus, 3 propriétaires se sont succédés. Son ADN a également disparue progressivement. Ce qui faisait la force et la différence d’Hippopotamus c’était les jolies filles et la bonne viande !!. Enfin l’image véhiculée et perçue est le spécialiste de la viande, hors lorsque Hippopotamus vend des nems, des salades, des crevettes, des mini brochettes thaï etc…on peut s’interroger sur l’évolution de son image ! Mc Donald’s est également éloigné de son empreinte génétique puisque les créateurs ne font plus parti de ce monde, mais l’esprit demeure de génération en génération. Son ADN est toujours là puisque l’enseigne assume son rôle de roi du hamburger. En revanche son image véhiculée se modifie au fil du temps. Hier synonyme de malbouffe, obésité et gras, l’image s’oriente peu à peu vers de la qualité, du confort, de la préoccupation environnemental, de la variété et de l’innovation. En effet le roi du hamburger fait du service a table, des salades servies à la demande dans un salad' bar, des wraps etc… Les Etoilés Michelin ont une empreinte génétique et un ADN qui n’ont jamais déviés de la très haute qualité, ce qui ne les empêchent pas aujourd’hui d’ouvrir des sandwicheries dans lesquelles ils vendent soupes, quiches, salades et autres produits de restauration rapide mais…de très haute qualité. Les Cafés-Bars-Brasseries quand a eux ont perdu depuis bien longtemps leur empreinte génétique, leur ADN et même leur image perçue. En effet qui mieux que ces établissements qui possèdent les meilleurs emplacements dans la ville aurait pu et du nous offrir la restauration rapide d’aujourd’hui ? Les exemples pourraient être beaucoup plus longs pour étayer cette démonstration. L’essentiel que l’on soit petit ou grand, a Paris ou a Villedieu les Poils ou que l’on vende des sandwichs ou un lièvre à la royale est de ne jamais trop s'éloigner de son empreinte génétique, de surtout pas vouloir modifier son ADN, car l’image que vous envoyez à vos clients est celle qui perdurera. Gestion - Marketing | Bernard Boutboul | samedi 19 décembre 2009

Calcul nombre de machines dans buanderie : quelles sont les solutions lorsque l'occupation de l'hôtel est supérieure au TO moyen ?

Dans une revue professionnelle commercialisant des machines à laver, sèches linge etc..., un exemple est donné afin de déterminer le nombre de machines à acheter. Ils se basent sur un taux de fréquentation de 100 %, ce qui bien sûr impose d'acheter le maximum de machines. Ma question est la suivante : après avoir calculé un kilotage horaire moyen (en tenant compte d'un TO annuel moyen), il est possible de déterminer son nombre de machnines. Quelles sont les solutions à envisager lorsque l'occupation de l'hôtel est supérieure au TO moyen durant par exemple la pleine saison ? Gestion - Marketing - Service d'étage | F76 | jeudi 10 décembre 2009

Fidéliser le client : 3 idées de plus...

Améliorer la vie des clients, leur rendre service, leur faire plaisir être attentif à leurs besoins…que rechercher de plus lorsqu’on est restaurateur au-delà de bien faire son métier.3 idées ont retenu mon attention pour illustrer ce propos. Mettre en place une véritable carte enfants avec 3 menus possibles et à l’intérieur de ces 3 menus l’enfant a du choix…bref l’enfant est traité comme un adulte avec sa propre carte. De plus c’est une carte qui sort du traditionnel steak haché frites avec glace, en proposant des produits découvertes, plus light et surtout originaux. Les enfants adorent, les parents aussi ! A noter qu’en bas de cette carte enfant le restaurateur mentionne : « Pour les bébés et leur maman, nous nous ferons un plaisir de vous servir vos petits pots réchauffés, accompagnés d’une bouteille d’eau Evian que nous vous offrons » Il y a les menus, les ardoises, les plats du jour, le semainier, ce même restaurateur a invente les « rendez-vous ». Trois fois par semaine un plat institutionnel est la star du jour. Par exemple, tous les mardis : Jarret demi sel aux lentilles vertes du Puy A.O.C, le jeudi c’est pot au feu traditionnel Toujours lui, ce restaurateur propose les soirées privilèges. Qu’est ce que c’est ? Tout simplement en allant sur son site internet le client choisit le spectacle qu’il a envie de voir et le site lui propose le restaurant le plus proche avec un prix très attractif pour l’ensemble de la soirée. Ce restaurateur possède environ 20 restaurants dans Paris, mais la même technique peut être appliquée pour un restaurant isolé dans n’importe quelle ville. 3 initiatives qui vont dans le sens de l’histoire, vos clients ont besoin de pouvoir d’achat, ils aiment qu’en pense à eux et ils adorent les cadeaux et si l’on fait bien les comptes, il s’agit de bien peu d’investissement qui peuvent rapporter gros : la fidélisation d’un client ! Gestion - Marketing | Bernard Boutboul | jeudi 10 décembre 2009

Concept tapas : comment s'y prendre pour que les clients ne stagnent pas mais consomment les tapas ?

Bonjour, Nous voulons ouvrir un établissement à mi chemin entre bar et restaurant type tapas mais avons peur de nous ennuyer dans un concept restaurant pour avoir travaillé dans des bars depuis longtemps. Nous craignons les débordements alcooliques. Connaissez vous un concept, une idée pour que les clients ne stagnent et consomment que de l’alcool ? Faut il les obliger à consommer des tapas et surtout comment ? Si vous avez entendu parler d’un concept sympa différent de celui du tapas classique, merci de nous renseigner. Cordialement Gestion - Marketing | alex | mercredi 9 décembre 2009

Retraite complémentaire : quelques incompréhensions

Bonjour, J'ai repris un restaurant début juin 2009 sous la forme d'une SARL Je viens de recevoir le courrier suivant du Groupe XXXX concernant la retraite complémentaire 'Savez vous que la reprise au 7/5/2009 du fonds de commerce de ...... nous permet de vous accueillir parmi nos adhérents. En effet, selon la réglementation de nos fédérations AGIRC et ARRCO, vous avez l'obligation de reconduire les contrats retraite de votre prédécésseur auprès des mêmes institutions et aux mêmes conditions. Vous trouverez ci-joints les certificats concrétisant vos adhésions retraite auprès de notre Groupe.'.... Je suis très étonnée de ce ton péremptoire.... pouvez vous me renseigner. Merci par avance. Gestion - Marketing | origne | samedi 28 novembre 2009

Publicité sur internet : est-ce vraiment rentable ?

on sait tous le peu de retour de la pub pour un restaurant a la télé a la radio , sur les journaux gratuit ou panneau 4x3 donc depuis quelques mois je m’interroge sur les sites de réservation en ligne je ne sais pas si j’ai le droit de les citer donc je m’abstiendrais mais le partenariat avec le restaurateur est toujours sur le même model 20% de réduction aux clients et 30% a payer a l’entremetteur ou parfois carrément pour un repas acheté un repas offert je suis très perplexe sur l’intérêt de travailler avec de tel partenaire mais on peut s’apercevoir sur ses cites que les restaurants qui travail avec eux sont souvent dirigé par des gens qui ne sont pas réputé pour être des farfelus ou des mauvais gestionnaires donc ma question ,les partenaires qui prennent 30, 40 ou50% de votre CA sont ils rentable ou non par avance merci Gestion - Marketing | tylino | mardi 17 novembre 2009

Permis d'exploitation et mutation entre époux : le conjoint doit-il suivre la formation ?

Est ce que le conjoint non inscrit comme conjoint collaborateur, malgré son implication dans l'affaire doit suivre la formation lors de la mutation entre époux du restaurant, suite à prise retraite de l'exploitant? L'affaire est en nom propre depuis 1994. A mon sens en lisant le texte, sauf erreur de ma part, oui, mais exigera t'on 1 jour ou 3 jours du fait de l'absence de statut officilel du conjoint dans l'entreprise ? Gestion - Marketing | boulais | mardi 17 novembre 2009

Gîte d'étape/auberge de jeunesse : que penser de l'aspiration centralisée ?

Dans le cadre d'une création d'un gîte d'étape/auberge de jeunesse de 50 lits, je me pose la question de l'aspiration centralisée: avez-vous des expériences et des recommandations sur de sujet ? Est-ce un choix judicieux, quels pièges doit-on éviter, quelle est la longueur de flexible utilisé chez vous, vos prises sont-elles murales ou au plafond, quels fabricants sont 'sérieux' ? D'avance merci ! Gestion - Marketing - Service d'étage | Patrick | mardi 17 novembre 2009

Restaurant d'hôtel en mal de clientèle : le commercial en tenue de cuisinier est descendu en ville

Restaurant d'hôtel en mal de clientèle, c'est pas nouveau. Périphérie de ville de province : A l'occasion de la semaine du goût, le jeune commercial de l'entreprise a revêtu la tenue du cuisinier, et est descendu en ville, sur la place principale, avec sa doc. et une information sur la TVA : les gens se sont déplacés pour lui demander ce qu'il se passe, qui il est, ..... Effet immédiat : arrivée au restaurant d'un volume important de clients nouveaux. Gestion - Management - Marketing | André Picca - auteur | lundi 16 novembre 2009

Baisse de la TVA en restauration suite : les 1ers résultats ont été dévoilés en exclusivité en octobre

Les 1ers résultats de l’observatoire de la restauration à l’échelle national ont été dévoilés en exclusivité en octobre auprès du conseil d’administration de l’UMIH. Cet observatoire commandité par l’UMIH en plus des performances du secteur devait faire un 1er point sur l’application du contrat d’avenir 4 mois après la baisse de la TVA de 19,6% à 5,5%.Les résultats sont particulièrement étonnants et expliquent probablement pourquoi les médias se déchainent sur les restaurateurs depuis quelques mois. Rappelons que le panel de restaurateurs concernés par cette analyse est de 700 répartis sur l’ensemble du territoire, par segments de marché, par mode de distribution, par type de restauration et en respectant le poids des chaines et des indépendants. A noter enfin que les 700 restaurateurs analysés représentent fidèlement le poids syndical et la répartition de celui-ci. 76% des restaurateurs déclarent avoir baissé ses prix depuis le 1er juillet 2009. Parmi ceux là plus d’un tiers l’a fait sur 7 articles et moins. Autrement dit peu visible par les clients au quotidien. Il y a donc 24% des restaurateurs qui déclarent n’avoir baissé aucun de ses prix au le 1er juillet. Parmi ceux là un tiers dit l’avoir déjà fait avant le 1er juillet depuis longtemps pour tenter de contrecarrer la crise en espérant faire revenir la fréquentation. Un autre tiers dit préférer utiliser cette enveloppe pour leurs salariés. Le dernier tiers avoue n’avoir rien fait et ne fera rien. Autrement dit, et pour être encore plus clair : 48% a envoyé un signal très fort en baissant ses prix au delà des 7 produits que prévoyait l’engagement du 28 avril. 52% n’a envoyé aucun signal ou envoyé un signal trop faible sur ses prix. Si vous rajoutez dans l’analyse que les signaux les plus faibles ont été enregistrés sur les zones les plus fréquentées cet été pendant les vacances, il n’est pas surprenant que la visibilité de cette baisse des prix ai été aussi faible auprès du grand public et que s’est empresser de relayer les grands médias. Beaucoup de restaurateurs n’ont vu la répercussion sur leur trésorerie que 3 mois plus tard, beaucoup de restaurateurs avaient de sérieuses difficultés de rentabilité et de trésorerie ; beaucoup de restaurateur n’ont pas assez de personnel pour servir correctement leurs clients, beaucoup de restaurateurs doivent investir dans du matériel ou de la décoration, beaucoup de restaurateur souhaitent mieux payer leurs salariés pour les garder, beaucoup de restaurateurs sont peut être entrain de sauver leur affaires tout du moins la redresser. Attendons une année pleine de baisse du taux de TVA pour tirer des enseignements précis et fiables tant sur l’aspect prix, que sur l’aspect social que sur l’aspect investissement. Et puis en juillet 2010 il se sera passé autre chose qu’il est difficile de quantifier et prévoir aujourd’hui, le jeu naturel de la concurrence et l’arbitrage du consommateur qui saura ou aller se restaurer pour récupérer un peu de son pouvoir d’achat perdu…Il est clair que cet arbitrage va créer d’autres difficultés particulièrement aux restaurateurs qui auront continué dans la voie de ne rien faire ni pour leurs clients, ni pour leurs salariés ni pour le confort des 2 ! Gestion - Marketing | Bernard Boutboul | dimanche 15 novembre 2009

Nom vendeur pour les plats : comment le choisir, avec qui, exite-t-il des ressources (livres, articles de presse) ?

Bonjour, Donner un nom évocateur, vendeur pour chacun des plats sur la carte n'est pas toujours aisé ! Aussi je suis à la recherche de pratiques et ressources, autrement dit : comment faites-vous pour donner un nom à votre plat ? Comment procédez-vous ? Est-ce le chef cuisinier qui le détermine ou bien fait-il participer l'ensemble de la cuisine et de la salle ? Met-il en place une véritable séance créative ? Et enfin exite-t-il des ressources (livres, articles de presse) sur ce sujet ? Merci pour votre précieuse aide ! Gestion - Marketing | Natoo | mardi 10 novembre 2009