Mémoire : que penser de la notion de qualité en fonction du nombre d'étoiles

Bonjour, Je suis étudiante en Master 1 de psychologie du travail et je dois faire un mémoire pour mes études. J'ai choisi de m'intéresser à vous car personne ne le fait et il y aurait beaucoup de choses à dire sur les avantages et les difficultés que vous pouvez rencontrer. Je m'adresse à vous aujourd'hui pour vous demander s'il y a un sujet que vous voudriez que j'aborde. En effet, qui pourrait mieux me conseiller que vous? Avez vous des difficultés que vous voudriez que je mettes en avant? Des thèmes particuliers dans votre métier que vous voudriez faire connaitre? En effet, mon étude pourrait montrer ce que vous vivez au quotidien et, qui sait, améliorer les choses!!! Tout restera ANONYME bien entenu! J'avais pensé à la notion de qualité en fonction du nombre d'étoiles mais je suis ouverte à tout les thèmes que vous pourrez me proposer!! Merci d'avance! Mélanie Gestion - Marketing - Service d'étage | melanie_540 | dimanche 15 mars 2009

Menus baptisés 'petit prix', 'crise' ou 'anti-crise' : tout changer pour sauver son établissement

Ils proposent des menus baptisés ’’petit prix’’, ’’crise’’ ou ’’anti-crise’’, ils offrent même des repas gratuits pour faire venir les clients, certains restaurateurs, le couteau sous la gorge, n’hésitent pas à tout changer pour sauver leur établissement. Quelques exemples parmi des centaines et probablement maintenant des milliers partout en France. Quelques exemples... Paris 5em Le prix du menu a été remplacé par... un point d'interrogation. Depuis le 9 février, les clients de ce petit restaurant du quai Bondy paient la somme qu'ils veulent pour les menus du jour autrefois affichés à 14, 50 euros le midi, et 21, 50 euros le soir. L’idée vient d’un restaurant de la City à Londres. Nantes A Nantes, L’Etage était encore récemment au bord de la banqueroute. Depuis décembre, pour faire revenir les clients et faire parler de lui, le couple à la tête de cet établissement propose, le mardi midi, un menu plat-dessert à 3,50 euros. Paris 14em Ce sont les soirs à 'zéro couvert' qui ont poussé ce restaurant à proposer le soir un menu à 9,90 euros (un plat et un café gourmand). Le chef a également 'éliminé de sa carte les produits chers et propose des menus à 17,90 ou 22,90 euros', alors que le prix moyen payé par ses clients était jusqu’ici de 35 euros. Lyon “Vous établissez vous-même votre note, et vous ne payez que ce que vous estimez être le juste prix de votre repas” : l’offre s’applique à un menu unique, baptisé Au fil du jour, midi, soir et dimanche, renouvelé tous les jours avec des produits frais, sur une base de 14,50 €. Bordeaux La formule est simple : un menu, qui inclut un choix de deux plats principaux et de trois desserts, est proposé au prix unique de 4,50. Pour le prix d'un sandwich, il était possible hier de choisir entre une assiette de poisson, avec du requin et du merlu, et une assiette de viande contenant du lomo, de la chistorra, et du chorizo frais. Le tout accompagné de pâtes ou de frites et de salade. La liste pourrait être longue mais l’on constate que ces pratiques s’effectuent plutôt dans les grandes villes. Que ces mêmes pratiques attirent les clients le jour ou la promotion fonctionne mais pas forcément les autres jours. Je ne sais pas si cette technique est bonne ou mauvaise (quoique !!), mais on peut se poser 3 questions toutes simples : 1-Les clients qui voient ces pratiques ne pensent-ils pas qu’avant ils se faisaient avoir par des restaurateurs qui gagnaient beaucoup d’argent sur leur dos ? 2-Remplir à marge dégradée ou à perte sert à quoi, puisque cela ne remplit pas les autres jours à prix normal ? 3-Quand l’on sortira de cette crise, comment va-t-on expliquer aux clients que ce n’a=est plus 3,50 ou 6,90 mais 14 et 22€ ? Gestion - Marketing | Bernard Boutboul | dimanche 15 mars 2009

Pourboires reçus par le personnel : comment les comptabiliser ?

Boujour, je voudrait savoir comment peut on enregistrer les pourboires encaisséset répartis par l'employeur; Je sais qu'ils doivent être comptabilisés dans un compte 4261 service au pourcentage à répartir;lors de la répartition celles ci sont virés au compte 4213 mais ensuite je bloque puisque le plan comptable pour les hôtels préconisent en outre de réincorporer ses frais dans un compte 643 et simultanément dans un compte 7068????????? Gestion - Marketing | étudiante en expertise comptable | jeudi 12 mars 2009

Vente de bouteilles en plastique en salle : peut-on le faire ?

Bonjour, puis je vendre en salle des bouteilles de coca 33 cl ou 50 cl en plastique ? Je pense que oui mais je préfère avoir un avis d'Expert. Actuellement les bouteilles de coca en verre sont chères + les consignes. La limonade je ne suis pas obligé de la prendre en litre en verre ? l'eau, l'eau pétillante, je peux mettre des bouteilles en plastique ? Des obligations à ce sujet ou pas ??? Merci guigui Gestion - Management - Marketing | guigui | mardi 10 mars 2009

Carte et menus : comment faire pour les rendre plus attractifs et suggestifs ?

Nous sommes 2 frères(cuisiniers) propriètaire d'un petit restaurant (18 couverts) situé dans la rue piétonne d'une station familiale de montagne (Villard de lans - 38)avec pas mal de concurrence au niveau restauration mais seulement 3 à proposer du semi gastronomique, les autres étant des restaurants type pizzeria-créperie proposant fondues et raclettes. Comment peut-on vous les communiquer ? En vous remerciant de votre réponse, recevez nos salutations Mrs JEAN Léonce et Rodolphe Gestion - Marketing | jean10 | lundi 9 mars 2009

Compromis entre le durable et le jetable : de la vaisselle réalisée à partir de feuilles mortes

Et si les consommateurs demain devenaient sensibles à la préoccupation écologique des restaurateurs?A ce jour, en terme de vaisselle,nous connaissions tous celle qui dure et que l’on conserve précieusement avant d'appeler le fournisseur pour une nouvelle livraison. Nous connaissions également celle en carton ou en plastique que l’on jette après une simple et unique utilisation utilisée par la restauration rapide. La première est belle et bien écologique et pratique pour une utilisation de tous les jours à la maison. La seconde est pratique pour une utilisation unique mais avouons le, peu agréable à l’utilisation et surtout peu écologique de par ses composants et son usage. Désormais il faudra compter sur une nouvelle gamme de vaisselle, un compromis entre le durable et le jetable. En effet, Michael Dwork, fondateur de la startup Verterra(Etats Unis) a mis au point une gamme de vaisselles écologique pouvant être utilisée une dizaine de fois avant d’être jetée. Ce type d’assiettes et de plats, permet donc d’être employé en camping, en randonnée, lors de repas avec de nombreux convives,et pourquoi pas dans certains concepts de restaurant.Au-delà de cet aspect, la société Verterra a souhaité mettre au point un composite ayant le moins d’impact possible sur notre planète. Et pour arriver à ses fins, Michael Dwork a mis les moyens : •Réalisée à partir de feuilles mortes (De leurs propres plantations) •Aucun arbre n’est coupé •Réalisé à 100% de matière végétale •Aucun produit toxique n’a été utilisé •Pas de matière plastique ni de cire •100% biodégradable en deux mois •Réutilisable •100% recyclable Le principe de conception est quand à lui tout aussi écologique. En effet, la vaisselle est conçue à partir de feuilles mortes qui sont aspergées à haute pression de vapeur d’eau puis stérilisée rapidement. Le reste n’est bien évidement pas divulgué afin de garder secret leur petite recette de création. L’ensemble de la gamme supporte parfaitement le micro onde, le réfrigérateur et peut contenir toute sorte de liquide. Le cout unitaire d’une assiette (à titre d’exemple) est de 1$ par lot de 10 ou alors 0.43$ par lot de 100. Ce genre de produit, assurément dans l’air du temps, promet une belle croissance à son créateur qui multiplie actuellement les modèles de distribution à travers le monde… Sauf en France…pourquoi ? Gestion - Marketing | Bernard Boutboul | samedi 7 mars 2009

TVA : est-ce préférable de la payer tous les mois ou tous les trimestres ?

Nous venons d' ouvrir un restaurant depuis 4 mois et nous souhaiterions payer la tva au mois mais notre comptable refuse en nous pretextant que c' est mieux de garder de la trésorerie au cas ou il y a ai des travaux ( mais nous l' avons remis a neuf !! alors c' est pas pour demain !!) alors aprés elle nous suggére de prendre un autre compte de dépot et placer l' argent !! nous sommes en eurl j' aimerais vos avis !! merci d'' avance Gestion - Marketing | fred | jeudi 5 mars 2009

Mentions obligatoires des factures : comment 'ne pas perdre les clients' et 'rester dans la légalité un maximum' ?

bonjour, Un groupe de 15 personnes est venu dîner dans mon établissement, ils en ont eu pour 1200 euros. Deux jours plus tard, le client (un particulier) me demande une facture sans détail avec 5 repas complets (au lieu de 15) et surtout sans son nom. Pour information, mes tickets de caisses sont numérotés et les factures (informatisés) comportent ce numéro. Je me refuse à établir des notes ou factures manuscrites... et ça agace déjà certains clients (souhaitant par exemple ne pas faire mention de la date et du nombre de clients)... Quelles sont les précautions à prendre avec ces demandes ? J'aimerais trouver un juste milieu entre 'ne pas perdre mes clients' et 'rester dans la légalité un maximum'... Merci. Gestion - Marketing | restaurant | dimanche 1 mars 2009

Les spontanés, les équilibrés, les exigeants et les conformistes : qui sont vraiment ces consommateurs ?

Qui sont vraiment ces 4 profils de consommateurs et comment s’adresser à eux ? Les spontanés : Ces ont des clients qui profitent de la vie, assez critiques et qui prennent leur décision vite. Ils sont peu liés à une marque ou une enseigne. Ils quittent rapidement et sans regret une adresse qui les a déçus. Ils sont attirés par tout ce qui est nouveau délaissant ceux qu’ils ont aimé hier ! Cette clientèle est très difficile à fidéliser à moins d’innover en permanence et de les surprendre de temps en temps. Les équilibrés : Ils ont des valeurs éthiques fortes. Ils cherchent la sécurité, ils comparent, ils hésitent mais quand ils sont conquis ils deviennent très fideles au point de ne rien entendre des autres enseignes. Ils demandent très souvent l’avis des autres. Et lorsqu’il quitte une enseigne, ils le vivent comme un echec.Les messages de sécurité et de stabilité sont à privilégier avec cette clientèle. Les exigeants : Ce sont des bons pères de famille, réaliste, optimiste et stables. Ce sont des anti-gaspillages très sensibles au prix. Ce sont eux qui s’attribuent une adresse comme « leur » adresse. Des clients qui peuvent devenir très critiques en ca s de rupture ou de deception.le type de clients à repérer et a chouchouter en permanence. Les conformistes : Sont très attachés à la tradition, recherchent la sécurité. Vont là ou il y a une grande notoriété. Ils s’informent peu sur ce qui se dit de leur restaurant préféré et sont très réticents au changement. Il ne faut pas les bousculer et l’aventure ou l’improvisation n’est pas leur tasse de thé ! Gestion - Marketing | Bernard Boutboul | samedi 28 février 2009