Service client : supprimons le <i>C'est pour qui ?</i>

Qui n'a pas été énervé régulièrement par le serveur qui se présente à la table, 2, 4 ou 10 personnes, avec des assiettes accompagnées d'un 'c'est pour qui ?' Qui n'a pas entendu dans une équipe : 'faire un plan de table à la commande ou un signe distinctif sur un bon, c'est ringard ?' On observe que beaucoup de serveurs n'utilisent pas systématiquement leur 'game boy' en prise de commande, ils passent par une prise de note sur un bloc. Vécu la semaine dernière : - la prise de commande sur un bloc notes prévoyant les emplacements des clients - ticket moyen du restaurant : 35 euros. - l'organisation d'une fête familiale où le restaurateur s'engage, pour 80 clients, à demander la cuisson de la pièce de rumsteak poêlée. Temps de service du plat principal envisagé : 30 mns. Réflexes de pros ! Gestion - Management - Marketing | André Picca - Auteur | mardi 21 avril 2009

Formule repas : pouvez-vous m'aider à élaborer une formule à 12€ ?

Bonjour Qui peut m'aider à monter une formule repas, sachant que notre prix moyen des repas est autour de 12 €, voici +/- ce que nous proposons 'à la carte ' 100 % ultra frais et fait maison : - Soupe 40 cl + cake : 6,00 € - soupe seule : 3,50 - Tarte du jour + mesclun : 7,50 e - Part tarte du jour seule : 5 € - Plat du jour : 8,50 € - Petite salade en entrée : 2,50 € - Grande salade plat principal : 6,50 € - Desserts : 3 € - Jus fruits frais presses : 3 € Merci de votre aide Gestion - Management - Marketing | les souris vertes | mardi 21 avril 2009

Tarif séminaire : peut-on 'éclater' le forfait sur 2 factures différentes tout en bénéficiant du 3/4-1/4 ?

Bonjour, la société cliente qui bénéficie d'un tarif séminaire (avec TVA 3/4-1/4) souhaite qu'une partie du forfait soit réglée par les participants (qui appartiennent à d'autres entités juridiques) : pouvons nous 'éclater' le forfait sur 2 factures différentes tout en bénéficiant du 3/4-1/4 ou devons nous facturer les prestations séparément (chacune avec sa TVA) pour chaque entité? merci Gestion - Marketing | valérie | vendredi 17 avril 2009

Conserver ses clients : faut les retenir à n’importe quel prix ?

Par les temps qui courent ou les clients réduisent leur consommation, sortent moins au restaurant ou modifient leur comportement, il est devenu aussi important de conserver ses clients que d’en gagner des nouveaux pour faire croitre son chiffre d’affaires. Pourquoi ? Il se passe en ce moment et depuis l’été 2008 un phénomène intéressant à analyser. Il s’agit d’un décalage de consommation d’un ou plusieurs crans vers le bas de la part de l’ensemble des consommateurs. Se retrouvant dans une zone de consommation peu habituelle ces mêmes consommateurs ne se comportent pas comme les habitués de cette même zone. Ils dépensent plus, ils structurent leur repas différemment, ils n’ont pas le même temps pour se nourrir etc … La question qui se pose alors pour le restaurateur est de savoir si il faut satisfaire les exigences de qualité de ces nouveaux clients pour les fidéliser au delà de la période de crise. La question qui se pose globalement aussi est de savoir si tous ces clients retourneront dans leur zone de consommation après la crise. L’autre grande question consiste à se demander s’il faut retenir des clients à n’importe quel prix. Le jeu n’en vaut probablement pas toujours la chandelle face à des clients de plus en plus infidèles et zappeurs à la recherche de la meilleure affaire à un instant T. Les restaurateurs qui ont cassés leurs prix de 40, 50 et 70% sur leur menu ont-ils boosté leur chiffre d’affaires suffisamment pour retrouver leur rentabilité antérieure en valeur absolue ? Une chose est sure il faut absolument éviter d’appliquer des recettes uniques à l’ensemble de sa clientèle. Gestion - Marketing | Bernard Boutboul(le démasqueur) | lundi 13 avril 2009

Estimation d'une affaire : est-ce au repreneur à finir de payer le crédit en cours ?

bonjour, J'ai bien compris le mode de calcul classic pour estimer une affaire en consultant votre blog. Je souhaiterais juste savoir l'estimation d'une affaire si le vendeur a fait des travaux de rénovation de décoration quelques mois voir deux à trois ans avant de vendre, c'est à dire si a encore un crédit sur cet investissement. C'est au repreneur à finir de payer le crédit en cours? le prix de vente peut être supérieur au C.A, et dans ce cas la rentabilité peu interressante? Est-ce différent si c'est une SARL ou en non-propre? 9216B Gestion - Marketing | nicolas | lundi 13 avril 2009

Des sondages en veux-tu, en voilà

La crise est là ! "- 5 % d'activité. Non, c'est de -7 à -12 %, non -25 % de moins de CA, au bas mot, euh...non, la crise c'est - 50 % d'activité en restauration ou alors - 60 %, je ne sais plus". Tout le monde y va à qui-mieux-mieux : les consultants en restauration bien inspirés, les syndicats hôteliers chagrineux, les CCI dans la compassion, les journaux trop content d'avoir à raconter,… Les pseudos "sondages" et "enquêtes" auprès des restaurateurs (que personne n'a le cran d'appeler tout simplement estimations) poussent comme le pissenlit dans le pré. On a même pu lire un - 12,72 % de recul d'activité pondu par un consultant en restauration sans doute très scientifique, alors que l'on sait que les restaurateurs eux-mêmes de tiennent pas leurs chiffres dans le détail. Les sondages portent sur quelques personnes interrogées dans la plupart des cas ; voire, leurs résultats sont rédigés sur un coin de table, sans interviewer personne. Ni vu, ni connu, et hop, j't'embrouille ! Qu'il y ait un recul de la fréquentation des restaurants, personne n'en doutait. Mais, là cela devient n'importe quoi. Alors à qui profite le crime ? En dehors de ceux qui veulent se faire mousser auprès des journaux, on peut comprendre que juste avant la décision qui portera sur ce que les restaurations feront après la baisse de la TVA et avant les "Etats généreux" de la restauration, il est dans l'intérêt de la profession de jouer les pleureuses. La ficelle est aussi grosse que la bêtise de certains syndicalistes, que l'on lit dans les journaux professionnels. Alors quoi, on veut que le gouvernement larmoie sur le sort de la restauration et que les Français pleurent dans leur chaumière en se disant : "oui, bon, la TVA c'est nous qui la payons et si elle baisse c'est nous qui devrions en payer moins. Mais vu la situation des pauvres restaurateurs, on va les laisser tout garder pour eux". Je verse ma larme à mon tour. Gestion - Management - Marketing | Thénardier Père & fils | dimanche 12 avril 2009

Restauration-plaisir : un comportement nouveau

Les hôteliers l'appelle le 'tourisme de court séjour'. Les restaurateurs leur donneront un nom. Il est une tendance, mise en évidence dans ma zone par des restaurateurs, déjà l'été dernier, avec une fréquentation inhabituelle au mois d'août alors que d'habitude, il ne reste pas grand monde : les clients partent moins longtemps en vacances, ils consomment un peu par impulsion de dernière minute, ils se tournent vers des plaisirs de proximité, où le restaurant qui offre un dépaysement par l'environnement externe, le décor, l'assiette, et bien entendu avec un personnel générateur de convivialité et de bonne humeur, trouve sa place. Tout en relativisant l'effet grossissant d'une émission tv, Capital sur M6, ce dimanche 12 avril, aborde ce comportement du consommateur. Gestion - Management - Marketing | André Picca - Auteur | dimanche 12 avril 2009

Prêt à taux variables : pourquoi cela ne baisse-t-il plus ?

Bonjour, J'contracté des prêts à taux variable indexés sur l'Euribor capés à 2%. J'ai démarré à 3.51 %, ils sont montés très rapidement à 5.51% et ont été bloqués comme cela. Jusque là normal. Maintenant, les taux sont en chute libre, l'inflation est quasi nulle, le livret A passe à 1.75, le taux directeur de la BCE ezst à son plus bas historique. Et mon taux reste à 5.51% car la banque n'est redescendu qu'à 5.55% à ce jour. Point numéro 2 : depuis plus de 15 ans que nous sommes passés en SARL, ma femme signe les chèques tout comme moi (elle avait une procuration sur l'entreprise individuelle dont elle était conjoint collaborateur, ensuite ????? à savoir qu'elle est associée avec moi et salariée avec pouvoirs maintenant). J'ai découvert (mon comptable ne l'avait jamais fait remarqué, malheureusement malgré tous ses honnoraires) qu'un associé salarié avec pouvoir n'avait pas droit au chomage le cas où et pouvait donc exonéré de cotisations assedic. Afin de me faire rembourser les trois dernières sannées, les assedic me demande une copie de la procuration. Problème quand je contacte la banque, aucune procuration trouvée. ils me demandent de régulariser la situation pour me faire une attestation mais ne veulent pas attester qu'ils ont accepté des chèques depuis 15 ans sans jamais vérifier la signature autorisée. Depuis, dialogue de sourds, je refuse de régulariser la situation s'ils n'assument pas leur erreur et ils ne veulent rien me donner si rien n'est signé. Ils sont en porte à faux mais aucun ne veut assumer. J'ai décidé, peut être ai-je tort de demander à ma femme de signer les prochains chèques et 15 jours après l'encaissement, aller les voir en leur disant que je n'ai jamais émis de chèque. Qu'en pensez vous ? La pression payera-t-elle ? Je les relance de ma,nière amiable et les contacte en permanence pour avoir une explication que je n'arrive pas à avoir. Il semblerait que ces gens avec qui je travaille depuis 20 ans m'ai subitement oublié le jour où je demande des comptes Gestion - Marketing | bertrand | samedi 11 avril 2009

Dans l'étude de faisabilité

Vous dites, sauf erreur de ma part, que la rémunération du dirigeant n'est pas comptabilisé dans les charges personnels pour une entreprise individuel mais dans le résultat. Et pourtant un peu plus bas dans le dossier de faisabilité vous groupé les salaires des deux salariés (1500 + 1500 et des deux repreneurs 1900 + 1900)+ 39% * 12 mois et vous le mettez dans les charges personnels Je ne suis pas sûr de saisir nicolas Gestion - Marketing | nicolas | samedi 11 avril 2009

Etats généraux : regroupement d'indépendants sous une marque

On voit des chaines reussir (Courtepaille, Buffalo et autre Ibis..) parceque justement les clients sont rassurés de trouver une prestation uniformisée... rassurante et garantie... Aller vers un restaurant ou un hôtel inconnu c'est prendre le risque de la déception...peu de clients cherchent celà ! C'est pour çà que je répète que les hôteliers indépendants doivent se regrouper sous une marque ..tout en mettant en avant leur différence...(avec un vrai budget commercial !) Garantir que leur différence est mieux qu'une chaine... au même prix.... c'est celà l'avenir Gestion - Marketing | ETourisme | vendredi 10 avril 2009

10 à 50 % de perte de CA dans la restauration depuis le début de l'année : quelle est la réalité ?

L'information, à sensation ?, est tombée ce matin (RFM, journal de 6 s 30) : la perte de chiffre d'affaires en restauration serait de 10 à 50 % depuis le debut de l'année. Cette chute serait plus significative en province. Quelle est votre réalité ? votre emplacement ? Que faites vous pour passer le cap, durablement ? Gestion - Management - Marketing | André Picca - aAuteur | jeudi 9 avril 2009