Les galeries commerciales aux États-Unis ont subi la crise, la popularité croissante du 'shopping on line' et maintenant la baisse du nombre de visiteurs. Le nombre de 'shoppers' [acheteurs, N.D.L.R.] aurait régressé de 1 % en 2011, selon l'institut ShopperTrak. Et ce serait au moins aussi grave pour 2012. Se réinventer est donc urgent. Et cela concerne au premier chef la restauration. La restauration à table trouve de nouveaux emplacements au sein ou à proximité des 'malls' [centre, N.D.L.R.], mais loin des 'food courts' [aires de restauration, N.D.L.R.]. Ils ouvrent à côté des marques leaders et créent des 'pops up' [établissements éphémères, N.D.L.R.] sur les parkings. Ce n'est pas la fin du 'food court' mais la recherche de nouveaux clients et de nouvelles façons de consommer à l'échelle nationale. "On line, vous ne pouvez pas déjeuner", explique l'un des leaders du marché.
Garder les acheteurs plus longtemps
Le mouvement touche aussi le haut de gamme. Bill Taubman, de Taubman Centers qui dirige le Short Hills Mall à proximité de New York dans le New Jersey, déclare : "il est évident que nous intégrons plus de restaurants aujourd'hui qu'il y a 5 ans", avec des enseignes 'casual' [occasionnelles] comme The Cheesecake Factory, Texas de Brazil ou Plan B burger. Les Morris, de Simon Property, ajoute : "Nous pensons que ces restaurants renchérissent la valeur de nos propriétés et deviennent un maillon critique de notre mix de locataires. Un bon portefeuille d'établissements crée de l'identité, génère du trafic et garde les shoppers plus longtemps dans la galerie." Une orientation logique alors que des mastodontes de l'habillement comme Gap ou Abercromie & Fitch ferment des points de vente....
Garder les acheteurs plus longtemps
Le mouvement touche aussi le haut de gamme. Bill Taubman, de Taubman Centers qui dirige le Short Hills Mall à proximité de New York dans le New Jersey, déclare : "il est évident que nous intégrons plus de restaurants aujourd'hui qu'il y a 5 ans", avec des enseignes 'casual' [occasionnelles] comme The Cheesecake Factory, Texas de Brazil ou Plan B burger. Les Morris, de Simon Property, ajoute : "Nous pensons que ces restaurants renchérissent la valeur de nos propriétés et deviennent un maillon critique de notre mix de locataires. Un bon portefeuille d'établissements crée de l'identité, génère du trafic et garde les shoppers plus longtemps dans la galerie." Une orientation logique alors que des mastodontes de l'habillement comme Gap ou Abercromie & Fitch ferment des points de vente....
Publié par Anne-Claire Paré
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