Plutôt que de proposer des hôtels, l'OTA MyRoomIn propose sur son site des chambres, avec le prix correspondant. Les informations qui concernent l'hôtel sont secondaires et sont affichées en complément des caractéristiques de la chambre, produit principal du site.
Lancé cet été dans la capitale, MyRoomIn propose 300 chambres d'exception à la réservation. 150 critères permettent de sélectionner ces chambres : taille du lit, vue, étage, décoration…
La promesse du site est de garantir au client que la chambre qu'il a réservée sera bien celle dans laquelle il séjournera. Plutôt qu'une catégorie de chambres, c'est une chambre précise que le client sélectionne. À vous donc de définir si vous souhaitez bloquer une chambre en particulier.
Marie Le Roy, cofondatrice et directrice générale de MyRoomIn, justifie l'existence de l'OTA par l'essor d'AirBnb qui a cannibalisé une partie de l'offre de chambres à Paris. Proposer une chambre précise à la location, avec des prestations dans l'hôtel et alentours est un moyen de lutter contre cette concurrence. Les clients peuvent désormais avoir la certitude de la chambre dans laquelle ils s'installeront.
Lancé cet été dans la capitale, MyRoomIn propose 300 chambres d'exception à la réservation. 150 critères permettent de sélectionner ces chambres : taille du lit, vue, étage, décoration…
La promesse du site est de garantir au client que la chambre qu'il a réservée sera bien celle dans laquelle il séjournera. Plutôt qu'une catégorie de chambres, c'est une chambre précise que le client sélectionne. À vous donc de définir si vous souhaitez bloquer une chambre en particulier.
Marie Le Roy, cofondatrice et directrice générale de MyRoomIn, justifie l'existence de l'OTA par l'essor d'AirBnb qui a cannibalisé une partie de l'offre de chambres à Paris. Proposer une chambre précise à la location, avec des prestations dans l'hôtel et alentours est un moyen de lutter contre cette concurrence. Les clients peuvent désormais avoir la certitude de la chambre dans laquelle ils s'installeront.
Publié par Vanessa GUERRIER-BUISINE
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