Dès sa création en 2003, Omnivore a défendu une cuisine comme point convergent de territoires et d’identités en prise directe avec l’environnement, de la terre à la vigne jusqu’à l’assiette. « Il nous semble aujourd’hui difficile, pour ne pas dire inconscient, de ne pas inscrire le cycle des festivals Omnivore à venir dans cette logique de questionnement qui part des racines (comment, quoi, pourquoi cultiver ?) et conduit nos semblables à définir leur goût de mangeur en corrélation avec leur responsabilité de consommateurs », explique Luc Dubanchet, fondateur d’Omnivore. La programmation de l’édition 2019 suit donc cette exigence de vérité en conviant les acteurs les plus en pointe sur ces sujets responsables.
Nouveauté 2019 : Omnivore Paris opère la fusion entre les scènes Salé et Sucré pour créer La Grande scène. Chaque jour, 4 temps forts sucrés s’insèrent de 11 h 30 à 15 heures entre 5 à 6 temps forts salés. Soit un programme exceptionnel de cheffes et chefs, pâtissières et pâtissiers. Un avant-goût de ce ping-pong gustatif inédit ? Découvrir par exemple pour la première fois sur une scène, la pâtissière mexicaine Sofia Cortina et l’une des révélations de l’année à Paris, Manon Fleury, cheffe du Mermoz.
Après la Flandre en 2018, Omnivore maintient le cap au nord de l’Europe en conviant la jeune garde de la cuisine et de l’alimentation des Pays-Bas. Depuis une dizaine d’années, cuisine, bartending, artisans de bouche et producteurs œuvrent à l’élaboration d’une identité culinaire structurée autour des ingrédients locaux, des racines assumées. Les ambassadeurs de ce goût contemporain sont à découvrir du 10 au 12 mars à la Maison de la Mutualité à Paris.
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