HÔTELLERIE
Lancement du concours du MOF
classe gouvernant(e)
des services hôteliers
PARIS
Une première réunion d’information a eu lieu le 23 janvier
à l’hôtel du Collectionneur.
L
e 23 janvier dernier, l’Association
des gouvernantes générales de
l’hôtellerie (AGGH) a organisé une
réunion d’information sur le concours
du meilleur ouvrier de France (MOF)
classe gouvernant(e) des services
hôteliers, dans les salons de l’hôtel du
Collectionneur, à Paris (VIII
e
).
Cette rencontre a été l’occasion de
présenter en détail l’organisation du
concours aux nombreux adhérents
et invités de l’association.
Jean-Luc
Chabanne
, secrétaire général du
Comité d’organisation des expositions
du travail (Coet), a expliqué le fonc-
tionnement du concours, puis
Régine
Davroux
, vice-présidente de la classe,
et
Corinne Veyssière
, présidente natio-
nale de l’AGGH et membre du comité
MOF, ont pris la parole pour expli-
quer le contenu des épreuves et leur
déroulement.
Point d’orgue de la soirée, les deux lauréates
du MOF 2007 et 2011,
Sandrine Kouyoumji
et
Marie-Fleur Raynard-Laude
, ont partagé
avec le public leur expérience des différentes
étapes du concours, et particulièrement la
phase de préparation.
“Accélérateur de carrière”
Yun Wang
est en charge de la coordination
du groupe de conseil des candidats, et a
expliqué les objectifs de cette aide et son
fonctionnement. Constitué de professionnels
et d’experts du métier, ce groupe conseillera
gratuitement les candidats dans leurs recher-
ches, dans huit domaines d’expertise : ges-
tion, ressources humaines, sécurité et mainte-
nance, commercial, informatique et nouvelles
technologies, produits et matériaux, qualité,
et méthodologie.
Ce groupe de conseil leur permettra de ren-
forcer leurs compétences techniques à l’ex-
ception de la réalisation du chef d’œuvre,
qui est un travail très personnel. Une charte
des devoirs des experts et des candidats a été
rédigée en vue d’un fonctionnement plus aisé.
Corinne Veyssière a ensuite invité les par-
ticipants à se réunir autour d’un cocktail
pour poursuivre les échanges et permettre
aux invités de rencontrer les organisateurs.
“J’espère que ce type d’événement va mul-
tiplier les vocations, car ce concours est
un accélérateur de carrière. L’AGGH a une
volonté de transmission et d’accompagne-
ment des membres et futurs candidats dans
l’excellence et la reconnaissance de leur
métier,
a-t-elle déclaré.
Le MOF y contribue
et il nous semble normal de féliciter les
lauréates et de promouvoir ce prestigieux
concours. N’oublions pas que préparer le
MOF nécessite un investissement important
sur le plan professionnel mais aussi per-
sonnel. Le groupe d’accompagnement coor-
donné par Yun Wang est là pour conseiller
les futurs candidats.”
De gauche à droite :
Sandrine
Kouyoumji
,
Régine Davroux
,
Marie-Fleur Raynard-Laude
et
Corinne Veyssière
.
Comment faire vivre
le bar de son hôtel ?
NICE
Ce lieu doit être animé tout au long de la journée et
attirer une clientèle extérieure, tout en restant convivial
pour les résidents de l’établissement.
www.lhotellerie-restauration.fr/publications/vanessa.guerrierbuisine
Vanessa
Guerrier-
Buisine
P
our faire vivre un bar d’hôtel tout au long de la journée, il est
essentiel d’attirer une clientèle extérieure, tout en en faisant un
lieu de convivialité pour les résidents de l’établissement. Certains
professionnels ont ainsi mis en place des initiatives qui fonctionnent.
À Nice, l’hôtel Ellington, classé 4 étoiles, a lancé des soirées afterwork
pour attirer une clientèle de cadres qui profite du bar à la sortie du
travail et libère les lieux assez tôt pour ne pas gêner la tranquillité
des résidents de l’hôtel. Cela crée une animation hebdomadaire dont
bénéficient aussi ces derniers. Ici, le bar est rythmé toute la journée
grâce à des offres spécifiques : petit déjeuner express de 7 heures à
11 heures à 7 € (en complément du petit déjeuner complet proposé par
l’hôtel), consommé sur-
tout par les clients seuls
ou pressés ; thé et café
gourmands à 5 € de
11 heures à 17 heures,
prisés par une clientèle
féminine. Puis l’hap-
py hour est proposé
aux clients jusqu’à
20 heures, avec des
remises allant jusqu’à
50 % sur des boissons
à la carte. Enfin, le bar
reste ouvert jusqu’à
minuit, mais il est fré-
quenté essentiellement par les résidents de l’établissement.
Formules et cocktails météo
Au Monsigny (3 étoiles) de Nice, le toit-terrasse a été rapidement
adopté par les clients de l’hôtel et les Niçois. La mise en place de
formules, comme un package jacuzzi et cocktail à 13 €, a permis de
promouvoir le lieu et le bar, notamment grâce aux médias sociaux.
Les cocktails proposés s’adaptent à la météo du jour : un ciel maus-
sade est l’occasion de servir un Dark & Stormy (sombre et orageux),
composé de rhum et de ginger beer. À l’hôtel Ellington également, les
cocktails éphémères sont l’occasion de communiquer et de créer des
actualités pour l’établissement. Ici, les événements qui rythment Nice
sont autant d’opportunités de partenariats et de happenings, et les
blogueurs locaux sont les premiers à relayer ces offres spéciales essai-
mées au fil de l’année.
Le Duke Bar de l’hôtel Ellington organise
notamment des soirées afterwork.
L’hôtel Monsigny
joue sur la météo
pour valoriser son
bar en proposant des
cocktails éphémères.
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