Delphine Zampetti a résolu la quadrature du cercle. A 36 ans, après un beau parcours en cuisine (ex 104 et Verre Volé à Paris…), elle songe à se mettre à son compte, mais la jeune femme, désormais maman, souhaite ne plus faire qu'un service le midi et réserver ses soirées et week-ends à sa vie de famille. Elle imagine alors une formule de 'restauration à emporter', une épicerie-crèmerie-restaurant rapide, qui permettrait, en premier lieu, de maîtriser l'investissement. Mais cette passionnée des fourneaux ne tire un trait sur la cuisine pour autant. Bien au contraire. Pour se réaliser dans son entreprise, elle cuisine et continuer à utiliser les produits de qualité qu'elle affectionne. Le résultat ? CheZ aline ouvert début juin.
C'est dans une ancienne boucherie chevaline, années 50 dans le moindre détail, que Delphine Zampetti a installé sa « cuisine comptoir familiale ». « J'ai eu un coup de foudre pour ce lieu qui a une histoire, donc je l'ai conservé dans son jus ». Il y a encore la tête de cheval en bronze doré au dessus de l'entrée de la boutique. A l'intérieur, murs jaune poussin et carreaux noirs ont été récurés, la vitrine réfrigérée remise aux normes et habillée de marbre comme le comptoir aux 4 couverts. Les 28 m2 offrent une vue sur le four, les plaques, la plonge. Tout se fait sous les yeux du client. « J'aime cette proximité avec les clients. J'ai l'impression de les recevoir chez moi. C'est intime », dit-elle.
Du lundi au vendredi, de 10 h 30 à 19 h, Delphine cuisine et explore son univers en toute liberté. Autant dans les deux plats quotidiens, les salades (caponata, haricot plat/morue, betterave/framboise, moules/poivrons verts/citron) que dans ses 'sandwiches cuisinés' à 7 ou 8 euros : baguette tradition milanaise de veau oignon trébons et salade ; pain rond au sésame hareng fumé crème aux herbes pickels de betterave. En parallèle, elle propose tout de même des classiques : sandwiches jambon Prince de Paris, tortilla, tomate farcie…. Mais toujours avec des produits sélectionnés avec précaution. La jeune chef d'entreprise ne transige pas sur la qualité et négocie en direct avec les producteurs. Tout est fait maison voire minute. Les clients apprécient.
Le chef commercialise également les conserves Anne Rozès, une sélection de jus de fruit et de vins, des fromages à la coupe… « Je maîtrise tout et je suis en accord avec ce que je fais », conclut Delphine Zampetti avec un grand sourire. Il ne lui manque plus que l'autorisation pour la terrasse.
C'est dans une ancienne boucherie chevaline, années 50 dans le moindre détail, que Delphine Zampetti a installé sa « cuisine comptoir familiale ». « J'ai eu un coup de foudre pour ce lieu qui a une histoire, donc je l'ai conservé dans son jus ». Il y a encore la tête de cheval en bronze doré au dessus de l'entrée de la boutique. A l'intérieur, murs jaune poussin et carreaux noirs ont été récurés, la vitrine réfrigérée remise aux normes et habillée de marbre comme le comptoir aux 4 couverts. Les 28 m2 offrent une vue sur le four, les plaques, la plonge. Tout se fait sous les yeux du client. « J'aime cette proximité avec les clients. J'ai l'impression de les recevoir chez moi. C'est intime », dit-elle.
Du lundi au vendredi, de 10 h 30 à 19 h, Delphine cuisine et explore son univers en toute liberté. Autant dans les deux plats quotidiens, les salades (caponata, haricot plat/morue, betterave/framboise, moules/poivrons verts/citron) que dans ses 'sandwiches cuisinés' à 7 ou 8 euros : baguette tradition milanaise de veau oignon trébons et salade ; pain rond au sésame hareng fumé crème aux herbes pickels de betterave. En parallèle, elle propose tout de même des classiques : sandwiches jambon Prince de Paris, tortilla, tomate farcie…. Mais toujours avec des produits sélectionnés avec précaution. La jeune chef d'entreprise ne transige pas sur la qualité et négocie en direct avec les producteurs. Tout est fait maison voire minute. Les clients apprécient.
Le chef commercialise également les conserves Anne Rozès, une sélection de jus de fruit et de vins, des fromages à la coupe… « Je maîtrise tout et je suis en accord avec ce que je fais », conclut Delphine Zampetti avec un grand sourire. Il ne lui manque plus que l'autorisation pour la terrasse.
Publié par Nadine LEMOINE
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