Achat fonds de commerce : que faire lorsque le vendeur annonce un contrat de 120 hecto de bière alors que le brasseur en annonce 70 ?

VOILA J'AI UN SOUCI... JE DOIS SIGNER TRES PROCHAINENMENT L'ACHAT D'UN FC HOTEL BAR RESTAURANT DEPUIS LE DEPART L'AGENCE ET LE VENDEUR M'ONT ANNONCE UN CERTAIN NOMBRE D'HECTO BIERE 120. ET LA DERNIEREMENT, LE BRASSEUR , QUI M'AIDE AU DEMARRAGE M'ANNONCE QU'iL N'Y A PAS 120 HECTO MAIS 70 QU'EN PENSEZ VOUS? A T-ON VOULU ME SEDUIRE SUR DU FAUX? Gestion - Marketing | FRED | lundi 28 janvier 2008

Achat crêperie février, ouverture mai : à partir de quelle date vont démarrer les charges sociales ?

je vais acheter une creperie le mois prochain je n'ouvrirai qu'au mois de mai je serai en entreprise individuelle a partir de quelle date vont demarrer mes charges sociales à l'inscription à la chambre de commerce ou à l'ouverture de l'établissment je souhaiterai m'inscrire mi-février pou pouvoir commencer à faire mes achats de materiel entre autres merci Gestion - Marketing | isabelle | samedi 26 janvier 2008

Achat fonds de commerce en 2007 : doit-on payer la taxe professionnelle de 2006 ou 2007 ?

bonjour, quelqu'un peut il me donner son avis.... cas de figure : j'achete un fdc le 1er avril 2007. Sur la redaction du bail il est spécifié 'le cessionnaire remboursera au prorata temporis la taxe professionnelle'. Le vendeur me reclame donc les 9/12 emes de la taxe pro qu'il doit payer en 2007. Hors cette taxe porte sur l'exercice 2006 (aux elements du bilan fourni aux impots). Je ne pense pas qu'elle me concerne vu que je n'avais pas l'hotel en 2006. Mon sentiment par rapport à l'esprit et la lettre de la loi, est que je devrait payer les 9/10 emes de la taxe professionnelle de 2007 payable en 2008.... Un juriste ou autre amateur de droit pourrait il me confirmer cette logique dictée par mon conseil juridique. De plus en reprise d'affaire je suis exonéré de taxe pro la première année... Merci de me donner votre sentiment sur ce cas de figure.... La Montagne. Gestion - Marketing | la montagne | samedi 26 janvier 2008

Nouvelle façon de faire de la pub : le bouche à oreille organisé

Il y a peut être une nouvelle façon de faire de la publicité qui pointe à l’horizon. Microsoft France vient d’avoir l’idée de recruter des jeunes de 18 à 25 ans comme ambassadeurs de la marque auprès de leurs copains et amis. Que doivent-ils faire ? Rien de spécial si ce n’est de parler à leur entourage des logiciels Microsoft, des nouveautés, des innovations etc.… en bien entendu, car sont recrutés des adeptes convaincus de la marque. Qu’y a –t-il en échange ? Des conditions privilégiées sur les nouveaux logiciels, être les premiers à recevoir une version béta, des petits cadeaux, etc.… Quel est l’intérêt d’un tel processus ? Tout simplement qu’une personne de votre proche entourage est plus crédible que la publicité, que ce système est nettement moins couteux que la communication traditionnelle, et que c’est beaucoup plus puissant. Imaginez demander à 5 de vos bons clients de devenir vos ambassadeurs, en contrepartie d’un repas offert par mois. Si cette personne vous génère seulement 10 couverts de plus par mois, faites le calcul du chiffre d’affaires supplémentaire face au cout matière d’un repas offert. Sans parler que les 10 nouveaux peuvent devenir à leur tour des ambassadeurs ! Le BO² est peut être né (le Bouche à Oreille Organisé) Gestion - Marketing | Bernard Boutboul | samedi 26 janvier 2008

Fidélisation d’un client : lui offrir, par exemple, une boisson au moment du départ

Il arrive que des idées d’un autre secteur donnent des idées pour le notre. C’est peut être le cas de cette communication fort sympathique trouvée au buffet petit déjeuner des hôtels Ibis : « Pensez-y ! Lors de votre départ, nous vous offrons une boisson chaude à emporter. Servez-vous ! » Bien entendu l’idée est tout à fait adaptée au monde de l’hôtellerie et particulièrement au départ du client le matin de son hôtel. Mais cette notion d’offrir quelque chose au moment du départ me semble être une attention très appréciée par le client au moment du départ, qui rappelons-le est un moment crucial dans la fidélisation d’un client. Plus ce départ sera attentionné, surprenant et valorisant pour le client, plus il se souviendra de vous. La question est : comment adapter cette excellente idée à la restauration ? La haute gastronomie étoilée le fait déjà, on peut repartir avec un pain spécial, 2 ou 3 fruits dans un joli sac etc… Dans la restauration rapide cela arrive tous les jours avec la vente à emporter, mais là c’est volontaire et payant !! Dans la restauration de tous les jours cela ne se fait pas, à moins que vous lecteurs vous le fassiez ? Un café, un fruit, du pain cela ne coute pas grand-chose, c’est un geste qui fait plaisir et qui sera très apprécié et ça peut rapporter gros !!! Gestion - Marketing | Bernard Boutboul | samedi 19 janvier 2008

Attirer la clientèle : 10 euros de remise en fin de repas

Faire venir le client c’est la première mission du restaurateur. Sa deuxième mission est de le faire revenir. C’est ce que l’on appelle le trafic et la fidélisation. Il y a de très bonnes idées déployées en France pour faire venir ou faire revenir et nous l’avons souvent évoqué dans ce sujet interactif ou dans les colonnes du journal hôtellerie restauration. Mais celle qui va suivre est pour le moins très surprenante, je vous en laisse juge. La chaine de restaurants spécialisée dans les moules frites : Léon de Bruxelles vient de lancer sur son site une rubrique appelée « les bons plans ». Si vous cliquez dessus vous avez la listes des restaurants et l’on vous propose d’aller déjeuner ou diner aujourd’hui 'hui ou demain en vous remettant immédiatement une contremarque de 10€ à valoir sur un repas de 2 personnes. Il ne vous reste plus qu’à imprimer votre bon et vous présenter au restaurant de votre choix, y déjeuner ou diner et au moment de l’adition sortir votre document. L’adition sera réduite de 10€.Il faut préciser que vous pouvez tirer autant de bons de 10€ que vous voulez !!Simple non ?Faisons un petit calcul : la dépense moyenne d’un client chez Léon de Bruxelles évolue entre 16 et 20€ TTC boisson comprise. Si vous êtes 2 et que vous prenez 2 cocottes de moules de base et une carafe d’eau, il vous en coutera environ 30€ et vous ne paierez que 20€ soit une remise de 33% !!! La question ici n’est pas de savoir si cette action de promotion est une bonne idée ou pas. Attirer des clients à moins 33% qui ne seraient peut être pas venu est-ce rentable ? Si l’action a de grosses répercussions de fréquentation, les équipes terrain vont-elles pouvoir assurer au risque de ne pas satisfaire ces nouveaux clients, même à moins 33% ? Et une fois que l’opération sera terminée, quelle va être la réaction des clients qui n’auront plus leurs 10€ systématiques de réduction à chaque visite ? Gestion - Marketing | Bernard Boutboul | dimanche 13 janvier 2008

Vérification des prix de vente en phase avec les clients : l’analyse par tranches de prix

Il y a une autre possibilité de vérifier si les prix de vente que vous pratiquez sont en phase avec vos clients ou plutôt vérifier s’il n’y a pas danger. C’est ce que l’on appelle l’analyse par tranches de prix. Le calcul est simple ; il suffit tout simplement de compter combien de clients ont consommer dans chaque tranche de ticket moyen (par exemple de 2€ en 2€) Si votre ticket moyen est de 20€, vous créez des tranches de 2€ en partant de 10€. Vous aurez donc la tranche 10-12€, 12-14€, 14-16€ etc…jusqu'à environ 34-36€. Dans chacune des tranches de prix vous comptez sur 1 semaine ou sur 1 mois le nombre de clients ayant consommé dans cette zone de prix. Lorsque vous avez vos données ; faites une visualisation graphique des résultats sous forme d’un histogramme par exemple. Le dessin sera très révélateur du comportement de vos clients autour de votre ticket moyen réel. La représentation graphique idéale est une pyramide avec le maximum de clients regroupés autour de votre ticket moyen. La représentation graphique très problématique consiste à visualiser de « blocs » de clients aux extrémités avec un ticket moyen qui n’est qu’arithmétique. Bons calculs Gestion - Marketing | Bernard Boutboul | samedi 5 janvier 2008

Assemblée générale de PME : quel est le coût de son orgnisation règlementaire ?

Bonsoir, je suis co-gérant d'une SARL de famille (2 associés) exploitant un hotel bureau 2* 15 chambres et j'aimerais savoir combien coute en moyenne les frais d'assemblée générale ordinaire a faire chaque fin d'exercice, y compris le dépot des comptes au greffe du tribunal. Je payais il y a 4 ans 600 euros environ, et les tarifs de mon conseiller juridique ont augmenté d'année en année pour arriver maintenant autour de 1300 euros. Le formalités sont elles si lourdes ? Peut on le faire soit meme, sachant que c'est deja un expert comptable qui produit la liasse fiscale. Lors de nos AG, nous signons juste un papier apres lecture rapide des comptes. Et nous recevons la facture. Merci d'avance pour vos interventions. Gestion - Marketing | crylou | jeudi 3 janvier 2008

Contrôle fiscal : quelle est leur fréquence en général ?

J'aimerais savoir si comme je le subis tous les 3 ans vous avez vous aussi professionnels des contrôles fiscaux aussi souvent que moi ? Ma comptabilité est bien tenue au dire des contrôleurs successifs mais à chaque fois ils me redressent d'une petite erreur à leur dire : la dernière fois en 2003 à fait 7500€, quand même. (Il faut dire que quand on lit le code des impôts il est difficile de s'y retrouver et surtout de savoir si on a bien fait les choses.) Et de nouveau 3 jours avant NOEL 2007 ( merci pour le cadeau ) 1 avis recommandé de vérification de compta sur 2 ans pour Janvier 2008. Ca vous décourage d'être honnête, et surtout de se mettre à son compte. J'aimerais bien avoir vos avis. Merci. Gestion - Marketing | angela | mercredi 2 janvier 2008

Calculs carte restaurant : les tarifs conviennent-ils à vos clients ?

Il est possible de vérifier par vous-même en quelques instants si les tarifs de votre carte conviennent à vos clients ! Comment ? C’est très simple. Vous faites la somme de tous les prix de vente de tous vos plats, vous excluez donc les entrées, les desserts les boissons et les menus. La nombre que vous trouvez vous le divisez par le nombre de plats dont vous vous êtes servis pour faire la somme.Cela vous donne tout simplement ce que l’on appelle le « prix moyen plat offert ». Ce prix moyen plat vous le multipliez par 2, et vous obtenez ce que l’on appelle votre ticket moyen théorique TTC boissons comprises. Il ne vous reste plus qu’à le comparer à votre ticket moyen réel. Si les 2 sont très proches, bravo ! Si le ticket moyen théorique est inférieur à votre ticket moyen réel, un grand bravo de plus vos clients sont en confiance et vous pouvez même augmenter doucement vos prix, ils vous suivront. En revanche si le ticket moyen théorique est supérieur à votre ticket moyen réel, il y a un gros souci dans votre positionnement. Il y a fort à parier que votre chiffre d’affaires se tasse à cause d’un nombre de couverts qui régresse, et là il faut agir vite…très vite ! Bons calculs Gestion - Marketing | Bernard Boutboul | dimanche 30 décembre 2007

La carte de restaurant : un outil commercial pour informer les clients des plats du jour

IDEES n°17 : La carte de restaurant est avant tout un outil commercial. La lecture d’une carte dans le porte-menu doit inciter à rentrer et la lecture d’une carte une fois assis doit aider à choisir voir orienter le choix. La carte doit évoluer dans l’année avec des rotations régulières de plats, mais on peut aller plus loin en stimulant le client. Le semainier est un des nombreux outils qui permet d’informer le client du plat du jour proposé de chaque jour de la semaine. En venant chez vous un lundi par exemple et en s’apercevant que son plat préféré est proposé jeudi, cela peut l’inciter fortement à revenir. Le semainier doit être placé sur la carte soit en fixe, soit sous la forme d’un support variable si vous changez votre cycle de plats du jour. La restauration d’Ibis a trouvé une autre idée géniale qui consiste à mettre une sorte de paper board a l’entrée du restaurant sur lequel il y a le plat du jour, le saint du jour, la date, la température et bien d’autres informations... Dans ce cas on constate que les clients soulèvent les feuilles pour voir ce qu’il y a comme plats du jour demain ou la semaine prochaine. Ibis a bien fait les choses puisque il s’agit d’un paper board de 365 jours avec environ 60 plats différents qui reviennent cycliquement. La restauration collective d’entreprise a également traité le sujet en installant un panneau a la sortie des restaurants et signalant le plat du jour du lendemain. Plus vous clients se sentent informé et prévenus plus ils se sentiront proches de vous. Gestion - Marketing | Bernard Boutboul | lundi 24 décembre 2007

Brasseur + quantité exigée : comment peut-on la baisser ?

Bonjour, qu'elle aide peuvent apporter les brasseurs pour travailler avec "un nouveau client" ? Par exemple pour une mise à disposition de 15000€, un brasseur exige la vente de 100 Hectolitres de bières /an, cela me semble beaucoup ? A votre avis ? Qu'el argument pourrais je avancer afin qu'il baisse sa quantité exigée? Ce n'est pas un contrat brasseur mais une mise à disposition amortie sur 5 ans. Gestion - Marketing | GUIGUI | mercredi 19 décembre 2007