Véritable repère des passionnés de rugby pendant plus de trente ans, le Coq d'or reprend ses droits après être passé douze ans par l'enseigne Le Firmin. Isabelle Cuillet et Lionel Neveu souhaitaient une affaire en centre ville : "Nous sommes comblés, entre Capitole et Wilson. Notre clientèle apprécie le nouveau look du restaurant. Une décoration chic mais pas clinquante, des tons neutres et surtout une cuisine maison de qualité". Tous deux connaissent bien le métier, puisqu'ils sont dans la restauration depuis vingt-sept ans.
Produits frais et service de qualité
"Nous ne travaillons que des produits frais, explique le directeur Arnaud Pohier, et nous sommes sur une carte de brasserie traditionnelle avec de forts accents méditerranéens. Seiche snackée à la marjolaine, kefta maison à la sauce tomate...Notre écailleur propose aussi des plateaux de fruits de mer, sur place ou à emporter."
Dix-huit personnes travaillent au Coq d'or. "Nous faisons une centaine de couverts par jour, notre objectif est de monter en puissance et d'attendre les 200. Nous n'avons pas le droit à l'erreur, nous allons particulièrement travailler sur la qualité du service. Il faut par exemple, savoir anticiper les besoins des clients, remplir un verre ou desservir la table au bon moment... C'est le petit plus qui fera toute la différence." L'équipe va développer le service des petits déjeuners et donner un esprit salon de thé l'après midi. Ouvert de 7 heures à 1 heure du matin, le Coq d'or entend bien devenir incontournable dans la vie toulousaine.
Publié par Dorisse PRADAL