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Pourquoi se contenter de chips et de bière, ou d'une pizza, quand désormais les restaurants proposent des menus spéciaux pour le Super Bowl ? La recette est simple : adapter son établissement à la clientèle du moment. À emporter ou sur place, ces menus ont séduit les nombreux fans de football américains qui ont rejoint New York pour assister à la finale du championnat, qui se déroulera le 2 février dans l'enceinte du MetLife Stadium d'East Rutherford (New Jersey), à quelques encablures de la Grosse Pomme.
L'arrivée massive de fans des Broncos de Denver et des Seahawks de Seattle, les deux équipes finalistes, dope l'activité des établissements de la Grosse Pomme, bien engourdie jusque là par la vague de grand froid qui s'est abattue sur le nord-est des États-Unis depuis la fin décembre.
Un début d'année difficile
Salles vides, téléphone désespérément muet, les impondérables climatiques ont eu un impact certain. Les américains habitués à sortir en moyenne cinq fois plus que les français préfèrent rester calfeutrés chez eux plutôt que d'affronter des températures fréquemment inférieures à - 15 °C. "Démarrer la cuisine, se battre pour se faire livrer le premier, laisser le chauffage au maximum toute la journée pour accueillir finalement deux clients, ce n'était pas rentable. Même s'il fait encore très froid, la finale du Super Bowl a permis de relancer l'activité cette dernière semaine de janvier", témoigne un serveur du restaurant Grey Dog, à Manhattan, un établissement habitué à retransmettre sur écran géant les matches des Jets et des Giants, les deux équipes locales. Pour le propriétaire, le Super Bowl constitue donc une aubaine, après un mois de gel de l'activité.
L'arrivée massive de fans des Broncos de Denver et des Seahawks de Seattle, les deux équipes finalistes, dope l'activité des établissements de la Grosse Pomme, bien engourdie jusque là par la vague de grand froid qui s'est abattue sur le nord-est des États-Unis depuis la fin décembre.
Un début d'année difficile
Salles vides, téléphone désespérément muet, les impondérables climatiques ont eu un impact certain. Les américains habitués à sortir en moyenne cinq fois plus que les français préfèrent rester calfeutrés chez eux plutôt que d'affronter des températures fréquemment inférieures à - 15 °C. "Démarrer la cuisine, se battre pour se faire livrer le premier, laisser le chauffage au maximum toute la journée pour accueillir finalement deux clients, ce n'était pas rentable. Même s'il fait encore très froid, la finale du Super Bowl a permis de relancer l'activité cette dernière semaine de janvier", témoigne un serveur du restaurant Grey Dog, à Manhattan, un établissement habitué à retransmettre sur écran géant les matches des Jets et des Giants, les deux équipes locales. Pour le propriétaire, le Super Bowl constitue donc une aubaine, après un mois de gel de l'activité.
Publié par A. J. A.
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