Pierre-Alain Grossenbacher et son épouse, Blen Mekuria-Grossenbacher, ont investi 6 M€ pour acheter et rénover le domaine viticole d'Argentiès à Lagrasse (Aude). Il faudra encore 6 M€ supplémentaires pour transformer en hôtel de luxe cet imposant domaine qui était rattaché à l'abbaye de Lagrasse jusqu'à la Révolution française. Le Château Argentiès sera donc un hôtel de charme d'une vingtaine de chambres et suites, dont chacune portera le nom d'un film français. L'idée est raccord avec un paysage semblable à un décor de cinéma, puisque le domaine de 400 hectares est niché dans un écrin de forêts de pins et de cyprès, entre la garrigue et les rochers de la montagne d'Alaric. Soucieux de se donner le loisir nécessaire à un aménagement harmonieux, le couple prévoit l'inauguration dans deux ans, en même temps qu'un restaurant dédié à la clientèle de l'hôtel. "Nous avons eu un véritable coup de coeur pour ce domaine, et nous voulons veiller à bien le mettre en valeur", commente Pierre-Alain Grossenbacher.
L'activité agricole n'est pas abandonnée, bien au contraire : la surface dédiée aux vignes (cultivées en biodynamie) passera de 36 à 60 hectares, et 500 oliviers ont déjà été plantés. "Nous allons préserver et approfondir la culture du vin, et mieux la faire connaître en proposant par exemple à notre clientèle de l'hôtel de participer aux vendanges manuelles", ajoute le propriétaire du domaine d'Argentiès. Car l'établissement profitera aussi d'une offre de loisirs (équitation, randonnées,...) autour du lac de 2 hectares.
L'activité agricole n'est pas abandonnée, bien au contraire : la surface dédiée aux vignes (cultivées en biodynamie) passera de 36 à 60 hectares, et 500 oliviers ont déjà été plantés. "Nous allons préserver et approfondir la culture du vin, et mieux la faire connaître en proposant par exemple à notre clientèle de l'hôtel de participer aux vendanges manuelles", ajoute le propriétaire du domaine d'Argentiès. Car l'établissement profitera aussi d'une offre de loisirs (équitation, randonnées,...) autour du lac de 2 hectares.
Publié par Francis MATÉO
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