Prime de précarité et précarité des entreprises : qu'en est-il ?
Bonjour Pascale,
Pas de prime de précarité pour les extras et les contrats saisonniers :
Votre article est clair mais non daté. Est-ce que ce texte est toujours actuel ? On ne s'y retrouve plus dans ces changements perpétuels !
D'autre part, quand on s'engage à embaucher tous les ans la même personne, il serait, je crois, intéressant qu'on puisse conclure un contrat intermittent à durée déterminée.
L'ambiguité réside encore du fait qu'on doit conclure un CDD avec un salarié qui est présent tous les ans dans l'entreprise alors qu'il est considéré alors comme étant en CDI. Et on sait qu'un CDD ne peut être renouvelé qu'une seule fois !
Dans ces périodes économiquement instables, conclure un CDD est, pour une entreprise, un risque. On ne peut pas faire de cessation d'activité car les CDD doivent alors être payés jusqu'à leur terme, on ne peut pas bénéficier du chomage technique. Si l'on se trouve en cessation de paiement, on ne peut qu'être en redressement ou liquidation judiciaire, c'est à dire avec un mandataire judiciaire et un administrateur judiciaire alors que notre profession est prise en otage par des réglementations de plus en plus incompréhensibles et inapplicables, tripadvisor, les agences en lignes et la prolifération des chambres d'hôtes. Sur mon canton, je suis le seul hôtel et je figure en tête des hébergements mais sans particularisme avec les offres des chambres d'hôtes et gites qui occupent 25 pages format 21 x 29,7. Nous avons pourtant une bonne réputation mais notre chiffre d'affaires se dilue dans les chambres d'hôtes qui sont mises en avant.....
Alors, prime de précarité ou pas ?
Merci. Cordialement
Juridique |
Trompelamort |
vendredi 28 mars 2014