Questions - Réponses


Problèmes de colocation : quelle attitude adopter ?

Bonjour, Nous faisons face à une employée ' difficile '. Très procédurière mais pas très au fait de la législation, elle nous reproche les faits suivants : 1)contrat moral non tenu car la période d'essai entre la promesse d'embauche et le contrat de travail n'est pas la même. Sur ce point, aucune difficulté à prouver notre bon droit puisque la promesse courait du 1er juillet au 31 août ( période d'essai de 8 jours car 1 jour par semaine travaillée ) mais contrat établi du 15 juin au 10 septembre donc période d'essai fixée à 11 jours. 2) elle partage un logement avec une autre personne ( comme convenu sur le contrat ) et nous soutient que nous n'avons pas le droit de faire dormir des gens sur des lits superposés ( la deuxième personne dort sur un lit ' normal ' , il n'y a donc personne d'autre qui occupe l'autre lit superposé ). Ce point là me semble absurde. Qu'en est il Elle refuse que sa colocataire reçoive du monde ( une personne est venue, il n'y a pas de fête , pas de venue à des heures indécentes ) :elle a poussé une très grosse colère si bien que sa colocataire a pris peur et n'a pas dormi ce soir là. Cette personne n'a pas toute sa tête ( jugement de valeur me direz vous mais j'ai eu l'occasion bien sûr de discuter avec elle avant cet incident et il est certain qu'il n'y a pas le gaz à tous les étages ). J'ai également appris qu'elle avait mis ces deux derniers employeurs aux prud'hommes. Il n'y a pas eu de menaces de sa part envers sa colocataire mais son attitude n'est pas rassurante. Quels sont mes droits ? Puis je lui mettre un avertissement pour des faits qui ont lieu en dehors du travail mais qui peuvent avoir un impact sur le travail de sa colocataire ? Merci Juridique | gpadepseudo | mardi 29 juin 2010

Document unique : que risque un établissement qui ne l'a pas mis en place depuis 6 ans ?

que risque un établissement qui n'a pas mis en place depuis plus de 6 ans les regles obligatoires de prévention et de sécurité pour ses employés de nuit car j'ai entendu dire que ces regles devaient être mis en place chaque année dans l'entreprise. Et surtout, que peuvent obtenir les salariés de nuit si ils se plaignaient de cela (au prud'homme par exemple) ? Juridique | mouette | lundi 28 juin 2010

Concept chic et pas : est-ce réalisable sur Paris pour un projet de restauration rapide ?

Bonjour, Bravo pour votre blog, on y retrouve d'intéressantes informations. Cependant, j'ai une question simple, pensez vous réaliste un projet de restauration rapide sérieux, 'chic' et qualitatif à Paris intra avec 230 000 euros (somme disponible en prenant en compte toutes les sources de financement possible...apport...prêt d'honneur..emprunt bancaire...etc..). Merci, Gestion - Marketing | Concept | lundi 28 juin 2010

Contrat saisonnier répété sur plusieurs année : à quel moment peut-il être reconnu en CDI ?

bonjour depuis 2004 j ai un contrat saisonnier dans le meme etablissement mon contrat correspond aux dates d ouverture de l etablissement soit de mi mars a mi novembre sur chaque contrat il n est jamais precise qu'il sera reconduit l anne suivante a quel moment ce systeme peut etre reconnu en C.D.I. et sous qu elle renumeration moyenne des 9 mois travaille + conges payes repartis sur 12 mois ou autrement merci de me renseigner sur mon cas Juridique | POUPETTE | dimanche 27 juin 2010

Oser être différent : la créativité et l’ingéniosité à faible investissement seront toujours récompensées

Dans une société ou la communication est omni présente voir trop importante pour capter correctement l’attention des consommateurs, on peut se demander s’il ne faut pas revenir à des choses simples, dites simplement avec des mots compréhensibles par tous et surtout surprendre et étonner plutôt que d’embrouiller ou d’ennuyer. Un cafetier toulousain met une ardoise sur son trottoir en inscrivant à la craie « Au bar ?, en salle ?, en terrasse ? Le café c’est le même prix, c’est 1,30€ » Résultat ? + 40% de cafés qui ont généré d’autres types de consommations. Un restaurateur de Nantes souhaitant mettre en place un café gourmand qui généralement comporte 3 mini desserts, propose le café gourmand le plus gourmand avec…11 mini pâtisseries !!! Résultat ? 15% d’augmentation de trafic avec de nouveaux clients qui ne seraient peut être pas venu sans cette idée ! Une chaine de pizzérias du sud de la France propose à ses clients de garder leur aditions comportant au moins un plat, au bout de la 5em, le 6em plat est offert. Résultat ? Fidélisation en très forte hausse. Une brasserie Lilloise installe un énorme calicot sur les 4 fenêtres au dessus de sa porte d’entrée et inscrit « Plat + entrée ou dessert + café = 9,50€ » Résultat ? 18% de clients supplémentaires dont la moitié qui ne prenne pas cette formule attrayante. La chaine de sandwicherie Pomme de Pain s’inspire de la restauration traditionnelle en proposant le semainier du sandwich…un sandwich du jour différent tous les jours. Les exemples pourraient être nombreux. Il faut aujourd’hui oser être différent et unique. La créativité et l’ingéniosité à faible investissement seront toujours récompensées. Il faut redonner envie de consommer aux clients, en les considérant et en répondant à leurs préoccupations réelle quotidiennes. Gestion - Marketing | Bernard Boutboul | samedi 26 juin 2010

Maladie : quels sont les montants à retenir, 66 % ou 90 % ?

J’ai 1 an ancienneté dans l’entreprise. Je me suis renseignée sur le blog des experts et j’ai vu que l’employeur doit verser à partir du 8ème jour d’absence des indemnités compensatrices de perte de salaire pour compléter les indemnités journalières qu’il reçoit de la Sécurité Sociale. Le tableau sur votre site indique 2 montants différents, 66% et 90% du salaire bruit à partir d’un an ancienneté. Ma question : est-ce que mon employeur doit me verser les indemnités compensatrices ? Et si oui, combien % du salaire brut ? Juridique | N.H | jeudi 24 juin 2010

Contrat d'extras : ont-ils droit à la prime de précarité ?

Je ne sais plus quoi penser, Pascale Carbillet nous dit que l'extra ne bénéficie pas de prime de précarité et le service social de mon centre de gestion nous dit l'inverse. Leur position est qu'un contrat extra est considéré comme un CDD et notre syndicat nous dit qu'en plus, il peut-être requalifier en CDI si nous recourrons aux extras trop souvent. Jurisprudence :le recours à des contrats successifs doit être justifié par des raisons objectives qui s'entendent de l'existence d'éléments concrets établissant le caractère par nature temporaire de l'emploi Juridique | Hubert | jeudi 24 juin 2010

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