Autre objectif : éviter le démantèlement. "Le groupe a plus de valeur dans sa globalité que s'il était vendu par appartement, a confié Franck Michel, l'un des deux administrateurs, à nos confrères du Figaro. Nous mettons en place une stratégie globale pour préserver à la fois les investisseurs, les fonctions support et les emplois. Nous voulons une égalité de traitement entre tous les investisseurs et empêcher que certains ne récupèrent des actifs à bon compte."
Pour l'instant, trois hôtels viennent d'être placés en redressement judiciaire, et il est probable que d'autres connaissent rapidement le même sort. La prochaine audience est fixée au 14 novembre : le tribunal décidera alors une poursuite de la période d'observation, ou sa conversion en liquidation judiciaire.
Publié par Violaine BRISSART