La remise des diplômes de la promotion
2017 à eu lieu le 9 novembre. L'objectif de cette cérémonie était de valoriser
et de mettre en avant la promotion sortante, le lycée, mais plus largement la
formation hôtelière en France. C'est une fierté pour les enseignants et les
parents de constater l'évolution des étudiant-e-s, des élèves, des
apprenti-e-s. L'établissement marseillais n'a jamais baissé son niveau
d'exigence tant en terme de compétence, de savoir, qu'au niveau du savoir être
et de l'état d'esprit. Avec des résulats de 91,81% de réussite promotion 2017
(598 candidat-e-s, 549 admis-e-s), au niveau baccalauréat (148 candidat-es-s
reçu-e-s – 58 mentions), ses élèves sont très demandé-e-s sur le marché du
travail.
Didier Leider, le proviseur a insisté
pour que les diplômés gardent le contact avec l'établissement, pour qu'ils
reviennent au lycée, peut-être lors des prochaines cérémonies, lors des portes ouvertes, pour
être jury des examens, pour qu'ils s'inscrivent sur le
réseau et le faire le
vivre. "Nous croyons beaucoup dans l'efficacité des réseaux. Vous
allez y arriver ! Vous allez y arriver aujourd'hui, mais également dans
quelques mois dans votre vie professionnelle ou dans vos poursuites d'études.
Vous rencontrerez des difficultés, vous allez devoir y passer du temps, vous
allez être soutenu non plus par vos enseignants mais par vos collègues ou votre
famille, vous allez avoir des moments de doute, et vivre de grands moments de
convivialité tout comme hier lors de cette cérémonie. J'espère donc que
cette expérience et bien d'autres vécues dans notre établissement vous
permettront de progresser avec confiance.Le lycée hôtelier de Marseille tire
déjà fierté de son passé et continue de se démarquer dans le présent, mais je
suis convaincu que le meilleur est encore à venir pour cette institution, et
c'est vous qui allez construire ce futur. Pour conclure je dirais
simplement : gardez le lien, tout d'abord entre vous,
gardez le lien avec les valeurs que vous avez développées, gardez le lien avec
l'établissement.
Publié par Claude DIBIASE