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Goiko
Grill vient d'inaugurer à Barcelone sa dix-neuvième implantation en Espagne. C'est
le signe du succès d'une enseigne de restauration rapide née en 2013 à Madrid, en
pleine crise économique, et qui engrange désormais un chiffre d'affaires de 2
M€... par mois ! Une chaîne créée par Andoni Goicoechea, Vénézuélien
d'origine basque, qui a abandonné son métier de médecin hospitalier pour ouvrir
son premier restaurant, en mêlant les traditions culinaires de ses deux
origines. Un pari un peu fou qui se retrouve aujourd'hui encore sur la carte de
Goiko Grill à travers les teques (beignets de fromage typiquement vénézuéliens)
ou le hamburger Aita, au fromage de brebis (ardiona) et poivrons basques.
Mais pour Andoni Goicoechea, "la clé réside dans le choix des bons produits, naturels, frais et sans conservateurs : nos hamburgers sont faits avec du boeuf espagnol haché tous les jours par notre boucher, avec l'assaisonnement particulier de Goiko Grill".
Comme à chaque ouverture, l'enseigne propose une création. Pour Barcelone, c'est le Mercat Goiko, en hommage aux marchés paysans traditionnels de la capitale catalane : un hamburger comprenant escalivada (légumes grillés à l'huile d'olive), olives noires, fromage catalan, cresson et tomates concassées. Pour espérer atteindre le succès du Kevin Bacon, "le hamburger le plus vendu en Espagne", selon Andoni Goikoechea.
Soin du détail
Avec 12 variétés et 20 hamburgers spéciaux, le menu comprend également des amuse-gueules, appelés ligeritas (salades et poulet thaï), des desserts faits sur place, et un menu déjeuner proposé à 11,50 €, du lundi au vendredi (le ticket moyen est de 15 € pour l'ensemble des restaurants). Tous les hamburgers sont accompagnés de frites maison. Une formule qui permet à la marque d'envisager la création de six nouveaux restaurants en Espagne d'ici la fin de l'année. Avant de tester peut-être le grand saut à l'international. "Toute la difficulté, c'est de maintenir des standards de qualité jusque dans les moindres détails, sur le point de cuisson de la viande ou la température du pain, et jusqu'à l'atmosphère des restaurants ; c'est aussi ce qui fait notre différence par rapport à la concurrence, avec un personnel attentionné et motivé, et des fournisseurs fidèles depuis le début", ajoute le p.-d.g. de Goiko Grill. D'où le choix d'un développement en propre plutôt qu'en franchise, pour l'instant.
Mais pour Andoni Goicoechea, "la clé réside dans le choix des bons produits, naturels, frais et sans conservateurs : nos hamburgers sont faits avec du boeuf espagnol haché tous les jours par notre boucher, avec l'assaisonnement particulier de Goiko Grill".
Comme à chaque ouverture, l'enseigne propose une création. Pour Barcelone, c'est le Mercat Goiko, en hommage aux marchés paysans traditionnels de la capitale catalane : un hamburger comprenant escalivada (légumes grillés à l'huile d'olive), olives noires, fromage catalan, cresson et tomates concassées. Pour espérer atteindre le succès du Kevin Bacon, "le hamburger le plus vendu en Espagne", selon Andoni Goikoechea.
Soin du détail
Avec 12 variétés et 20 hamburgers spéciaux, le menu comprend également des amuse-gueules, appelés ligeritas (salades et poulet thaï), des desserts faits sur place, et un menu déjeuner proposé à 11,50 €, du lundi au vendredi (le ticket moyen est de 15 € pour l'ensemble des restaurants). Tous les hamburgers sont accompagnés de frites maison. Une formule qui permet à la marque d'envisager la création de six nouveaux restaurants en Espagne d'ici la fin de l'année. Avant de tester peut-être le grand saut à l'international. "Toute la difficulté, c'est de maintenir des standards de qualité jusque dans les moindres détails, sur le point de cuisson de la viande ou la température du pain, et jusqu'à l'atmosphère des restaurants ; c'est aussi ce qui fait notre différence par rapport à la concurrence, avec un personnel attentionné et motivé, et des fournisseurs fidèles depuis le début", ajoute le p.-d.g. de Goiko Grill. D'où le choix d'un développement en propre plutôt qu'en franchise, pour l'instant.
Publié par Francis MATÉO
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