ChezYello’s (Paris, IX
e
), lapause
déjeuner s’accompagned’une
séancede luminothérapie.
Pont-l’Abbé
Danscetétablissementbreton, leclientchoisitdirectementsabouteilleparmi les400référencesde lacave.
Paris
Ouvert enseptembre2013, cet établissementmarie recettesbioet luminothérapie.
Degaucheàdroite :
AliceRobins
,
Guénola
Robins
,
GautierRobins
,
ÉricRobins
et
ThomasDamier
.
76
Restauration
I^ZQT
6
D
u
b
ien-être à 360 degrés”
, tel est
l’objectif de
SimonBlanchard
, à
la tête duYello’s (Paris, IX
e
), où il
propose notamment de la luminothé-
rapie.
“Cela aide à régler notre horloge
interne en régulant le taux de mélato-
nine, l’hormonedu sommeil. C’est idéal
si l’onpratique la luminothérapie plu-
sieurs foisparsemaine”,
assure-t-il.Plu-
tôt que d’accrocher de grandes lampes
de luminothérapie auplafond (comme
danscertainsbarsscandinaves), l’entre-
preneur apréféré opter pour des lumi-
nettes à poser sur le nez :
“C’est sans
risque pour les yeux, car les lumières
sont sansUV et sans infrarouge.Même
les porteurs de lunettes correctrices
peuvent lesutiliser.”
Cependant le Yello’s n’a rien d’un ins-
titut de beauté. Ici, les clients peuvent
certes s’offrir une cure de soleil, dégus-
ter la cuisinemai-
sonqui fait lapart
belle aux produits
frais et bio, ainsi
qu’aux céréales.
Pour le petit dé-
jeuner, la formule
à8,90€(vingtmi-
nutes de lumino-
thérapie incluses)
comprend bois-
sonchaude, jusde
fruits pressés à la minute, une tartine
bioouunboldemuesliàcomposersoi-
même : lait et céréales au choix, fruits
fraisousecs…
DESPLATSSANSGLUTENOULACTOSE
À l’heuredudéjeuner, la formule lumi-
nothérapie (12,90€) proposeunebois-
son, une cocotte (par exemple, volaille,
poissonouoptionvégétarienne
accompagnés de céréales ou
légumineuses), fromage ou
dessert.
“J’essaie de cuisiner
certains plats sans gluten,
d’autres sans lactose”
, précise
celuiqui afficheégalementune
démarche ‘no plastic’.
“Il s’agit
de limiter la toxicitédesdéchets
pour l’environnement. Nous
parvenons à pratiquement
éliminerplus de 85%duplas-
tique, enservantnotammentde l’eaude
Paris oudes cocottes enbois.”
Encoura-
gé par des débuts prometteurs, Simon
Blanchard compte ouvrir undeuxième
point de vente à Paris, avant de dupli-
quer le concept dans d’autres capitales
européennes.
Q
V.B.
Yello’s
ìeì ì69)ì %ì %=)88)ìeì
ì %6-7ì
eì 0@ìBì
ì ì ì
ì ìe
Desplats commeautrefois àL’Esprit de famille
Plein soleil chezYello’s
O
uvert depuis2011, L’Esprit
de familleàPont-l’Abbé
(29) est un restaurant-
bistrot à vins, avecun coin
épiceriefine. Avant depasser à
tabledans la sallede48 couverts,
le client doit traverser la cave, qui
rassembleplusde400 références
de vin. Il y choisit sabouteille, qui
sera facturéeauprix cavisteplus
ledroit debouchon.
L’établissement est géré en famille,
avec à sa tête
ÉricRobins
, le
père, qui a tenudans lepassédeux
restaurants : leQuincyàLesconil
(29) et lePoissond’avril auGuilvinec
(29). Safille,
AliceRobins
, est
caviste - forméeà l’écoledeVannes -,
et sonmari,
ThomasDamier
, est
sommelier. En cuisine, on retrouve
GautierRobins
, lefils, forméau
lycéeduParaclet àQuimper (29),
et
GuénolaRobins
, lamère.
35€DETICKETMOYEN
Audéjeuner, deux formules à 13,90€
et à 17,90€ sont proposées, avec
desplats commeautrefois, faits
maison et qui varient chaque jour :
têtede veau, croustillant depied
de cochon, rognonsde veau, tripes
et charolais. À la carte le soir :œuf
cocotte, assiettede charcuterie,
blocde foiegrasmaison, tartarede
bœuf, brochettesdeSaint-Jacques
et desserts faitsmaison. Le ticket
moyen est de35€.
“L’important
c’est de travailler en famille,
affirme
ÉricRobins
. Les gens qui viennent
nousvoirnousdisent qu’ils ont
l’impressiondemanger chezdes
amis.Une foisparmois, nous
organisonsdes soiréeskaraoké,
l’occasionde goûter lesvinsavecune
assiettede charcuterie.”
Q
JEAN-YVESTOURNELLEC
L’Espritde famille
eì ì69)ì %1%68-2)ìeì
ì 328O0T &&
eì 0@ìBì
ì
ì ì
ì